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La riposte de Raoult: des marionnettes éphémères soutenues par une presse sans autre objectif que la complaisance envers ceux qui les financent,
Publié le 18 décembre 2024 par pgibertie
C’est nous les gentils !
Notre époque évoque une époque troublée de l’empire romain après la mort de Neron, empereur se prenant pour un acteur, l’année des 4 empereurs. Nous vivons l’année des 4 Premiers ministres, phénomène aussi inhabituel que l’était l’année des 4 empereurs (Suetone, la vie des 12 Cesars).
Marx écrivait’’ l’histoire se répète, la première fois comme une tragédie, la seconde comme une farce’’ Le problème des citoyens devant ce tourbillon de ministres est la validité dans le temps de leurs exigences, quand elles sont contraires à notre expérience, à notre morale et à notre métier qui, comme médecin, n’est pas d’obéir comme un soldat, mais de soigner !
Toute mon équipe qui était la plus citée au monde en maladies infectieuses dans la littérature scientifique en 2021 (9 chercheurs sur 85 français les plus cités pour la médecine) a été décimée par le ministère et son ‘’exécuteur de basses œuvres ‘’ F. Crémieux, directeur du CHU APHM depuis 2021, ex-adjoint de M. Hirsch de APHP à Paris (qui a eu des résultats dans le soin plus que médiocres).
On a choisi un des responsables de la plus mauvaise gestion de crise pour détruire la plus efficace !!! Nous avons, en 2 ans, testé par PCR 1,2 million de cas, dont les résultats ont été transmis le jour même, les parisiens en 2020 prenaient le TGV pour être testés à Marseille (on ne testait pas à Paris).
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Les Européens coordonnent leur soutien à l’Ukraine en vue d’éventuels pourparlers sur un cessez-le-feu
Les Européens coordonnent leur soutien à l’Ukraine en vue d’éventuels pourparlers sur un cessez-le-feu
Alexandra Brzozowski et Aurélie Pugnet | EURACTIV.com | traduit par Marine Béguin
À un peu plus de quatre semaines du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les dirigeants européens commencent à former des coalitions pour s’assurer du soutien continu à l’Ukraine en cas de futurs pourparlers sur un cessez-le-feu.
Mercredi 18 décembre, un dîner informel organisé par le secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), Mark Rutte, avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et plusieurs dirigeants européens, a contribué à assurer du soutien continu à l’Ukraine dans les mois à venir.
Les discussions informelles à la résidence bruxelloise de Mark Rutte ont été suivies par l’Allemand Olaf Scholz, l’Italienne Giorgia Meloni, la Danoise Mette Fredriksen et le Polonais Andrzej Duda, ainsi que par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen António Costa.
De son côté, le président Emmanuel Macron a fait l’impasse sur le dîner pour se rendre sur l’île de Mayotte, ravagée par un cyclone, tandis que le Premier ministre britannique Keir Starmer a été remplacé par le ministre britannique des Affaires étrangères David Lammy.
Avant les discussions, Mark Rutte a déclaré que les partenaires de l’Ukraine prévoyaient de maintenir l’aide militaire à Kiev pour « tout » faire — y compris fournir des systèmes de défense aérienne et d’autres systèmes d’armes — afin que l’Ukraine soit dans la « meilleure position possible un jour, quand elle le décidera, pour entamer les pourparlers de paix » avec la Russie.
L’un des objectifs de cette réunion, à l’initiative de Mark Rutte, était de « discuter du soutien continu à l’Ukraine, en particulier de la défense aérienne », a confié un fonctionnaire de l’OTAN à Euractiv.
L’Ukraine attend la livraison des systèmes de défense aérienne promis en juillet, et Volodymyr Zelensky a expliqué en début de semaine que 12 à 15 systèmes supplémentaires étaient nécessaires.
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Comment Apple détruit des iPhone en parfait état de marche
Disclose – Le 19 décembre 2024
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Le commissaire à l’Agriculture reconnaît les limites des mécanismes de protection des agriculteurs
Le commissaire à l’Agriculture reconnaît les limites des mécanismes de protection des agriculteurs
Lors d’un débat sur le bien-être des agriculteurs au Parlement européen mercredi 18 décembre, le commissaire européen à l’Agriculture, Christophe Hansen, a déclaré que lier les subventions agricoles aux normes de travail était un pas en avant, tout en reconnaissant les limites du mécanisme.
« L’agriculture n’est pas un métier qui offre un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée », a déclaré Christophe Hansen face aux eurodéputés, ajoutant que les agriculteurs sont confrontés à des « revenus fluctuants [et] à une bureaucratie excessive ».
En ce qui concerne l’amélioration des conditions de travail, le commissaire a salué l’introduction d’une « conditionnalité sociale » dans la Politique agricole commune (PAC) actuelle, un mécanisme qui a marqué un tournant.
Bien qu’actuellement facultative, la conditionnalité sociale deviendra obligatoire pour tous les États membres de l’UE à partir de 2025. Elle lie les subventions agricoles au respect de normes minimales de travail et est déjà utilisée dans six États : Autriche, France, Italie, Luxembourg, Portugal et Espagne.
Selon le commissaire, le déploiement complet du mécanisme garantira « que l’argent public ne soit pas accordé à des employeurs qui ne respectent pas la législation sociale de l’UE ».
Christophe Hanser a toutefois reconnu les lacunes du mécanisme.
« Dans certains secteurs [tels que] les fruits et légumes, le vin, le porc, [et] la volaille, les agriculteurs ne reçoivent pas de paiements directs [de la PAC] et ne sont donc pas couverts par cet instrument », a-t-il dit.
Il a déclaré que l’exécutif de l’UE travaillait sur une étude de l’impact de la conditionnalité sociale sur le terrain.
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Le combat contre les géants de l’aquaculture
Grain – Le 19 décembre 2024 – mondialisation.CA
Dans le monde entier, des communautés de pêche se battent pour mettre fin à l’élevage industriel de crevettes et de poissons. Elles affirment que ces élevages sont toxiques pour leurs territoires et que la relance de la pêche des espèces sauvages et l’aquaculture durable à petite échelle sont mieux à même de satisfaire les besoins alimentaires mondiaux. Mais elles se heurtent à de puissants adversaires. La filière de l’aquaculture industrielle pèse 300 milliards de dollars des États-Unis et est contrôlée par de grandes multinationales et de puissants hommes d’affaires locaux. Avec le soutien des gouvernements, ces acteurs économiques agissent de manière agressive non seulement pour maintenir leurs entreprises à flot, mais aussi pour étendre leur production à de nouveaux territoires.
Deux croissances, deux récits
Si vous ouvrez un quelconque rapport récent sur l’aquaculture, il y a de fortes chances qu’il commence par quelques phrases sur la croissance spectaculaire du secteur au cours des dernières décennies. Les chiffres sont en effet impressionnants. La production mondiale du secteur a triplé depuis le début du siècle et, pour la première fois dans l’histoire, les produits de la mer consommés par les populations proviennent plus de l’aquaculture que de la pêche[1].
Graphique 1 : Production mondiale d’animaux aquatiques par la pêche et l’aquaculture, 1980-2032[2]
Les entreprises aquacoles et les agences telles que l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) mettent en avant cette forte courbe de croissance (et la stagnation de la pêche sauvage) comme preuve de l’importance de l’aquaculture pour la sécurité alimentaire mondiale. Selon elles, ce n’est qu’en investissant davantage dans l’aquaculture que nous pourrons répondre aux besoins croissants de la planète en produits de la mer[3].
Mais cette approche globale de l’aquaculture est trompeuse. Derrière ces chiffres impressionnants se cachent deux récits distincts sur la croissance, avec des résultats très différents pour la sécurité alimentaire.
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https://www.mondialisation.ca/le-combat-contre-les-geants-de-laquaculture/5694894
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