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Hitler et la fondation d’Israël – L’accord Ha’avara
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Ingrid Wecker – Le 16 janvier 2020 – Réseau International
Si jamais il y a eu un accord qui a permis la création de l’État d’Israël, c’est bien le Ha’avara.
Il n’est pas surprenant que le Dr. Ludwing Pinner, membre du conseil d’administration de la société du Ha’avara, dans son essai « L’importance de l’immigration allemande pour la Palestine juive », publié en 1972, ne tarisse pas d’éloges sur les avantages incommensurables de cet accord. Il démontre clairement que c’est l’immigration de Juifs d’Allemagne qui a préparé le terrain pour l’État d’Israël. Sans le capital allemand, sans le savoir professionnel et technique, sans l’esprit d’initiative et l’énergie des Juifs d’Allemagne, il n’y aurait pas eu d’État d’Israël.
L’émigration régulière des Juifs d’Allemagne a démarré dès le mois de mai 1933 avec la mise en place de l’Organisation Ha’avara qui aura permis le transfert de dix mille Juifs d’Allemagne avec leur fortune et leurs possessions vers la Palestine (Ha’avara comme nous l’écrirons dans la suite signifie « transfert » en hébreu).
Les principes de ce genre de transfert ont été dégagés par Theodor Herzl dans son Der Judenstaat [l’État Juif]. Herzl avait prévu les difficultés qui se présenteraient en cas de départ d’un grand nombre de Juifs de leur pays hôte, en particulier si, comme c’était le cas pour l’Allemagne, ils constituaient un élément économique de poids. Il proposait de créer des « sociétés juives » dont l’objet serait de liquider les biens immobiliers des Juifs sur le départ. Ces migrants ne devaient pas suite à la cession de leurs biens dans le pays d’origine, recevoir de contrepartie monétaire immédiate, mais devraient recevoir « de l’autre côté », Herzl pensait à la Palestine, leur contrevaleur en maisons et marchandises, le tout en accord avec les besoins et le potentiel des nouvelles communautés[1].
La suite :
https://reseauinternational.net/hitler-et-la-fondation-disrael-laccord-haavara/