Ciel Voilé
L'association Ciel voilé a pour but de diffuser de l'information sur la géo-ingénierie, les atteintes à l'environnement et à la santé humaine.
La téléphonie mobile - Le danger caché
Nouvelle publication de J Marvin Herndon : Pourquoi la théorie de la tectonique des plaques est fausse : Introduction aux géosciences modernes ?
J Marvin Herndon Ph D - Le 7 novembre 2025
La science est une activité en constante évolution qui consiste à remplacer une compréhension imprécise par une compréhension plus précise. Lorsqu'une idée nouvelle apparaît, elle doit faire l'objet de discussions et de débats. Si possible, il convient de s'efforcer de la réfuter, de démontrer son inexactitude. Si la communauté scientifique est incapable de la réfuter, il faut néanmoins la reconnaître et la citer dans la littérature scientifique pertinente. Ainsi, d'autres pourront contribuer à son développement. Historiquement, c'est ainsi que la science progresse et se développe.
Au cours de mes cinquante années de carrière, j'ai constaté qu'aux États-Unis, dans l'Union européenne et au sein du Commonwealth, la science abandonnait progressivement les normes scientifiques établies et adoptait des méthodologies et des croyances non scientifiques. Malheureusement, chaque nouvelle génération de scientifiques s'éloigne davantage de la compréhension et de l'application des normes scientifiques qui permettent des progrès substantiels, du moins dans les domaines où j'ai acquis de l'expérience, à savoir les sciences de la Terre, les sciences planétaires et l'astrophysique. Or, ce sont précisément ces mêmes scientifiques qui rédigent les manuels d'introduction à la science. Les manuels d'introduction offrent généralement une vue d'ensemble qui reflète souvent le consensus, la compréhension populaire présentée comme un fait établi sans que ses limites soient soulignées. Cette introduction générale est généralement la seule vue d'ensemble que les étudiants reçoivent avant de se spécialiser dans des domaines tels que la sismologie. Dans les manuels, la question suivante est rarement, voire jamais, soulevée : « Où est le problème ?» Les manuels ne remettent généralement pas en question la validité sous-jacente des affirmations qu'ils font. De plus, ils n'apprennent pas aux étudiants à faire des découvertes scientifiques.
Ce manuel, lui, le fait. Il présente la progression logique, étape par étape, des observations et des découvertes qui mènent à une base scientifique solide pour la compréhension des sciences de la Terre et des planètes. Il enseigne également certaines méthodes susceptibles de mener à de nouvelles découvertes. Pour beaucoup, il s'agira d'une nouvelle approche d'apprentissage. Certains seront peut-être surpris que le sujet traité diffère du consensus présenté dans d'autres manuels. Grâce aux centaines de références scientifiques fournies, les étudiants auront de nombreuses occasions de questionner les contradictions et de parvenir à une meilleure compréhension des sciences.
Le livre en anglais sur Amazon :
Vidéo 2h31’ :
https://www.youtube.com/watch?v=Ff9_SGIsZDs
Non aux franchises médicales et participations forfaitaires !
Non aux franchises médicales et participations forfaitaires !
Nous refusons de payer une franchise de 2€ par boîte de médicament. Ce qui fait qu’une boîte de paracétamol prescrite serait entièrement à notre charge.
Nous refusons de payer une participation forfaitaire de 4€ pour une consultation ou un acte médical.
Nous refusons de payer une franchise de 8€ sur les transports sanitaires.
Nous refusons que de nouvelles franchises et participations forfaitaires soient mises en place sur les soins dentaires, sur les dispositifs médicaux comme des béquilles, des compresses, une pompe à insuline !
Nous refusons d’ avoir à payer jusqu’à plusieurs centaines d’euros par an et par personne, non pris en charge par les mutuelles, pour plus de 50 millions d’entre nous !
Ce sont les plus malades qui seront les plus touché.e.s ! C’est aggraver les inégalités d’accès à la santé !
NOUS DISONS NON AUX FRANCHISES ET PARTICIPATIONS FORFAITAIRES
- Parce qu’elles sont injustes et dangereuses : ajoutées aux différents restes à charge (forfait hospitalier, forfait urgences…) ainsi qu’aux déremboursements de médicaments et aux dépassements d’honoraires, elles retardent ou empêchent l’accès aux soins.
- Parce qu’elles sont un non-sens économique : toutes les analyses prouvent que le retard à l’accès aux soins coûte beaucoup plus cher, et que, au contraire, la prévention et un suivi régulier sont facteurs de meilleure santé ET d’économies pour l’assurance maladie.
- Parce que l’objectif au final est de remplacer le principe d’un système de santé solidaire, permettant à toutes et tous de se soigner, par celui du « chacun pour soi ».
- Parce que des moyens existent pour financer la Sécurité Sociale à la hauteur des besoins : comme d’augmenter les salaires, de réaliser l’égalité salariale homme femme, de supprimer les exonérations de cotisations patronales qui ont été multipliées par 4 en 10 ans et ont atteint 89 milliards d’euros en 2024, de supprimer les exemptions de cotisations (14,5 milliards d’euros en 2024), de lutter contre le travail dissimulé par les employeurs (10 milliards d’euros par an) …
C’EST POURQUOI NOUS EXIGEONS LA SUPPRESSION DE TOUTES LES FRANCHISES ET PARTICIPATIONS FORFAITAIRES !
Signez la pétition :
https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-4594
Air France-KLM et la Lufthansa se rebellent contre l'UE ?
Enquête à tombeau ouvert : l'affaire Kabile.
Seulement 14 % des tests PCR positifs correspondaient à de vraies infections : une étude allemande remet en question les chiffres du Covid-19
Le Collectif citoyen, France-Soir Publié le 08 novembre 2025 - 08:30
Une nouvelle étude publiée dans la revue Frontiers in Epidemiology jette un éclairage inédit sur la fiabilité des tests PCR pour évaluer la propagation du SARS-CoV-2 en Allemagne. Menée par une équipe de chercheurs allemands et suisses, dont Michael Günther de l'Université de Stuttgart et Harald Walach de l'Institut Change Health Science à Bâle, cette analyse révèle que seuls 14 % des résultats PCR positifs se traduisaient par de réelles infections confirmées par des anticorps IgG. Ces résultats, basés sur des données massives de tests, soulèvent des questions sur la gestion de la pandémie et pourraient avoir des répercussions au-delà des frontières allemandes, y compris en France.
Des tests PCR surévalués : les chiffres clés de l'étude
L'étude, intitulée Calibrage des acides nucléiques (PCR) par des tests d'anticorps (IgG) en Allemagne : estimation de l'évolution des infections par le SARS-CoV-2, s'appuie sur les données d'un consortium de laboratoires accrédités (ALM), qui a réalisé environ 90 % des tests PCR en Allemagne entre mars 2020 et janvier 2023, ainsi que des tests sérologiques IgG jusqu'en mai 2021. Les chercheurs ont croisé les courbes temporelles hebdomadaires des positivité PCR et IgG pour calibrer l'une par rapport à l'autre.
Le résultat principal ? Un facteur de calibration de 0,14 : cela signifie que pour sept personnes testées positives au PCR, seule une avait développé des anticorps IgG indiquant une infection réelle. Selon les auteurs, cela sous-entend que « seulement un Allemand sur sept avec un test PCR positif a été véritablement infecté ». L'analyse estime par ailleurs que, fin 2020, un quart de la population allemande (environ 25 %) portait déjà des anticorps issus d'infections naturelles – bien avant le début massif de la vaccination en 2021.
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Les confinements COVID-19 aux États-Unis : une étude choc révèle des effets néfastes dans 75 % des cas
Le Collectif citoyen, France-Soir Publié le 08 novembre 2025 - 08:45
Une revue systématique publiée ce mois-ci dans Health Affairs Scholar dresse un bilan accablant des confinements et fermetures d'écoles imposés aux États-Unis pendant la pandémie de COVID-19. Analysant 132 études revues par les pairs et 454 résultats uniques, les chercheurs de l'Indiana University concluent que ces mesures, censées protéger la population, ont eu des conséquences majoritairement néfastes sur la santé publique, touchant particulièrement les populations vulnérables. Plus de 90 % des effets sur la santé mentale, l'obésité et les besoins sociaux (éducation, emploi, alimentation) sont jugés « détrimentaux ».
L'étude, menée par Heather L. Taylor et son équipe, s'appuie sur une méthodologie rigoureuse suivant les directives PRISMA. Elle exclut délibérément les impacts directs sur la transmission virale ou la mortalité COVID-19 – domaines où les confinements ont eu un effet modéré – pour se concentrer sur les retombées collatérales. Sur la période 2020-2024, les données issues de bases comme Medline et Embase montrent que 74,7 % des 454 résultats analysés sont néfastes : augmentation de la dépression et de l'anxiété (92,7 % des cas), explosion de l'obésité chez les enfants (94,3 %, avec des gains d'IMC multipliés par 10), et effondrement des apprentissages scolaires (96,6 %).
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UrsulaGate et le Cartel Mondial du Covid : scandale, étouffé par les mainstream, sous le scalpel de Weltwoche
Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 08 novembre 2025 - 10:15
Dans un écosystème médiatique dominé par les géants de l'information mainstream – BBC, New York Times, Le Monde ou The Guardian –, l'affaire UrsulaGate, ou PfizerGate, reste un fantôme : évoquée du bout des lèvres, diluée en brèves factuelles, mais jamais disséquée avec la profondeur qu'elle mérite. À la date d'aujourd'hui, novembre 2025, ces médias ont bien rapporté des événements périphériques, comme la décision de la Cour de justice de l'UE en mai 2025 annulant le refus de la Commission européenne de divulguer les SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, ou la survie aisée de von der Leyen à un vote de confiance en juillet 2025 au Parlement européen. Pourtant, ces articles se contentent d'une surface lisse : une « erreur administrative » ici, une « victoire pour la transparence » là, sans jamais plonger dans les abysses de la corruption présumée, des destructions de preuves ou des liens tentaculaires avec un cartel globaliste. L'absence de ces termes incendiaires comme « UrsulaGate » ou « PfizerGate » dans leurs colonnes n'est pas fortuite ; elle opacifie délibérément l'ampleur du scandale, le reléguant au rang d'anecdote judiciaire plutôt que de crise démocratique. Pourquoi ce voile ? Les lobbies pharmaceutiques et les élites bruxelloises, bien implantés dans les rédactions, préfèrent-ils une amnésie collective à une enquête qui pourrait ébranler les fondations de l'UE ?
C'est dans ce vide informationnel que s'inscrit l'article de Urs Gehriger pour Weltwoche, une rare perle d'investigation exhaustive, signée via une interview exclusive avec Frédéric Baldan, l'ancien lobbyiste belge devenu paria pour avoir osé briser le silence. Ce texte n'est pas seulement complet : il est un antidote à l'opacification médiatique, reliant le contrat vaccinal opaque de 35 milliards d'euros à un réseau de pouvoir occulte, tout en exposant les représailles féroces contre son auteur. Une lecture indispensable pour qui refuse que l'histoire soit réécrite en blanc-seing.
La suite :
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