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Les députés allemands remettent en question les politiques de géo-ingénierie
31 octobre 2025 | ZEROGeoengineering.com |
Les membres du Parlement allemand ont demandé au gouvernement fédéral des informations sur la responsabilité et la responsabilité des expériences de MRS. La réponse a révélé que la Commission européenne prend des décisions concernant les projets de géo-ingénierie au sein de l'UE, tandis que les États membres et les citoyens sont sur la touche.
La députée Nicole Höchst a résumé la réponse à sa question: «Dans sa réponse à notre petite question, le gouvernement fédéral confirme qu'il n'a aucune responsabilité, aucun mécanisme d'examen ou responsabilité qui lui est propre pour les projets de géo-ingénierie financés par l'UE. Les vrais laboratoires, les interventions en formation de nuages ou en extraction de CO2 sont sous la responsabilité de Bruxelles – l’Allemagne paie, mais ne vérifie rien. Pas de droit de veto, pas d'évaluation des risques, pas de base légale. Nous exigeons: la surveillance nationale, la transparence et la responsabilité – avant que des expériences ne se déroulent dans le ciel. »
Réponse du gouvernement fédéral à des questions parlementaires de députés
Document du Bundestag allemand n° 21/2382, 21e législature, 22.10.2025
Réponse du gouvernement fédéral à des questions parlementaires des députés Nicole Höchst, Dr. Michael Kaufmann, Dr. Christoph Birghan, autres députés et du groupe parlementaire AfD - Document n° 21/2083
Questions en suspens concernant la responsabilité et la redevabilité des projets de géo-ingénierie
Préface des auteurs de la question
Les auteurs de la question souhaitent s'enquérir des relations entre le gouvernement fédéral et le programme-cadre de recherche de l'UE, notamment le projet Horizon Europe, afin de clarifier les points suivants :
Ci-dessous (cf. www.horizont-europa.de/).
Ces points concernent à la fois la structure du financement, les risques potentiels et la redevabilité qui en découle.
1. Le programme-cadre de recherche soutient-il spécifiquement les mesures de communication scientifique ?
Conformément aux orientations du ministère fédéral de l’Éducation et de la Recherche (BMBF), les coûts liés à la communication axée sur le dialogue et à la diffusion de contenus scientifiques auprès du public sont éligibles à un financement, et les bénéficiaires de subventions sont encouragés à soumettre des concepts correspondants. Si oui, cela s’applique-t-il également aux projets menés dans le cadre d’Horizon Europe, et comment cela est-il mis en œuvre concrètement ?
Dans le cadre d’Horizon Europe, les bénéficiaires de financements sont tenus, en vertu de l’article 51 du règlement Horizon Europe et de l’article 17 de la convention-type de subvention, de promouvoir les projets et leurs résultats en fournissant des informations ciblées à différents publics cibles, notamment les médias et le grand public, dans le cadre de campagnes d’information. Les coûts sont imputés aux projets.
La réponse a été transmise au nom du gouvernement fédéral par une lettre du ministère fédéral de la Recherche, de la Technologie et de l’Espace en date du 22 octobre 2025. Le document contient également, en caractères plus petits, le texte des questions.
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2. Quel est le rôle du gouvernement fédéral dans l'approbation des financements au titre du programme-cadre de recherche de l'UE ? Le gouvernement fédéral estime-t-il probable que la Commission européenne prenne les décisions de financement, tandis que les organismes nationaux tels que le BMFTR (Ministère fédéral de la Recherche, de la Technologie et de l'Espace) ou le DLR (organisme de parrainage du projet) interviennent à titre consultatif, par exemple par l'intermédiaire des points de contact nationaux ?
La décision d'approbation des financements dans le cadre d'Horizon Europe est prise par la Commission européenne sur la base de l'évaluation des propositions de projets par des experts indépendants. Le gouvernement fédéral influence l'orientation et la conception des programmes de travail, et donc le contenu des appels à propositions, par l'intermédiaire des comités de programme, composés de représentants des États membres (articles 13 et 14 de la décision 2021/764 du Conseil). Les points de contact nationaux agissent au nom du gouvernement fédéral à titre consultatif auprès des candidats allemands dans le cadre d'Horizon Europe.
3. Le gouvernement fédéral peut-il confirmer et expliquer comment il exerce son influence à cet égard (cf. question 2), par exemple par le biais de la priorisation stratégique ? Si oui, qui communique ces priorités, à la demande de qui, à quels organismes et par qui ?
Le gouvernement fédéral influence l’orientation et la conception des programmes de travail, et donc la priorisation stratégique et le contenu des appels à propositions, par l’intermédiaire des comités de programme, composés de représentants des États membres. Le ministère fédéral de la Recherche, de la Technologie et de l’Espace (BMFTR) associe les ministères et départements concernés à la coordination.
4. Malgré l’absence de droit de veto, le gouvernement fédéral peut-il formuler des évaluations ou des déclarations sur les projets, notamment lorsqu’ils concernent de véritables laboratoires en Allemagne ?
Il convient de se référer à la réponse à la question 2. Le gouvernement fédéral peut formuler des observations sur les projets européens individuels.
Par ailleurs, il n’existe pas de réglementation spécifique pour les véritables laboratoires dans le cadre d’Horizon Europe.
5. Existe-t-il des mécanismes permettant au gouvernement fédéral d'évaluer les risques potentiels ou les opportunités de tels projets (cf. question 4) ?
Tous les projets doivent déjà inclure une évaluation des risques, de la sécurité et de l'éthique dans le cadre de leur candidature.
Cette évaluation recense les risques potentiels et précise les mesures d'atténuation des risques, notamment la protection de l'environnement et un niveau élevé de protection de la santé humaine (article 19 du règlement Horizon Europe). Elle est réalisée dans le cadre de l'évaluation des projets par des experts externes et la Commission. La Commission peut mettre fin aux projets si les règles de sécurité ne sont pas respectées, si les objectifs ou les résultats scientifiques ne sont pas atteints, ou si les exigences ou obligations éthiques de la convention de subvention ne sont pas respectées (articles 19, 20 et 32 du règlement Horizon Europe et article 32.3 de la convention de subvention type). Par ailleurs, il est fait référence à la réponse à la question 2. Le gouvernement fédéral ne procède à aucune autre évaluation.
Document 21/2382 - 2 - Bundestag allemand - 21e législature.
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6. Comment le gouvernement fédéral évalue-t-il la situation sécuritaire en Allemagne concernant la recherche sur la capture du dioxyde de carbone (CDR) et la gestion du rayonnement solaire (SRM) ?
En effet, ces technologies présentent potentiellement des risques écologiques et sociétaux importants.
Le gouvernement fédéral n’a constaté aucun impact ou menace particulière sur la sécurité en Allemagne concernant la recherche sur la capture du dioxyde de carbone (CDR) et la gestion du rayonnement solaire (SRM).
7. Existe-t-il des précautions ou réglementations de sécurité spécifiques applicables à ces projets (cf. question 6) en Allemagne, notamment dans le cadre des laboratoires réels financés par l’UE ?
Le gouvernement fédéral n’a constaté aucune précaution ou réglementation de sécurité spécifique concernant les projets correspondants. Voir la réponse à la question 5. Aucune activité de recherche n’est financée dans un État membre si elle y est interdite par sa législation nationale (article 18 du règlement Horizon Europe).
8. Selon les informations dont dispose le gouvernement fédéral, qui est responsable dans les pays touchés en cas de catastrophe scientifique résultant d'un projet de recherche de l'UE ? Cette responsabilité incombe-t-elle à l'UE, aux autorités nationales (par exemple, l'Allemagne, si elle est touchée) ou aux institutions de mise en œuvre ?
Dans le cadre du programme-cadre de l'UE pour la recherche et l'innovation (« Horizon Europe »), la convention de subvention type est utilisée pour l'émission de tous les contrats de financement (« Conventions de subvention »). Ces contrats sont conclus par la Commission européenne ou ses organes d'exécution avec les institutions de mise en œuvre (« Bénéficiaires »). En cas de dommages causés par les institutions de mise en œuvre ou par des tiers dans le cadre de la mise en œuvre du projet, les institutions de mise en œuvre sont responsables (article 33.1 de la convention de subvention type).
9. Quelles conséquences juridiques internationales pourraient découler, de l’avis du gouvernement fédéral, d’interventions d’envergure dans les processus naturels, telles que des projets de géo-ingénierie à grande échelle (cf. question 8), et existe-t-il déjà des cadres juridiques ou des discussions à ce sujet au niveau de l’UE ou au niveau international ?
En principe, des questions juridiques internationales peuvent se poser suite à des interventions d’envergure dans les processus naturels, telles que des projets de géo-ingénierie à grande échelle. Ce sujet fait également l’objet de recherches et de débats internationaux (par exemple, sur les principes et la gouvernance de la prévention des risques).
En matière de réglementation internationale, le gouvernement fédéral s’engage à respecter le cadre juridique international, notamment la décision X/33 du 29 octobre 2010, prise dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique (CDB). La « Communication conjointe au Parlement européen et au Conseil » (JOIN 19 du 28 juin 2023, p. 20) reflète également cette position. Le gouvernement fédéral suit de près les débats actuels sur les réglementations internationales potentiellement nécessaires à la gouvernance de la gestion des risques environnementaux (SRM) et se réserve le droit d'intervenir dans ce domaine à l'avenir.
Bundestag allemand - 21e législature - Document 21/2382.
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10. Est-il prévu de soutenir les projets de recherche de l'UE qui permettent de mettre en application les résultats scientifiques par le biais de véritables laboratoires en Allemagne ?
Le gouvernement fédéral est généralement favorable au recours à de véritables laboratoires afin d'accélérer le transfert des innovations vers le marché et de favoriser l'apprentissage réglementaire. Aucun traitement particulier n'est prévu pour les projets de recherche de l'UE.
La Commission a présenté des exemples d'application pertinents concernant les véritables laboratoires, les bancs d'essai et les « living labs » en 2023, dans le cadre d'un document de travail destiné à accompagner les autorités réglementaires et les innovateurs dans leur approche des expérimentations au sein de l'UE.
Document 21/2382 - 4 - Bundestag allemand - 21e législature
Production totale : H. Heenemann GmbH & Co. KG, impression de livres et d'offsets, Bessemerstraße 83-91, 12103 Berlin,
Distribution : Bundesanzeiger Verlag GmbH, P.O. Boîte 10 05
https://zerogeoengineering.com/2025/german-mps-question-geoengineering-policies/
France : https://www.horizon-europe.gouv.fr/
Halte au risque d’une obligation injustifiée de vaccin anti rougeole pour les soignants
Halte au risque d’une obligation injustifiée de vaccin anti rougeole pour les soignants
Nouvelle folie : l’obligation vaccinale des soignants contre la rougeole
le dr G Delépine chirurgien oncologue statisticien
Le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale comporte une obligation pour les professionnels de santé de se faire vacciner contre la grippe et la rougeole.
Ce projet est âprement défendu par nos dirigeants, le professeur Benjamin Davido qui prétend que la rougeole « reste un fardeau pour l’hôpital »[1] et que « l’immunité vaccinale de la rougeole, dure dans le temps. L’immunité est à vie » (ce qui est mensonger comme nous le rappellerons plus loin) ou le docteur R.Cohen qui affirme « au Maroc il y a eu 30000 cas et des centaines de morts »[2] (en réalité 20000 cas et 107 morts) agitant la peur de la maladie pour multiplier les vaccinations et oublie curieusement de préciser la bénignité de la rougeole en France.
Nous rappellerons les faits établis qui contredisent leurs affirmations et en particulier la bénignité de la maladie en France, la rareté de transmission soignants-malades, et les incertitudes des vaccins puis les liens d’intérêts des docteurs Davido et Cohen qui expliquent vraisemblablement leurs prises de position.
Sans compter qu’en l’absence de vaccin monovalent contre la rougeole c’est en réalité une triple vaccination que cette obligation entrainerait.
Dis-moi qui te paye et je te dirai qui tu es.
La suite :
Le business du cancer : octobre rose et biopsie
L'or de la France
Génocide au Soudan
Vénézuéla : un complot américain visant à kidnapper le président Maduro en tentant de s'emparer de son pilote a été déjoué
30 octobre 2025 Caracas (OrinocoTribune.com)
Un agent des services de renseignement américains a été arrêté pour avoir tenté de corrompre un pilote d'avion travaillant pour le président vénézuélien Nicolás Maduro afin de l'enlever, selon un article de l'Associated Press.
L'article détaille comment un agent du département américain de la Sécurité intérieure (HSI), identifié comme Edwin Lopez, a approché le pilote vénézuélien après avoir appris en 2024 que deux jets privés fréquemment utilisés par le président Maduro étaient en réparation en République dominicaine. Lopez a ordonné au pilote de détourner un vol transportant le président vénézuélien vers un lieu où il pourrait être enlevé par des agents américains, lui offrant une récompense de plusieurs millions de dollars et allant jusqu'à menacer ses enfants.
Le pilote, identifié comme étant l'officier de l'aviation militaire vénézuélienne de l'époque, le colonel (aujourd'hui général) Bitner Villegas, n'a pas trahi le dirigeant chaviste, malgré les pressions exercées sur lui. Selon l'article de l'AP, signé par Joshua Goodman, Lopez est resté en contact avec Villegas pendant au moins 16 mois. Villegas est resté évasif, mais a continué d'échanger des messages avec l'agent pendant plus d'un an, même après la retraite de Lopez en juillet 2025, une pratique courante dans les opérations de contre-espionnage.
Le régime américain a tenté d'innombrables opérations infructueuses, d'abord pour destituer le président Hugo Chávez, puis le président Maduro. Au cours des deux dernières décennies, la Maison Blanche a instrumentalisé des récits de coups d'État, de présidents intérimaires, d'implication de guérillas et de prétendu « terrorisme islamique », ainsi que des accusations de violations des droits de l'homme et d’atteintes à l'environnement, afin de déstabiliser la Révolution bolivarienne.
Plus largement, ces révélations surviennent alors que les États-Unis intensifient la pression militaire et de renseignement sur Caracas à des niveaux sans précédent. L'administration Trump a autorisé la CIA à mener des opérations clandestines létales au Venezuela et a déployé des navires de guerre, des avions et près de 10 000 soldats dans les Caraïbes pour une nouvelle « guerre contre la drogue ».
En janvier, le régime américain a offert une prime sur la tête du président vénézuélien, portée de 15 à 25 millions de dollars par le ministère de la Justice. En août, quelques jours avant l'annonce du déploiement militaire américain controversé dans la mer des Caraïbes, la prime offerte pour la capture du président Maduro a été portée à 50 millions de dollars. De nombreux analystes ont souligné qu'il s'agissait d'une nouvelle tentative de changement de régime visant à déstabiliser le Venezuela, important producteur de pétrole.
Depuis des années, des acteurs d'extrême droite, tant au Venezuela qu'aux États-Unis, réclament que la prime soit portée à 100 millions de dollars afin de rendre viable une opération de mercenaires contre le président vénézuélien. Le tristement célèbre chef de mercenaires Erik Prince en a même fait la déclaration publique sur les réseaux sociaux à la mi-2024.
Ces derniers mois, le régime Trump a accusé le président Maduro d'être un trafiquant de drogue, le chef du gang criminel quasi éradiqué Tren de Aragua, vaincu grâce à l'union civique et militaire vénézuélienne, et du cartel des Soleils, un groupe entièrement fictif. Il est également soupçonné d'avoir des liens avec le cartel de Sinaloa au Mexique. Aucune preuve n'a été présentée pour étayer ces allégations extravagantes.
Par ailleurs, des frappes militaires américaines contre de petites embarcations dans les Caraïbes et le Pacifique ont jusqu'à présent causé la mort de 57 civils au large des côtes du Venezuela, du Mexique, de Trinité-et-Tobago et de la Colombie. Des experts américains et internationaux qualifient ces frappes d'exécutions extrajudiciaires.Caracas (OrinocoTribune.com)
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