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France Télévisions : le gouffre à ciel ouvert de l'audiovisuel public, financé par vos impôts
Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 27 septembre 2025 – 17:15
Le mastodonte qui avale 2,6 milliards d'euros par an d'argent public – soit près de 80 % de son budget – pour cracher des déficits chroniques, des salaires indécents et une propagande déguisée en information impartiale. C'est France Télévisions, la vitrine soi-disant « exemplaire » de l'audiovisuel public français. Le rapport accablant de la Cour des comptes, rendu public le 23 septembre 2025, dresse un portrait au vitriol d'une entreprise unique en son genre : un paquebot en train de couler, lesté par des gabegies somptuaires et un cadre social figé dans les années 1970.
Près de 9 000 salariés, un chiffre d'affaires de 3,3 milliards en 2024, et pourtant un cumul de déficits de 81 millions d'euros sur 2017-2024, avec des capitaux propres en chute libre de 39 % (de 294 à 179 millions). La trésorerie ? Au plus bas depuis 2022, avec un cash-flow négatif qui fait grincer des dents. Et pour 2025, un déficit net de 40 millions, malgré une hausse temporaire des subventions en 2023-2024. La Cour ne mâche pas ses mots : « une situation financière critique qui impose sans délai des réformes structurelles jusqu'ici ajournées ». Ce n'est pas qu'une question de chiffres froids. C'est un scandale structurel, où l'argent des contribuables finance un modèle « non soutenable dans la durée », comme l'alerte la Cour. Les ressources publiques, resserrées de 161 millions entre 2018 et 2022, fluctuent au gré d'arbitrages politiques mouvants, pendant que les recettes publicitaires des filiales (comme France Télévisions Publicité) patinent et que les perspectives commerciales hors pub restent anémiques. Ajoutez à cela un échec retentissant comme Salto – 57,7 millions de pertes en 2022, plus 200 millions d'investissements IT d'ici 2027 sans retour clair sur investissement – et le tableau est complet : une machine à cash qui fonctionne à vide, avec un projet Campus (regroupement des équipes franciliennes) menacé d'un surcoût de 20 %.
La suite :
Dépenses militaires record : la course aux armements, un suicide collectif au nom de la « paix » ?
Le Collectif Citoyen, France-Soir Publié le 27 septembre 2025 – 09:30
Imaginez un monde où l'humanité dépense 2 700 milliards de dollars par an pour fabriquer des armes, pendant que des millions meurent de faim ou fuient des guerres qu'on alimente soi-même. C'est notre réalité en 2024, selon l'ONU, qui alerte sur un record absolu de dépenses militaires mondiales atteignant 2 718 milliards de dollars – une hausse de 9,4 % par rapport à 2023, la plus brutale depuis la fin de la Guerre froide.
Et ce n'est que le début : les projections tablent sur un gonflement à 6 600 milliards selon l’ONU d'ici 2035, si rien ne change. Pendant ce temps, le financement du développement mondial accuse un trou béant de 4 000 milliards. Absurde ? Non, tragique. Cette course aux armements, dopée par les conflits en Ukraine, au Yémen et au Moyen-Orient, n'est pas une fatalité : c'est un choix politique, souvent masqué par des discours lénifiants sur la « défense de la démocratie ».
Mais creusons. Derrière les chiffres, se cachent des incohérences criantes, comme celles d'Emmanuel Macron, qui prône la paix à l'ONU tout en versant des hectolitres d'essence sur le feu des guerres proxy. Sans oublier bien sur le rôle de certains lobbyistes ou sénateurs qui s’invitent dans les décisions hors de leur frontière et attisent la foudre sous couvert de conseils éclairés (comme le sénateur Lindsey Graham qui fera l’objet d’un article séparé).
La suite :
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