Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Le Forum Economique Mondial veut contrôler les réseaux sociaux
Le directeur du CDC reconnait les effets secondaires des injections Covid
Le sénateur Rand Paul interroge Anthony Blinken
La prise de pouvoir de l’OMS dans le monde: La nouvelle réglementation sanitaire internationale de l’OMS et le traité sur les pandémies, une tyrannie sanitaire inédite dans l’histoire de l’humanité.
Dernier appel au monde pour empêcher l'OMS de mettre l'humanité dans une prison à ciel ouvert
Peter Koenig – Le 25 avril 2023 – mondialisation.ca
Prise de pouvoir mondiale de l’OMS : méfiez-vous du nouveau règlement sanitaire international et du traité sur la pandémie, une tyrannie sanitaire jamais entendue auparavant dans l’histoire de l’humanité
M. Andrew Bridgen , membre du Parlement britannique, dénonce le nouveau Règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS et le Traité sur la pandémie comme une prise de pouvoir sans précédent – privant les 194 pays membres de l’OMS, le monde entier, de leur souveraineté sur les problèmes de santé nationaux.
Le nouveau RSI et le Traité sur la pandémie transféreraient le pouvoir de décider ce qu’est une pandémie et ce qui mérite le statut d’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), et littéralement comment toute question de santé doit être traitée – un mandat illimité de diktat – au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le directeur général de l’OMS peut décider d’une interdiction pure et simple avec sanction de l’utilisation de médicaments « interdits par l’OMS », même s’ils ont prouvé leur efficacité. C’est précisément ce qui s’est passé pendant la dite pandémie COVID-19. Les médecins et les pharmacies n’étaient pas autorisés à prescrire, recommander et vendre des médicaments efficaces contre la COVID, car l’OMS l’interdisait.
Ce pouvoir de l’OMS serait élargi en tant que loi internationale, ou plutôt en tant qu' »ordre reposant sur des règles », le nouveau terme tyrannique choisi par l’élite, pour contourner littéralement toutes les lois nationales et internationales.
Le RSI et le Traité sur la pandémie seront tous deux soumis au vote de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, du 21 au 30 mai 2023. Le vote est prévu le 24 mai 2023. Une majorité des deux tiers est nécessaire pour que le traité soit adopté par les 194 membres de l’Assemblée.
Regardez cette vidéo de 20 minutes de M. Andrew Bridgen, député britannique, expliquant au Parlement britannique pourquoi il faut voter contre le nouveau RSI de l’OMS et le traité sur les pandémies.
La légende du vaccin. Nanotechnologie et « vaccins »
Jean-Yves Jézéquel – Le 25 avril 2023 – mondialisation.ca
Ce texte est le dixième et dernier volet de dix articles.
Sources : Se reporter pour plus de détails et pour les photos au « Dossier N°4, Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », de Laurent Aventin, Santé publique, PhD Mai 2022.
DOSSIER n°4 – Kaya Team Universe
Voir également : « Les implications de l’adresse MAC des injectés aux vaccins covid », 10 octobre 2022 : Mik Andersen, auteur de Corona2Inspect.net
14.1 – Adresse MAC
Nous avons examiné, dans un article posté sur mondialisation.ca, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)
Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.
Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabriquant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.
En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».
Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.
https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin-nanotechnologie-et-vaccins/5677303
Dr Makis : décès d'enfants et technologie ARNm
Tucker Carlson Dernières interventions avant le licenciement par Fox News.
Licenciement de Tucker Carlson : une persécution politique ?
Affaire Ursula von der Leyen: quand les médias français méprisent le devoir d’informer
Chloé Lommisan Publié le 25 avril 2023 - 15:00
JUSTICE - Après une plainte pénale déposée en Belgique contre la présidente de la Commission européenne, l’affaire dite des SMS prend une nouvelle tournure. Le juge chargé de l’instruction devra maintenant avoir accès aux messages échangés en catimini entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla, le PDG de Pfizer. Du fait d’une suspicion de négociation “hors cadre” d’un méga-contrat d’achat de vaccins, ne pas livrer ces SMS considérés comme des documents administratifs constituerait une infraction pénale. Dans le cas de leur destruction, la présidente von der Leyen, en tant que dépositaire de l’autorité publique, devra s’expliquer devant la justice. Le rebond de cette affaire, qui pourrait révéler l’existence “d’un pacte de corruption”, selon l’avocate française Diane Protat, n’est aucunement évoqué dans la presse française, à de rares exceptions près dont France-Soir et l’Humanité. Mais où est passé le devoir d’informer ?
Certes, les contrats sur les vaccins négociés par SMS interposés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, président du géant pharmaceutique Pfizer, ont fait couler beaucoup d’encre.
Plusieurs articles se sont préoccupés de détailler les méandres administratifs du dossier, lorsque des députés européens ont invité, à deux reprises et sans succès, le PDG de Pfizer à venir s’expliquer devant le parlement européen.
Conflits d'intérêt ? Corruption ?
Depuis octobre 2022, une enquête est en cours au sein même des instances européennes. Par la suite, en décembre, l’association BonSens a initié une procédure devant la Cour de l’État de New York afin d’obtenir la publication des fameux SMS, qui alimentent de lourds soupçons de conflits d’intérêts, voire de corruption à l’encontre de la présidente de la Commission européenne.