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Ciel Voilé
L'association Ciel voilé a pour but de diffuser de l'information sur la géo-ingénierie, les atteintes à l'environnement et à la santé humaine.
Forçage génétique : 16 associations appellent à son interdiction
synthèse de presse bioéthique - 27 Juillet 2020
Cosmo, un veau mâle génétiquement modifié afin que « 75 % de sa progéniture soit mâle » a vu le jour en avril à l'université de Californie Davis. « Dans l’industrie de la viande, les mâles sont préférés aux femelles car ils sont plus lourds et 15% plus efficaces pour convertir les aliments en masse corporelle ».
Alors qu’il était un embryon, les chercheurs « ont inséré un gène appelé SRY dans le chromosome 17 » du veau en ayant recours à l’outil d’édition du génome CRISPR. Un gène connu pour induire un « développement mâle ». « Les descendants de Cosmo qui hériteront de ce gène SRY grandiront et ressembleront à des mâles, qu'ils héritent ou non d'un chromosome Y », explique Alison Van Eenennaam, généticienne animale au département des sciences animales de l'université de Californie Davis. Ainsi, la moitié de sa descendance sera constituée de mâles dotés de chromosomes XY, mais « un quart supplémentaire sera génétiquement constitué de femelles (XX) qui hériteront du gène SRY et grandiront en tant que mâles ». Le reste de sa progéniture sera des femelles, sans le gène SRY.
Le veau qui « entrera dans un programme d'élevage dans 12 mois » transmettra la modification génétique à sa descendance. Et « sa progéniture sera alors analysée pour voir si la présence de SRY sur le chromosome 17 est suffisante pour déclencher un développement mâle chez les animaux qui sont XX ». Mais « les animaux issus de sa lignée ne serviront pas à l’alimentation humaine », Cosmo étant une « créature purement expérimentale » à ce stade.
En France, dans une lettre ouverte au premier ministre, 16 organisations[1] demandent « l’interdiction de la production, de l’utilisation et de la dissémination de tout OGM issu du forçage génétique ». Cette technique « est une nouvelle manière d’utiliser la transgénèse en l’accompagnant d’un contournement des lois de l’hérédité via CRISPR, une technique récente de modification génétique d’un organisme – animal sauvage ou domestique (insecte, oiseau, mammifère, etc.) et à terme, certaines plantes » explique le document. Une modification qui « pourra ainsi se propager en quelques générations à l’ensemble d’une population, voire à toute une espèce » précisent les organisations.
Niveau de CO2 dans les masques
Commission d'enquête extraparlementaire sur le Corona
Commission d'enquête extraparlementaire sur le Corona
https://acu2020.org/international/ - Le 2 juillet 2020
Mes chers concitoyens,
Bienvenue à l'ACU, la commission d'enquête extra-parlementaire sur le Corona. Si le Parlement ne le fait pas, alors nous, les citoyens, sommes appelés à le faire nous-mêmes.
Commission d'enquête extra-parlementaire sur le Corona, nous allons enquêter sur les raisons pour lesquelles ces mesures restrictives ont été appliquées dans notre pays au cours de la CoVid-19, sur les raisons pour lesquelles les gens souffrent maintenant et sur le taux de mortalité de cette maladie, qui a en fait été causée par un virus SARS-CoV-2. Nous avons de sérieux doutes quant à la manière dont ces mesures restrictives ont été prises. Cela doit être examiné et, étant donné que ni les parlements, ni les partis d'opposition, ni les partis au pouvoir n'ont convoqué de commission et que celle-ci n'en est même pas au stade de la planification, il est grand temps que nous prenions les choses en main maintenant. Nous inviterons et entendrons ici, au sein du Cercle des porte-parole du Corona, des experts de tous les horizons, issus des domaines de la médecine, des affaires sociales, du droit, de l'économie et bien d'autres encore. SRAS-CoV- 2.
Des experts de renom ont déjà aimablement accepté d'être présents. Outre le cercle des orateurs, mon collègue le professeur HADITSCH et mon collègue le Dr SCHIFFMANN, je voudrais également me présenter. Je m'appelle Heiko SCHÖNING, je suis un simple médecin de Hambourg. Ma motivation personnelle est que je suis un père, comme beaucoup d'autres dans ce pays qui ont des enfants et nous voyons que nos enfants souffrent maintenant, non seulement parce que les terrains de jeux ont été fermés, mais aussi parce qu'ils sont séparés les uns des autres. Et pour les adultes, c'est encore pire.
Nous nous demandons pourquoi les parents ne sont plus autorisés à rendre visite à leurs parents, par exemple en maison de retraite. Le danger d'infection est-il si grand ? Avons-nous vraiment un virus mortel ici ? Avons-nous la rage ou la peste ? Et nous avons de sérieux doutes à ce sujet ! Nous n'avons pas la peste ! Mais l'honnêteté est une chose qui aide vraiment. Le célèbre prix Nobel Albert CAMUS l'a déjà exprimé dans son merveilleux livre "La Peste". Nous voulons garantir cette honnêteté et cette transparence ici à l'ACU, au sein de la commission d'enquête extra-parlementaire sur le Corona.
C'est pourquoi des experts du domaine de la médecine comme le Prof. BHAKDI, de l'économie comme Prof. OTTE ou encore du système juridique comme Prof. JUNGBLUT et bien d'autres qui ont déjà accepté de venir. Et bien sûr, nous invitons également ici tous les experts du gouvernement, des instituts publics, de l'Institut Robert Koch et, bien sûr, de l'étranger. Il sera rendu complètement transparent. Les déclarations des experts seront diffusées en direct, sans montage, vous pouvez les regarder sur internet. Nous allons créer un site web et nous aurons bien sûr besoin de plus de ressources pour cela. Par conséquent, veuillez nous soutenir dans cette initiative citoyenne, dans cette initiative citoyenne ACU.
Quel est le meilleur scénario ? Nous verrons que nous n'avons pas besoin d'avoir plus peur, comme nous l'avons fait avec les vagues normales de grippe ces dernières années, car c'est exactement ce que cela semble être. Mais pourquoi ont-ils pris ces terribles mesures ?
Par exemple, un rapport interne du ministère fédéral de l'intérieur a déterminé que 90 % de toutes les opérations nécessaires en Allemagne n'ont pas été réalisées, ce qui a touché 2,5 millions de personnes. Et dans ce rapport, il est également écrit que 5 000 à 125 000 patients sont morts à la suite des mesures gouvernementales. Donc des gens, des compagnons, des concitoyens qui sont déjà morts ou qui sont encore en train de mourir. Ce rapport datait du 7 mai 2020, c'est aussi la raison pour laquelle nous prenons maintenant en main cette commission d'enquête sur le Corona, car nous ne pouvons plus attendre.
Et il est plus que grossièrement négligent que les agences gouvernementales n'exposent pas ces choses en grand et, en fait, cela semble être une mise en scène. Car les données scientifiques montrent déjà que ces mesures sont sans fondement. Nous nous demandons donc tous, y compris dans le monde des affaires bien sûr, - même si ce sont surtout des vies humaines qui sont en jeu ici - qui en profite ? Nous essayons de répondre à ces questions ici aussi. Cui bono ? Qui en bénéficie ?
Merci beaucoup, également pour votre soutien jusqu'à présent et nous nous réjouissons de recevoir d'autres ressources ainsi que de votre coopération. Une fois de plus, nous invitons tout le monde, y compris l'autre partie, à s'exprimer ici, et ce sera également affiché de manière transparente sur Internet. Et bien sûr, nous sommes également disponibles pour une conférence de presse. Nous demandons donc à l'Association fédérale des conférences de presse d'ouvrir les salles pour nous et pour la presse internationale. Merci beaucoup.
Je passe maintenant la parole à mon collègue, le Dr Bodo SCHIFFMANN.
Oui, merci beaucoup, Monsieur SCHÖNING,
Pourquoi la commission d'enquête extra-parlementaire sur le Corona est-elle nécessaire ?
Parce que nous avons affaire à un manque d'adéquation. Les gouvernements doivent prendre des décisions et, dans les situations d'urgence, comme une pandémie, ils doivent également prendre des mesures qui peuvent, à première vue, restreindre les droits fondamentaux. Mais ils sont également tenus de revoir constamment ces mesures et de les assouplir le plus rapidement possible afin d'éviter les dommages collatéraux, comme l'a mentionné M. SCHÖNING.
Au lieu de cela, nous obtenons des chiffres sans rapport, des chiffres qui ne sont susceptibles d'attiser la peur qu'en additionnant simplement les cas de maladie et en ne montrant pas qu'il y a une disproportion entre le nombre de personnes testées et celui des personnes réellement infectées. Les structures existantes qui fonctionnent bien, comme la loi sur la protection contre les infections, sont simplement suspendues et remplacées par quelque chose de nouveau, qui est beaucoup plus drastique, et la seule chose qui vient du gouvernement est l'appel constant à la vaccination contre une maladie dont nous savons maintenant très bien, grâce à de nombreuses études internationales, qu'elle est très comparable aux maladies de la grippe, que les taux de mortalité ne sont pas plus élevés qu'avec les fortes vagues de grippe et que les mesures ne peuvent pas être justifiées par cela. C'est un oubli effrayant de la part d'études internationales reconnues et d'experts de tous les domaines, qu'ils soient virologistes, bactériologues, épidémiologistes ou même économistes, qui ne sont tout simplement pas entendus ou sont ignorés. Pire encore, on les traite de menteurs, de charlatans ou de théoriciens du complot, ce qui ne manquera pas de devenir le mot d'ordre de l'année 2020.
Au lieu de cela, on annonce une vaccination qui peut être très dangereuse, une vaccination sans nécessité médicale, parce qu'il n'y a plus de preuves. Il n'y a même plus assez de personnes en Allemagne qui tombent malades pour qu'un vaccin puisse être testé sur elles. Et il s'agit d'une nouvelle forme de vaccination, dite à ARN, qui, contrairement aux vaccinations précédentes, est capable de modifier le matériel génétique. Et peut causer des dommages incalculables aux personnes. Et ici, il faut aussi penser au principe médical "pas de mal", "nil no cere".
C'est la responsabilité des médecins et nous espérons ici aussi que d'autres médecins y participeront et y réfléchiront, car nous, médecins, ne devons pas faire plus de mal que de bien aux patients.
Ma motivation, ce sont mes grands-parents et mes parents, qui m'ont appris que si j'ai le sentiment que les droits fondamentaux sont restreints, que la démocratie est restreinte, que la presse n'est plus une presse libre, mais que vous avez le sentiment qu'il s'agit de propagande, que si les opinions étrangères sont censurées, supprimées, alors vous devez sortir dans la rue, alors vous devez devenir actif, ou vous devez essayer d'informer le public vous-même, par exemple, comme vous le feriez avec un comité d'enquête sur le Corona. Car bien sûr, il y a toujours le danger que le pouvoir corrompt, et qu'à un moment donné, les politiciens ne puissent plus le voir avec la bonne mesure et le bon objectif.
J'ai vu un danger de perte de la démocratie, et je vois chaque jour de plus en plus d'efforts pour transformer notre ordre démocratique libre de base en un État de surveillance, avec des applications de contrôle des esprits et de surveillance et autres, sous le couvert de lois de protection contre les infections.
Dans le meilleur des cas, nous arrivons à la conclusion qu'il faudrait une clarification juridique complète du contexte de ces mesures scientifiquement, médicalement et humainement excessives, que les responsables devraient également être tenus pour responsables et que des situations telles que la grippe porcine, avec des vaccinations qui ont laissé des séquelles chez les gens, pour une maladie pour laquelle il n'était pas nécessaire de vacciner, ne devraient jamais se reproduire ! Et toutes les mesures qui ont été prises doivent être réduites, car elles ont été élaborées sur fond de scénarios d'horreur qui ne se sont jamais concrétisés et qui sont néanmoins constamment maintenus à un niveau élevé pour faire craindre à la population une maladie mortelle qui n'existe pas sous cette forme. Et la meilleure chose qui en sortira, bien sûr - et cela doit arriver - est la fin immédiate du confinement, la fin de l'obligation de porter des masques. À une époque où il n'y avait plus du tout de cas de maladie, un appel a été lancé le 29 mai de cette année pour rendre obligatoire le port du masque dans les cabinets médicaux.
Au cours des dernières semaines - nous sommes le 20 juin 2020, il y a quinze jours, nous avons eu de grandes manifestations de masse contre le racisme dans 20 villes allemandes avec plus de 20 000 participants - si ce virus sous cette forme avec ce taux d'infection était réellement encore répandu en Allemagne, alors nous devrions pouvoir enregistrer une augmentation massive du nombre d'infections aujourd'hui, mais ce n'est pas le cas.
Et cela prouve que les mesures ne peuvent plus être justifiées d'aucune manière.
Merci beaucoup.
Merci beaucoup à M. SCHIFFMANN
Je voudrais souligner une fois de plus que ce que nous faisons ici est totalement non partisan, il ne s'agit pas de droite ou de gauche, il ne s'agit pas de gros ou de mince, d'homme ou de femme. Il s'agit en fait de vie et de mort pour beaucoup, d'une grande qualité de vie pour les adultes, mais aussi pour nos enfants. C'est notre principale motivation - également pour les générations futures - pour faire face aux circonstances auxquelles nous avons nous-mêmes été exposés ces derniers mois.
Nous, les citoyens, devons retrouver notre souveraineté et nous en prenons aussi le droit, parce que nous l'avons. Nous nous basons sur la Loi fondamentale. Dans la Loi fondamentale, que je tiens ici dans ma main, il y a un article merveilleux, l'article 20, paragraphe 4, "Toute personne a le droit de résister si aucune autre mesure ne permet de remédier à la situation".
Nous pouvons peut-être aussi considérer cette commission d'enquête extra-parlementaire sur le Corona comme l'une des dernières mesures et espérer que ceux - qui sont au gouvernement, qui ont également prêté serment de ne pas nuire aux gens, mais d'aider ceux qui défendent notre pays, que nous leur rappelons également à tous, fonctionnaires, officiers, médecins, oui, tous les concitoyens sont appelés à y prendre part ici, et les terribles circonstances, - que nous vivons tous réellement, nous le voyons dans les rues, nous le vivons dans nos familles et aussi personnellement avec nos amis et nos parents.
Nous devons faire quelque chose à ce sujet. Et je suis également heureux que nous n'ayons pas seulement la perspective allemande, mais que nous puissions également apporter une perspective internationale dans le processus. Et c'est pourquoi je suis également heureux que nous ayons un véritable expert en la matière dans le cercle des orateurs de l'ACU, la commission d'enquête extraparlementaire de la Corona, le professeur HADITSCH d'Autriche.
Je vous en prie.
Oui, merci beaucoup et meilleurs vœux de ma part.
SCHÖNING, c'est un grand honneur pour moi et, pour être franc, quelque chose qui me tient à cœur de participer à la commission d'enquête extra-parlementaire de l'ACU sur le Corona.
Si nous nous en tenons aux faits, nous devons nous poser les questions suivantes : pourquoi cette commission d'enquête est-elle nécessaire ?
Cette enquête est nécessaire car, dès le départ, soit par négligence grave, soit délibérément, sans le devoir de diligence nécessaire, c'est-à-dire sans la moindre considération pour les dommages collatéraux, des décisions irresponsables et inappropriées ont été prises, qui ont également porté atteinte aux droits démocratiques fondamentaux et foulé aux pieds les devoirs éthiques.
On a évidemment aussi tenté de compenser des fautes flagrantes, comme la négligence de ceux qui ont besoin de protection - et je vous rappelle les personnes en maison de retraite - par des mesures draconiennes et non ciblées, peut-être pour éviter de justifier ces fautes, ou du moins à détourner l'attention de ces problèmes.
Que ce soit finalement non intentionnel, c'est-à-dire basé sur l'ignorance, ou intentionnel - ce qui aurait alors été fait avec des motifs douteux - est en fait sans importance. En tout état de cause, cela disqualifie les décideurs eux-mêmes.
Compte tenu de l'ampleur des décisions prises, les deux options décrites ci-dessus doivent nécessairement faire l'objet d'un examen détaillé, et cela peut être fait à nouveau à partir de l'expérience de la présentation extrêmement unilatérale par la politique et la radio d'État - ou les médias d'État, en fin de compte uniquement par une commission d'enquête indépendante, c'est-à-dire également extra-parlementaire, du corona.
Ma motivation personnelle pour y participer est que je suis un spécialiste en microbiologie, virologie et épidémiologie des infections, et je suis profondément consterné par l'approche non objective d'un point de vue professionnel.
Certaines personnes vont se demander ce que j'entends par cette approche non objective. À cela s'ajoute la constante, même dans les médias, d'esquisses de scénarios du "pire", de comparaisons inappropriées qui font peur, on ne pense par exemple qu'à ce mot d'ordre parfait et inqualifiable de "conditions italiennes", qui était au mieux vrai pour certaines régions du nord de l'Italie et où, en fait, les régions du sud de l'Italie moins bien peuplées, ont fait face à tout cela relativement sans problème.
Des représentations inadéquates et flagrantes de tendances menaçantes, qui dans la pratique ne se sont jamais concrétisées - et si l'on avait correctement évalué la situation dès le départ, compte tenu de la qualité du système de soins de santé en Allemagne - n'auraient jamais pu se concrétiser de cette manière.
Je suis aussi médecin généraliste de formation. - Mais surtout en tant que médecin, je ne pouvais plus tolérer cette approche méprisante de la santé et des êtres humains, car [elle] est en contradiction flagrante avec la compréhension et l'éthique professionnelles de chacun d'entre nous. Cette peur permanente, on pourrait dire la peur panique, les dommages psychologiques et sociaux qui peuvent en être déduits, les dommages médicaux et économiques gigantesques et enfin, mais pas des moindres, les interventions massives sur toute notre vie culturelle et de club sont, je crois, au moins en tant que médecin à orientation holistique, une raison et une motivation suffisantes pour se lever et lutter contre cette folie.
Face à la catastrophe, qui ne peut être évaluée du tout à l'heure actuelle, il semble nécessaire, avec tout le respect que je vous dois, bien sûr, mais en termes non équivoques, d'insister pour que ces décisions soient évaluées objectivement et pour que les décideurs soient tenus responsables si une faute est avérée.
Le point de vue de la commission d'enquête est bien sûr aussi un peu comme ceci : à quoi pouvons-nous nous attendre, quel est le meilleur scénario ?
Selon moi, tous les citoyens - ou du moins les collègues médecins - devraient se sentir concernés par la pensée d'Hippocrate, à savoir par le principe "nil no cere", c'est-à-dire "ne pas faire de mal", et tout le monde, même ceux qui ne font pas partie des médias qui ont prêté serment à la ligne gouvernementale, devraient s'informer, poser des questions critiques et procéder à des contrôles de plausibilité. Et puis on découvrira que Bergame n'est pas l'Italie, Ischgli pas l'Autriche, New York pas les États-Unis et une fête de carnaval à Heinsberg, un immeuble à Göttingen et des abattoirs, où qu'ils soient, ne sont pas l'Allemagne.
Cela devrait également devenir évident pour tous,
- que le système de santé allemand n'a même jamais commencé à courir le risque de se décompenser, c'est-à-dire d'être surchargé,
- que des mesures telles que le taux de doublement et ce nombre innommable "R 0" étaient principalement destinées à faire pression sur la population par la peur et que l'absence de référence au nombre de tests effectués était communiquée de manière non objective et manipulatrice, que des chiffres faux et peu fiables ont été utilisés pour les décès, pour l'intimidation,
- que le nombre d'affaires était déjà en baisse significative bien avant le "confinement",
- qu'une obligation générale de port de masque ordonnée 4 semaines plus tard, franchement 4 semaines plus tard - était factuellement non fondée, illégale et psycho-socialement irresponsable,
- que l'adhésion incorrigible à des mesures et à des déclarations déjà réfutées, c'est-à-dire contre une meilleure connaissance et des preuves avérées dans ce contexte, est une infraction pénale et
- qu'en fin de compte, un changement radical des structures décisionnelles de la politique des partis se fait attendre, car c'est la seule façon d'empêcher de manière fiable la poursuite ou la répétition de cette approche antidémocratique.
Je souhaite à l'ACU, la commission d'enquête extra-parlementaire du Corona, tout le succès possible dans l'examen objectif de toutes ces questions de conflit. Bonne chance.
Merci beaucoup, Monsieur HADITSCH.
Je voudrais conclure en soulignant une fois de plus pourquoi nous faisons cette ACU, la Commission d'enquête extra-parlementaire. Nous ne voulons pas attendre les parlements ou les autres qui pourraient venir plus tard, à un moment donné, parce que la pression est maintenant, maintenant les gens souffrent. Maintenant nos semblables souffrent, et maintenant un grand nombre de personnes ont déjà été blessées, certaines ont même perdu la vie. Tout comme cela a été [prédit] dans le rapport interne du ministère fédéral de l'Intérieur. Ils sont morts à cause des mesures prises par le gouvernement! Et cela est évidemment disproportionné.
Je voudrais rappeler pourquoi il est si urgent que nous devions prendre les choses en main maintenant, surtout lorsque personne d'autre ne le fait qui pourrait être plus sollicité. Partout dans le monde, il y a toujours des gens qui ont un arrêt cardiaque. Tout le monde a le risque à 100% - à un moment donné au moins – tout le monde arrêtera son cœur.
La bonne nouvelle : vous pouvez maintenant aussi revivre, réanimer et il existe un guide sur la manière de le faire. Et cette directive a été modifiée au niveau international au début du mois d'avril, et au fil du temps, elle a également été modifiée en Allemagne. Et cette directive, Imaginez cela, dit maintenant, "en raison du risque élevé d'infection par le CoVid-19 et des dommages considérables qui pourraient en résulter", vous ne devez plus donner de souffle, Il faut l'imaginer, "vous devez maintenant mettre un chiffon sur votre bouche". Cela signifie que beaucoup plus de personnes dans le monde vont mourir maintenant,[...]. La surmortalité est ainsi produite en plus dans les statistiques. Nous devons également renverser cette directive sur la réanimation.
C'est exactement ce que nous pouvons constater et nous serons en mesure de fournir ensemble, au sein de cette commission d'enquête, des preuves complètes que nous n'avons pas la peste ou le virus mortel. C'est une bonne nouvelle!
Mais nous devons nous poser la question suivante : pourquoi en est-il ainsi? Pourquoi ces mesures sont-elles en place? Qui en bénéficie?
Nous ne voulons pas attendre que nous-mêmes, nos amis, nos parents, subissent des dommages personnels et physiques.
Il faut que nous travaillons ensemble maintenant!
Et je ne peux qu'inviter, car il n'y a pas de société derrière nous : pas de société de médias, pas de riches, pas de fondations. Plus nous disposons de ressources, plus nous pouvons faire ce travail de manière professionnelle et rapide, y compris au niveau international. Nous le publierons également en plusieurs langues, dans la mesure de nos possibilités. Tout le monde est invité à aider ici, dans le meilleur esprit public. C'est pourquoi je vous remercie vivement pour tout le soutien que vous nous avez apporté jusqu'à présent..
Merci beaucoup.
La 5G revue et corrigée par France-Info
Les opposants à la 5G avancent de nombreux arguments contre cette téléphonie mobile de cinquième génération, mais tous ne sont pas exacts. (BAPTISTE BOYER / FRANCEINFO)
Par Benoît Zagdoun, Linh-Lan Dao – France Télévisions
Mis à jour le 17/07/2020 | 13:39 – publié le 17/07/2020 | 07:01
Les antennes strasbourgeoises des deux associations ont signé une infographie critique à l'égard de la 5G. Elles l'ont dépubliée après avoir constaté qu'elle contenait des erreurs et des approximations. Mais celle-ci a continué de circuler sur les réseaux sociaux.
Elles voulaient dévoiler "la face cachée" de la 5G. Les antennes strasbourgeoises des associations Zéro Déchet et Extinction Rebellion ont réalisé, fin juin, une infographie listant une série d'arguments contre le déploiement de la téléphonie mobile de cinquième génération. Ce visuel comporte toutefois des erreurs et approximations.
"Il n'y avait aucune volonté de désinformer", se défend, contrit, Simon Baumert, cofondateur de Zéro Déchet Strasbourg, qui promet de "mettre en place un processus de vérification interne", afin de s'assurer de l'exactitude du travail fourni par les bénévoles. "Nous tenons à être fiables et à pouvoir appuyer ce que nous avançons sur des sources rigoureuses", abonde Extinction Rebellion Strasbourg, qui confirme "la création d'une équipe spécifique chargée du recoupement des sources". Les associations ont supprimé l'image, mais elle a continué de circuler sur les réseaux sociaux. Franceinfo démêle le vrai du faux.
"Une antenne toutes les dix à douze maisons" : exagéré
En France, la 5G va être lancée sur la bande de fréquences des 3,5 GHz (entre 3,4 et 3,8 GHz), qui permet d'obtenir un débit plus élevé que celles des 700 MHz à 2,6 GHz servant aujourd'hui pour la 4G. Or, "plus on monte en fréquence plus la portée diminue", explique Hugues Ferrebœuf, directeur du Shift Project, un groupe de réflexion sur la transition énergétique. Les antennes 5G ont une portée plus courte que les antennes 4G. Logiquement, "on va devoir ajouter des équipements pour avoir une couverture équivalente."
Le cabinet Tactis, qui conseille des collectivités dans l'aménagement numérique de leur territoire, anticipe donc la nécessité d'une "densification massive des réseaux". Selon ses estimations, il faudra construire deux à trois fois plus de pylônes pour atteindre une couverture similaire en zone rurale. En zone péri-urbaine, il sera nécessaire d'implanter 30% de sites supplémentaires.
En plus de cette bande des 3,5 GHz, les opérateurs comptent dans un second temps utiliser une deuxième bande de fréquences, celle des 26 GHz, afin de proposer un très haut débit. Or, "ces ondes pénètrent très mal les parois vitrées, pointe Gauthier Roussilhe, designer et chercheur, qui étudie l'impact environnemental du numérique. Un obstacle de taille en ville. "Selon les sources, le nombre d'antennes pourrait être multiplié par quatre ou vingt, en zone urbaine dense", explique l'expert. Il faudra donc "des centaines voire des milliers d'antennes". Hugues Ferrebœuf juge cependant "très pessimiste" cette hypothèse d'une antenne tous les 50 à 100 mètres. "Parfois, ce sera tous les 100 mètres, parfois tous les 300 mètres", envisage pour sa part Gauthier Roussilhe.
D'où vient cette fourchette d'une antenne toutes les dix à douze maisons ? Des Etats-Unis, répond Gilles Brégant, directeur général de l'Agence nationale des fréquences (ANFR). "Outre-Atlantique, la bande des 3,5 GHz était encombrée, notamment par des services de sécurité difficiles à déblayer. Pour aller plus vite, les Américains ont attaqué directement par la bande du haut. Chez eux, ça a été la 28 GHz", résume-t-il. Pour déployer la 5G rapidement, "une méthode expéditive" a été employée. De petites antennes, les "small cells", ressemblant à des alarmes incendies ou des alarmes de magasin, ont proliféré. En France, "on ne va pas installer une antenne 5G toutes les dix maisons, ça n'a pas de sens", tranche le patron de l'ANFR.
Vaxxed 2 : de la dissimulation à la fraude
5G: 6 arguments pour un moratoire stratégique
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16 juil. 2020 - Dominique G Boullier - Blog : Le blog de Dominique G Boullier
Peut-on avoir un débat stratégique sur la 5G ou doit-on se contenter des a priori pour ou contre ? La partie est-elle déjà jouée ou les États européens et leurs citoyens ont-ils une possibilité de recouvrer leur souveraineté dans cette affaire ? 6 arguments devraient être débattus séparément et à égalité d’importance: la santé, l'environnement, la souveraineté, les territoires, l'utilité sociale, la sécurité. Tout débat qui éviterait l’une de ces questions serait détourné des vrais enjeux et de l’exploration des possibles qui sont tellement plus nombreux que la dépendance de sentier que l’on veut encore renforcer.
1/ La santé
C’est l’argument principal des opposants. Argument aussitôt rejeté par les partisans puisque « les autres pays l’ont bien lancée ». Mais on peine à trouver les études convaincantes sur le sujet et d’autres pays comme la Suisse et la Belgique ont mis leur processus de lancement en pause pour traiter la question. Les fréquences utilisées sont connues et n’ont jamais provoquées aucun problème, nous dit-on. Sauf que les usages et la densité de couverture n’avait rien à voir. Il faut donc faire des études correctes et cela non seulement en calquant sur les antennes de la 4G puisque la 5G demandera beaucoup plus d’antennes de plus courte portée, certes de plus faible puissance, donc avec de nouveaux paramètres.
N’oublions pas non plus de tester la potentialisation des effets entre ondes électromagnétiques, les effets cocktails, comme on devrait le faire pour les médicaments ou pour les substances chimiques, ce qui est compliqué certes mais nécessaire pour avoir une idée des effets en environnement réaliste ( et on en labo). On ne teste pas une antenne mais la combinaison avec un environnement déjà saturé d’ondes. De même pour le WiFi d’ailleurs, dont les constructeurs ne mesurent les box que émetteur par émetteur et non avec tous les émetteurs de la box activés ensemble, sans parler des autres équipements domestiques ou professionnels.
Nous construisons l’infrastructure du XXIeme siècle nous disent certains pour promouvoir la technologie. Si c’est le cas, cela vaut donc le coup de prendre le temps de faire tous les tests. Mais aussitôt, ce que j’appelle depuis plus de 30 ans « la tyrannie du retard » s’impose à tous : « nous n’avons pas le temps, sinon les autres pays et firmes prendront tout le marché ».
Voilà comment nous avons cédé aux lobbies automobiles, nucléaires ou chimiques pour arriver à ces conséquences que l’on ne peut plus traiter, en laissant faire une dérive systémique. Petite lâcheté après petite lâcheté, avec beaucoup de bonne conscience et pour le bien de tous et surtout de l’industrie, nous avons été incapables de mettre en place une « seconde modernisation », comme l’appelle Ulrich Beck, qui soit capable de penser les conséquences de ses décisions.
Pour la 5G, il n’existe pas de nécessité sociale immédiate mais au contraire un impératif de santé et d’environnement qui est celui du développement contrôlé de la technologie réseau du XXIeme siècle ( dont la 5G n’est qu’un maillon). On ne peut pas jouer avec la santé des consommateurs sous prétexte de business à court terme comme on l’a fait avec l’amiante, le tabac, les pesticide ou les particules du diesel.
Pour la santé, il faut donc : expertises indépendantes, tests en environnements réalistes qui débouchent sur un cahier des charges précis et contraignant, et cela avant d’attribuer les fréquences pour que les opérateurs sachent à quoi s’en tenir.
2/ L’environnement
La consommation d’énergie de la 5G ne peut pas être passée sous silence au moment où tout le secteur du numérique se révèle en croissance permanente, adoptant parfois des technologies aberrantes en matière d’énergie (blockchain à base de proof of work par exemple). De même pour la consommation de matières rares qui ne représente aucun avenir durable mais que l’on poursuit sans vergogne.
Les équipementiers annoncent tous des performances supérieures à la 4G en efficacité énergétique et on voudrait bien les croire. Mais c’est toute la chaine de production qui devrait être auditée sur ce plan, y compris les serveurs et les terminaux. Et cela supposera de prendre en compte l’incitation à la consommation de bande passante et donc les contenus que l’on pousse toujours en plus haut débit, même lorsqu’on pourrait s’en passer, et qui sont fondés sur une captation de notre attention pour engendrer une surconsommation constante.
Mascarade de protection
1- Février 2020- 2 - Masques obligatoires dans les lieux publics fermés à partir du 20 juillet - 3 Mode d'emploi en français ci-dessous
Mode d'emploi en français : Ce produit est un masque d'oreille. Ce produit n'est pas un respirateur et ne fournira aucune protection contre le Covid-19 (coronavirus) ou d'autres virus ou contaminants.
Le port d'un masque d'oreille ne réduit pas le risque de contracter une maladie ou une infection. L'utilisateur est seul responsable de la sélection de l'équipement personnel approprié pour le réglage et l'application. Changer immédiatement en cas de contamination.
Le masque sanitaire comme rituel de soumission
Coronavirus et manipulation politico-sociale : le masque comme rite de passage vers un Nouvel Ordre Mondial…
Publié le 15 juillet 2020 par Olivier Demeulenaere
« En ce 14 juillet 2020, Macronus 1er vient de rendre obligatoires les masques dans les lieux publics clos devant une crainte d’une “seconde vague” du virus qui ne viendra pas, mais surtout comme mesure d’imposition d’une nouvelle “norme” sociale de la paranoïa et du contrôle organisés.
Toute cette affaire du SRAS-CoV-2 ou “nouveau coronavirus”, organisme génétiquement créé en premier lieu, dans un laboratoire de l’université de Caroline du Nord, avant sa militarisation dans les labos secrets du Pentagone et son largage à Wuhan par une fausse équipe sportive militaire yankee “participant” aux jeux inter-armées en octobre 2019, emprunte pas à pas tous les méandres d’une vaste opération planétaire d’ingénierie sociale pour la transformation de nos sociétés en quelque chose de bien plus contrôlable à souhait, toujours sous le coup du thermostat de la tension dont le curseur est monté et descendu le long de sa coulisse, faisant passer le statut psychologique collectif de “crainte” à “peur” jusqu’à “terreur” et “panique” selon les besoins oligarchiques du moment.
A ce titre, une menace invisible, virale, aux effets gonflées à dessein par des gouvernements et des merdias complices, est bien plus efficace qu’une menace terroriste. Plus personne en effet ne croit qu’un islamiste se planque sous son lit, le mousseux est éventé, place donc au nouveau croquemitaine : le bien antipathique et terrifiant Bébert Corona alias COVID19 !
Ainsi dans une 1ère phase, le masque est présenté comme inutile et même dangereux pour la santé, ce que soutient la science, car il n’est pas sain de porter un masque de la sorte des heures par jour. Puis on entre dans la 2ème phase où le masque est présenté comme le symbole de la survie, barrière ultime pour un nouveau virus qui ne fait pas plus de mort que la grippe saisonnière, même en gonflant les chiffres et râclant les fonds de tiroirs des morgues hospitalières. Il est avéré aujourd’hui que le taux de mortalité du CoV19, hors facteurs de co-mortalité, est de l’ordre de 0,45%, celui de la grippe saisonnière étant de 0,35%.
Deuxième vague ? Pensez micro-ondes
Julian Rose - 15 juillet 2020
"Entre 1949 et 1962, tout ce que nous devions savoir sur les micro-ondes était déjà connu. En 1952, toutes les interférences de la condition humaine étaient connues. Toutes les anomalies congénitales, les organes, les cellules, les fonctions cérébrales et les humeurs pouvaient être saisies, modifiées et détruites. Les micro-ondes étaient alors, comme aujourd'hui, utilisées comme des armes furtives, avant qu'elles ne deviennent des téléphones portables".
Ce sont les mots de Barrie Trower, ancien expert en armes à micro-ondes de la Royal Navy, prononcés à l'université d'Exeter en février 2020. Je le citerai à nouveau plus tard.
Une "arme furtive" émet des flèches empoisonnées invisibles et, comme nous l'explique Barrie Trower, des flèches qui modifient, mutilent et tuent. Un tel outil, entre les mains de milliards d'êtres humains, a la capacité d'atteindre ses objectifs grâce à une forme de furtivité très astucieuse, car contrairement à l'intoxication alimentaire, aux polluants matériels ou aux balles, elle ne laisse que très peu de traces dans le corps de ceux qui ae reçoivent.
En fait, tout comme le four à micro-ondes, il cuit la matière vivante de l'intérieur vers l'extérieur plutôt que de l'extérieur comme le fait la cuisson normale. Cela rend la nourriture toxique pour l'intestin humain.
Maintenant, ce que nous avons appris des médecins et des scientifiques les plus instruits et les plus attentifs à l'examen des symptômes du Covid-19, c'est qu'un virus (Covid-19 a été appelé "un virus") attaqué se comporte de la même manière. Dans son effort pour se purifier des agents pathogènes agressifs, il libère ce que l'on appelle des "exosomes", une sorte de mucus comme un fluide qui empoisonne l'envahisseur.
Ces mêmes médecins affirment qu'un virus ne peut pas "passer" d'une personne ou d'un animal à l'autre. Seule une forme de pathogène peut le faire. Après la tristement célèbre épidémie de grippe espagnole qui a tué des millions d'Européens en 1918, des efforts ont été faits pour isoler l'agent pathogène. La profession médicale a largement admis que le véhicule devait être quelque chose qui passe librement entre les humains. Ils ont donc fait en sorte que les personnes infectées éternuent au visage des personnes non infectées et que la salive des animaux infectés soit transmise aux animaux non infectés.
Le résultat a été un choc : aucune des personnes ou des animaux non infectés n'a développé la grippe ni présenté de symptômes associés à celle-ci. Des milliers de personnes ont participé à cette recherche.
La grippe espagnole a été étiquetée comme une forme de coronavirus, mais contrairement à ses cousins Corona qui sont responsables des cycles classiques de la grippe hivernale, elle ne pouvait pas infecter par l'intermédiaire de contacts humains ou de proximité. Un facteur de "furtivité" invisible semble avoir joué un rôle clé dans la maladie respiratoire et fébrile qui a entraîné la mort de tant de personnes en 1918.
Mais il y a quelque chose qui correspond à cette description et qui a été déclenché dans le monde à cette époque et qui est décrit comme "un saut quantique dans l'électrification". Rudolf Steiner a déclaré qu'après cet événement, "il est devenu beaucoup plus difficile d'être humain".
D'autres poussées de maladies virales ont eu lieu lors de l'introduction des radars militaires pendant la Seconde Guerre mondiale. Et maintenant, nous arrivons à une autre expansion de masse critique des technologies de rayonnement micro-ondes : le lancement dans l'espace d'un nombre toujours croissant de satellites 5G émettant des micro-ondes c/o le mégalomane multimilliardaire Elon Musk.
L'expansion au sol des émetteurs 5G sera éclipsée par l'ampleur même des rêves fous (et de nos cauchemars) de Musk. Déjà plus de quatre cents satellites 5G irradiants provoquent des niveaux élevés de perturbation de l'ionosphère où ils sont placés en orbite.
L'ionosphère, comme l'explique Arthur Firstenberg, auteur de The Invisible Rainbow, est le point source du circuit électrique qui alimente toute vie sur Terre avec son énergie dynamique cyclique. Il s'agit d'un mécanisme très délicat, et le fait de le zapper avec un rayonnement étranger modulé a la capacité de déstabiliser complètement les échelles d'énergie harmonique naturelle qui circulent de l'ionosphère vers la Terre, puis, par le biais des orages, de revenir à leur point de départ dans l'ionosphère.
Le meurtrier, M. Musk, veut faire entrer vingt mille de ces armes dans l'ionosphère au cours des deux ou trois prochaines années "afin que chaque centimètre carré de la Terre puisse être couvert". Ne tournons pas autour du pot, il s'agit d'une opération de surveillance centrale et d'un catalyseur de la disparition de la vie sur Terre, combinés.
Nous sommes maintenant dans les mois d'été de 2020. L'arnaque du CV-19, lancée au début de l'année, a entraîné une vague de tromperies, de mensonges et de confusion comme aucun autre événement n'en a jamais connu. Au milieu de la cacophonie de la publicité, des fausses statistiques, des masques futiles et de la distanciation sociale insensée, quelque 0,26% de la population mondiale serait morte du Covid-19.
Ces chiffres correspondent presque parfaitement aux décès annuels normaux liés à la grippe hivernale. Les personnes dont la vie a été sauvée ont souffert d'un virus dont la présence n'a jamais été scientifiquement prouvée.
La cause de la maladie de ces personnes n'a jamais été identifiée ou isolée. C'est pourquoi le "vaccin" prévu ne fera pas ce qu'il sera décrit comme faisant. Il ne protégera pas, mais il rendra tous les récepteurs plus sensibles à toutes les maladies.
Cela nous amène donc à la carte suivante dans le paquet de cartes de la série Corona : la deuxième vague. Si le système de contrôle central doit empêcher le facteur de peur Covid de s'affaiblir - et il s'affaiblit en ce moment -, il doit faire en sorte que la "deuxième vague" soit présente à l'esprit de tous en un minimum de temps.
Un public de plus en plus sceptique va avoir besoin de preuves plus solides que celles de la "première vague" pour prouver qu'il se passe quelque chose de grave. Les autorités le savent, et elles savent qu'elles disposent de l'arme furtive qui constitue le parfait rempart contre une deuxième vague de maladie inexplicable. Assez d'alarme pour que l'emprisonnement à domicile, ou quelque chose de similaire, soit à nouveau à l'ordre du jour.
Quelque chose qui permette aux agents de contrôle de garder un contrôle serré sur les modèles de comportement des foules, maintenant ainsi l'élan vers le système de contrôle planétaire du Nouvel Ordre Mondial cybernétique qui est l'ambition ultime des auteurs cachés derrière cette grande tromperie.
Revenons à Barrie Trower
"En 1965, j'avais déjà un téléphone portable militaire. Il était considéré comme un marché potentiellement très lucratif pour le public. La plupart des pays ont reconnu qu'en raison des dangers encourus, les téléphones portables ne seraient pas autorisés et qu'ils devraient donc adopter le test Schwan 1953 de "six minutes de chauffage seulement". Ce test est toujours en cours d'essai par l'INCIRP aujourd'hui. Il s'agit d'un test totalement inapproprié pour les formes de rayonnement non ionisant à long terme et précise que "si le corps n'est pas chauffé dans les six minutes d'utilisation d'un téléphone portable, il est parfaitement sûr".
Trower poursuit : "Le 5G est apparu pour la première fois en 1972. En 1971, des documents américains top secrets ont prouvé que le cancer était causé par des radiations micro-ondes de faible intensité et en 1973, l'Organisation mondiale de la santé a organisé une conférence à Varsovie. Le document de 350 pages qui a résulté de cet événement a documenté les transmissions par micro-ondes comme étant directement liées au cancer chez les gens ordinaires. Le document a été estampillé "Top Secret" et n'a jamais été publié".
Aujourd'hui, le secret demeure. Il est maintenant "top secret" que la 5G (et peut-être même la 4G+) est un agent causal important dans la maladie respiratoire étiquetée Covid-19. Des preuves scientifiques sont apparues montrant que la 5G aspire l'oxygène de l'air ainsi que les corpuscules du sang. Des articles en ligne reliant la 5G au Coronavirus sont presque instantanément mis sur une liste noire.
La prochaine "grande pandémie", si nous sommes suffisamment nombreux à ne pas nous exprimer pour éviter qu'elle ne se propage à la société, sera une attaque du satellite 5G contre toute vie sur Terre. Mais cette attaque sera intitulée "La deuxième vague de coronavirus". Personne n'admettra que "les micro-ondes" sont "la deuxième vague". Une deuxième vague de 5G.
Ne courez pas vous cacher, ce ne sera pas possible de toute façon. Sortez de votre condition de victime des micro-ondes. Cessez de soutenir l'industrie de l'armement et donnez au monde la chance de vivre et de respirer, et non de subir une lente asphyxie sous une couverture de radiations mortelles.
Julian Rose est un des premiers pionniers de l'agriculture biologique au Royaume-Uni, écrivain, activiste international, entrepreneur et enseignant. Son dernier livre "Overcoming the Robotic Mind - Why Humanity Must Come Through" est une lecture particulièrement perspicace pour cette époque : voir www.julianrose.info