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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

Regardez-vous le ciel ?

1 Avril 2013, 22:01pm

Publié par Ciel Voilé

 

Le phénomène Chemtrails

 

Notre article dans Soleil Levant du mois d’avril 2013


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Regardez-vous le ciel ? Le ciel a besoin que vous le regardiez. Le ciel bleu est en danger de disparition. Observez-le régulièrement, vous verrez que les jours de ciel totalement bleu se font de plus en plus rares. Ce n’est pas rien.

 

Jamais tant que ces dernières décennies, la destruction de l’environnement sur notre planète ne s’est si dramatiquement intensifiée. Le vivant est attaqué de toutes parts. Les produits chimiques polluent les terres, les eaux et les airs, perturbent et détruisent les écosystèmes et ceux qui y vivent. Des technologies mortifères menacent la santé humaine : nucléaire, OGM, nécro-carburants, nanotechnologie, micro-ondes, puces RFID... Pour la seule victoire du profit.

Un article paru dans le magazine Science de juillet 2011, annonçait le doublement du nombre d’aérosols (ou particules fines) en haute altitude. « L’augmentation très rapide des quantités d’aérosols est surprenante » poursuit J. Daniel. « Elles ont presque doublé en 10 ans. L’augmentation des aérosols depuis 2000 n’est pas encore entièrement expliquée ».

Les moteurs d’avions sont conçus pour être plus propres (32 % de pollution en moins en 20 ans) et pour consommer moins. L’augmentation du trafic aérien ne suffit pas à expliquer ce doublement.
Certains jours, les avions passent sans laisser de trace persistante. Leur traînée de condensation (vapeur d’eau) les suit et se résorbe rapidement au fur et à mesure de leur déplacement. D’autres jours, quelque soit le moment de la journée, plusieurs avions passent en même temps, dans toutes les directions, laissant des traces persistantes qui s’étalent et voilent le ciel, le rendant blanchâtre, pollué. Les conditions atmosphériques, les taux d’humidité, n’expliquent pas la différence, puisque les vols « propres » sont aussi visibles au même moment, en général et paradoxalement, à une altitude plus élevée où il fait donc plus froid.

Depuis l’an 2000, l’espace aérien militaire s’élève jusqu’à 8000 m d’altitude ( 4000 m auparavant). Or circulent dans cet espace de nombreux avions de ligne, en-dessous de leurs couloirs habituels. Ils échappent ainsi aux radars des contrôleurs aériens. Qu’y font-ils ? Quelle proportion d’avions vole sans passager ni fret ?

Pour bien distinguer traînée de condensation et traînée persistante, le mieux est de les observer au même moment dans le ciel. Les avions « traceurs » se permettent des demi-tours, des U, des cercles complets, des quadrillages parfaits. A l’évidence les économies de carburant ne les concernent pas ! Ils volent dans presque toutes les directions de l’espace, en-dessous des couloirs aériens commerciaux. Il ne se passe pas une semaine sans épandage. Mais de plus en plus, la couverture nuageuse nous les cachera.

Observation fréquente : les trajectoires discontinues. Avant de survoler une ville, un avion passe « proprement », et tout à coup lâche une traînée persistante qui s’étalera, puis reprend son trajet « propre ». Il ne s’agit pas de délestage lesquels selon la DGAC, sont exceptionnels et interdits à basse altitude.

Aux Etats-Unis où le « phénomène » est apparu dix ans plus tôt qu’en Europe, dans certains lieux, le ciel n’est plus jamais bleu. La couverture nuageuse y est telle, qu’elle a littéralement « tué » le vent. Nous avons encore la chance en région PACA d’avoir des jours sans traînées persistantes. Et le mistral pour nettoyer le ciel de ces nuages artificiels. Mais que se passerait-il si elles étaient présentes tous les jours ? Nous trouverions cela normal, et nous n’aurions plus que du ciel blanc.
Certaines opérations « coup de poing » menées par une cohorte d’avions (40 en une heure !) peuvent transformer un ciel bleu en couvercle blafard et éblouissant en moins de 3 heures. Depuis quand le trafic aérien serait-il chargé de fabriquer des nuages artificiels
La photosynthèse chez les plantes et l’absorption de la vitamine D chez l’homme sont perturbées. L’analyse des sols et de l’eau révèle des taux anormalement élevés de baryum et d’aluminium. Entre autres. Il s’agit ni plus ni moins d’un crime contre le vivant.

-  La question récurrente est « pourquoi ? ». Le sujet est complexe car il est lié à de nombreux enjeux. Pour ne citer que les principaux : contrôle climatique, répercussion des ondes électro-magnétiques (opérations militaires, projet HAARP...) et main- mise des multinationales semencières sur l’agroalimentaire (ex : gènes résistants à l’aluminium).

Les banques spéculent sur le temps : les marchés annuels représentent des dizaines de milliards de dollars. Des produits dérivés climatiques concernent aussi les capitales européennes. Fera-t-il chaud ou froid sur Paris en avril 2013 : les paris sont ouverts !

L’ETC group, organisation très active à dénoncer les dérives de l’économie verte, a publié un dossier intitulé : « Géopiraterie ». On y apprend comment, à la suite des échecs successifs des négociations sur les enjeux des changements climatiques et de la réduction des gaz à effet de serre, les lobbies verts vendent leur trouvaille : « Vous n’arrivez pas à vous mettre d’accord. Inutile de limiter vos émissions de gaz à effet de serre ! Nous avons la solution : la géo-ingénierie. » Ainsi les pilotes qui participent à ces programmes d’intervention climatique sont convaincus d’agir pour le bien de l’humanité : la lutte contre le réchauffement climatique.

Notons également que certaines structures scientifiques indépendantes se sont spécialisées dans l’étude des "Morgellons", un syndrome qui est directement lié aux substances qui sont pulvérisées par certains avions. L’Institut Carnicom est l’un des plus avancés dans ce domaine, il publie régulièrement de nouveaux travaux. On y apprend notamment que les fibres retrouvées dans le corps des malades sont vivantes et se développent lorsqu’elles sont placés en culture dans des bocaux.Un mélange de substances polymères et biologiques mais également de nanotechnologies constituent ces fibres comme l’a démontré le Dr Hildegarde Staninger. Le sujet a même été abordé à la télévision québecoise.

Il est indispensable de recouper les éléments relevant de ces différents secteurs d’activité pour évaluer pleinement la portée du phénomène. Des politiciens (Nikola Aleksic, Antonio di Pietro...), des scientifiques (Clifford Carnicom, Hildegarde Staninger, rapport Case Orange, météorologues apportant des preuves par le radar Doppler...) témoignent. Et des citoyens s’engagent partout dans le monde pour alerter et informer, comme dans le film « Bye Bye Blue Sky ».

Certains présentateurs météo n’hésitent plus à briser leur carrière professionnelle pour révéler au grand public ce qu’ils savent de ces opérations d’épandage. On a pu le constater lors de bulletins météo télévisés en direct en Allemagne et aux Etats-Unis.

Bien que cela puisse paraître difficile à croire, une complicité à de nombreux niveaux est nécessaire pour assurer la discrétion d’opérations d’une telle envergure. La télévision joue un rôle clé en habituant progressivement petits et grands à l’omniprésence d’un ciel voilé et blanchâtre à travers ses émissions et publicités. Le blog "Actu-Chemtrails" y consacre une rubrique étonnante.

Nous nous sentons comme David contre Goliath, au même titre que les activistes à leurs débuts face au nucléaire, aux pesticides ou aux OGM, mais nous avons le pouvoir de créer un véritable mouvement populaire qui révélera au grand jour ces programmes d’épandage. Il est urgent qu’ils cessent pour que notre belle planète puisse accueillir dans tous les règnes, la vie des générations futures.

http://www.soleil-levant.org/presse/article.php3?id_article=1070

 

 

26 06 2011 toulouse

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Trainées d'avions et pollution de l'air

17 Juin 2018, 09:41am

Publié par Ciel Voilé

Coucher de soleil - Carpentras juin 2018
Coucher de soleil - Carpentras juin 2018
Coucher de soleil - Carpentras juin 2018
Coucher de soleil - Carpentras juin 2018
Coucher de soleil - Carpentras juin 2018
Coucher de soleil - Carpentras juin 2018

Coucher de soleil - Carpentras juin 2018

Le 22 avril, des journalistes d'Europe 1 abordaient le sujet de la géo-ingénierie.

 

Le 12 mai 2018, le journal le Monde publiait un article d'Alexis Riopel, jeune stagiaire canadien du journal depuis un mois, sur les derniers développements de la recherche sur les « contrails » :

 

Le samedi 2 juin,avant 7h du matin, Europe 1 « discutait » ou « lisait » l'article du Monde d'Alexis Riopel.

 

Conditions de formation d'une traînée de condensation

 

Selon Wikipedia :

« Les traînées se produisent généralement à partir de 8 000 m d'altitude si le taux d'humidité est de plus de 68 %, et la température inférieure à −39 °C »

 

Les avions de ligne commerciaux circulent à vitesse de croisière, entre 10 000 m et 12 000 m d'altitude. En dessous, c'est l'espace aérien militaire. Les contrôleurs aériens ne s'occupent, sur écran, que de leurs couloirs. Si un couloir est traversé par un avion qu'ils n'identifient pas, ils se renseignent auprès des militaires.

 

Si vous êtes au sol et que vous observez au-dessus de vous un avion de ligne, si vous distinguez à l'oeil nu, ses ailes et sa queue, c'est la preuve qu'il n'est pas à 10 000 m ou 8000 m d'altitude. Donc il ne circule pas dans un couloir commercial mais dans l'espace militaire.

 

Si au sol la température est de 20°C, à 3 000 mètres elle descend à 0° et à 6 000 mètres elle atteint -20°C. On est encore loin des -39°C donnés par Wikipedia pour que se forme une traînée de condensation.

 

Donc si vous voyez voler un avion de ligne en distinguant ses ailes et sa queue, il n'est pas à une altitude suffisante pour que se forme une traînée de condensation. Et pourtant ceux-là laissent très souvent des traînées.

 

« Ces traînées ne se forment qu'à certaines conditions, qui ne se rencontrent pratiquement que dans la haute troposphère et un peu plus souvent en hiver4 : où l'air est à environ −40 °C ».  Wikipedia

 

Pourquoi le matin, l'essentiel de la circulation des avions ne se produit qu'à l'Est avec abondance de traînées persistantes devant le lever du soleil ? Les termes utilisés : « Gestion du Rayonnement Solaire » se métamorphosent régulièrement. On ne parle plus de Solar Radiation Management mais de retraits de carbone ( carbone removal) pour toujours tenir le public éloigné de ce qui se passe réellement et l'impacte localement au quotidien. Pourquoi ? Parce que cette activité est illégale et viole nombre de traités internationaux.

 

La modification du temps à l'échelle régionale pour des raisons économiques : agriculture, station de ski, fête nationale, etc... est légale aux Etats-Unis et depuis des décennies des centaines de programmes annuels sont réalisés. En Chine, 17 000 employés s'y consacrent.

 

La géo-ingénierie qui voudrait sauver la planète du changement climatique et se déployer à grande échelle est illégale. Un moratoire sur la géo-ingénierie a été signé à Nagoya en 2010. Mais la COP 21, financée par les plus gros pollueurs de la planète cherche à légaliser la géo-ingénierie. Et comme l'annonce Patrice Hernu dans le film «  Vers un climat artificiel » de Jacqueline Roche : le GIEC a déposé sur le bureau de la COP 21, 116 scénarios : 15 exigent des mesures immédiates sans recours à la géo-ingénierie et les autres 101 scénarios impliquent le recours à des méthodes industrielles de géo-ingénierie pour «  refroidir » la planète, en prévoyant le retrait de l'atmosphère de milliers de tonnes de CO2.               Rappel : pourcentage de CO2 dans l'air : 0,039% .

 

Donc la tactique des médias, aux mains d'acteurs économiques tout puissants, se répète : quelques vérités :

 

- « Les avions créent des nuages artificiels baptisés « cirrus homogenitus » Vrai. Pourquoi avoir attendu 2017 pour nommer ainsi ces nuages créés par l'aviation ? Toute la nomenclature des nouveaux nuages apparue depuis 2000, décrit les résultats des interventions délibérées d'altérations du climat.

 

- « Ces nuages artificiels réchauffent le climat. Car leur effet refroidissant diurne est largement dépassé par leur effet réchauffant nocturne. »

 

- « Les gens croient qu'ils s'agit d'épandages chimiques aériens clandestins. ». Les hérétiques du Moyen-Age, les dissidents derrière le rideau de fer de l'URSS ou en Chine, sont désormais baptisés théoriciens du complot ou conspirationnistes. La propagande institutionnelle doit régner puisque conçue pour contrôler les "masses". 

 

Et des affirmations contraires aux observations :

 

- Les traînées qui traversent l'horizon de bout en bout seraient des traînées de condensation. La quantité d'eau émise par un Airbus A320 à vitesse de croisière est de quelques cuillères à café par seconde et ne peut justifier des volumes énormes de traînées créés.

 

- « On peut suivre tous les avions sur Flight Radar 24 » . C'est faux. Particulièrement ceux qui laissent des trainées persistantes. Ils ne sont pas répertoriés. Un avion qui transporte des voyageurs ou du fret, va d'un aéroport à un autre, en un temps et une distance les plus courts possibles. D'autres avions, ne semblent pas avoir d'aéroport de destination, ( On ne va tout de même pas les faire revenir à leur point de départ !) et virevoltent de ci de là, faisant des boucles ou des virages en altitude : l'informatique les fait disparaître rapidement du site de Flight Radar 24.

 

- Erreur sur« Le nombre de vols par jour dans le monde serait de 37 millions », 37 millions est le nombre annuel de vols en 2014. Le nombre de vols journaliers dépasse les 100 000.

 

- Si pour Roissy, le plus grand aéroport français, la moyenne officielle calculée s'élève à 1,2 avion par minute ( 2015), comment expliquer que certains jours dans le Vaucluse et ailleurs, à longueur de journée, de nombreux avions, plusieurs en même temps et dans toutes les directions, quadrillent notre ciel ?

 

Pollution de l'air : ne jamais parler des avions !

 

A chaque épisode de grave pollution de l'air sur la capitale française, systématiquement les médias et les sites officiels attirent l'attention du public sur le trafic routier. Les agences de la qualité de l'air ne prennent pas de mesures à plus d'un kilomètre d'altitude. Or, lors de la création du plan climat Paris en 2007, le calcul de toutes les émissions de CO2 a été étudié.

 

Comme le trafic aérien était responsable de plus de la moitié des émissions, il a tout simplement été évacué du Plan Climat Paris !

 

C'est l'occasion de rappeler que Mme Hidalgo a confié fin 2015, à la fondation Rockfeller, 10% du budget de la capitale française, comme toutes les villes du réseau 100 villes résilientes, pour la gestion de ces aléas climatiques.

 

De même lors de la COP 21, la pollution due au trafic aérien a été exclue de l'accord, un mois avant sa signature.

 

Donc, quand pour Greenpeace, l'institut allemand Wuppertal calcule que les émissions de CO2 de Paris proviennent à 93% du trafic routier, c'est sans compter le trafic aérien ! Remarquez comme Greenpeace emboîte le pas au discours officiel. Toujours pressurer les petits acteurs économiques. Et les préparer au chaos climatique. Qui finance Greenpeace ?

 

Ainsi, les médias conditionnent le public à l'acceptation de la géo-ingénierie.Selon le "souhait" de la Commission Européenne qui finance abondamment la "recherche" en géo-ingénierie.

 

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Chemtrails, nanoparticules d'aluminium et effets sur le développement et la dégénérescence des neurones

14 Avril 2013, 06:36am

Publié par Ciel Voilé

 

Un neurologue met en garde : l'aluminium des chemtrails pourrait entraîner une « explosion des maladies neurodégénératives » 

 

12 avril 2013 Russell L. Blaylock, neurologue

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Les nanoparticules d'aluminium sont infiniment plus réactives et peuvent facilement passer la barrière hémato-encéphalique. Internet déborde d'histoires de « chemtrails » et de géo-ingénierie pour lutter contre le « réchauffement climatique » et, jusqu'à tout récemment, je ne les prenais pas au sérieux. L'une des principales raisons de mon scepticisme, était que j’avais rarement vu dans le ciel, ce qui était décrit. Mais au cours des dernières années, j'ai remarqué un grand nombre de ces traînées et je dois reconnaître qu'elles ne ressemblent pas à celles que j’observais dans le ciel quand j’étais enfant. Elles sont nombreuses, assez larges, leur tracé est précis, et lentement elles se transforment en nuages ​​artificiels. C’est particulièrement inquiétant d’en voir maintenant un si grand nombre - des dizaines tous les jours- salir le ciel.


Ce qui me préoccupe avant tout c’est qu’il existe des preuves que des tonnes de composés d'aluminium de taille nanométrique sont pulvérisées. Des articles scientifiques et médicaux ont démontré que les particules de taille nanométrique sont infiniment plus réactives et provoquent  une inflammation intense dans un certain nombre de tissus. L'effet de ces nanoparticules sur le cerveau et la moelle épinière est particulièrement inquiétant, comme en atteste le nombre croissant de maladies neurodégénératives. Les maladies d'Alzheimer, de Parkinson et de Charcot (Sclérose Latérale Amyotrophique) sont fortement liées à l'exposition à l'aluminium de l'environnement.


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Les nanoparticules d'aluminium non seulement provoquent plus d’inflammation, mais elles pénètrent facilement dans le cerveau par un certain nombre de voies, y compris le sang et les nerfs olfactifs.  Des études ont montré que ces particules traversent les voies nerveuses olfactives reliées directement à la zone du cerveau qui est non seulement la première mais aussi la plus touchée dans la maladie d'Alzheimer. C’est aussi dans cette maladie que l’on retrouve le taux  le plus haut élevé d'aluminium dans le cerveau.


La voie intra-nasale de l'exposition rend la pulvérisation de quantités massives de nanoparticules d’aluminium dans le ciel particulièrement dangereuse, car des personnes de tous âges, y compris les bébés et les jeunes enfants les inhaleront pendant de nombreuses heures. Nous savons que les personnes âgées sont les plus sensibles à cet aluminium dans l'air. En raison de leur dimension nanométrique, ces particules d'aluminium utilisées traversent les filtres des systèmes d’aération et ainsi l'exposition se prolonge même à l'intérieur des habitations.


Outre l'inhalation, la pulvérisation de ces nanoparticules va saturer le sol, l'eau et la végétation d’aluminium à des niveaux élevés. Normalement, l'aluminium est mal absorbé par le tractus gastro-intestinal, mais les nanoparticules sont absorbées en bien plus grandes quantités. On a montré que cet aluminium absorbé se répand dans à un certain nombre d'organes et de tissus, notamment le cerveau et la moelle épinière. L'inhalation de ces nanoparticules d’aluminium en suspension dans l’air produira aussi une énorme réaction inflammatoire à l’intérieur  des poumons, ce qui présentera un risque majeur pour les enfants et les adultes souffrant d'asthme et de maladies pulmonaires.


Je prie pour que les pilotes qui pulvérisent ces substances dangereuses comprennent bien qu'ils détruisent la vie et la santé de leurs familles. Cela est également vrai de nos responsables politiques. Une fois que le sol, les plantes et les sources d'eau seront fortement contaminés il n'y aura plus moyen de réparer les dommages provoqués.


Des mesures doivent être prises dès maintenant pour éviter une catastrophe sanitaire imminente aux proportions gigantesques si ces pulvérisations ne sont pas arrêtées immédiatement. Sinon, nous allons assister à une explosion des maladies neurodégénératives chez les adultes et les personnes âgées à un rythme sans précédent, ainsi qu’à des troubles du développement du système nerveux chez nos enfants. Nous constatons déjà une augmentation spectaculaire de ces troubles neurologiques et elle se produit chez les jeunes, plus que jamais auparavant.

http://www.geoengineeringwatch.org/neurologist-warns-aluminum-in-chemtrails-could-cause-explosive-increase-in-neurodegenerative-diseases-2/

 

Notes

1. Win-Shwe T-T, Fujimaki H, “Nanoparticles and Neurotoxicity,” In J Mol Sci 2011;12:6267-6280.

2. Krewski D et al., “The biological effects of nanoparticles. Risk assessment for aluminum, aluminum oxide, and aluminum hydroxide,” J Toxicol Environ Health B Crit Rev 2007;10 (suppl 1): 1-269.

3. Blaylock RL, “Aluminum induced immunoexcitotoxicity in neurodevelopmental and neurodegenerative disorders,” Curr Inorg Chem 2012;2:46-53.

4.  Tomljenovic L, “Aluminum and Alzheimer’s disease: after a century, is there a plausible link,” J Alzheimer’s Disease 2011;23:567-598.

5.  Perl DP, Good PF, “Aluminum, Alzheimer’s Disease, and the olfactory system,” Ann NY Acad Sci 1991;640:8-13.

6.  Shaw CA, Petrik MS, “Aluminum hydroxide injections lead to motor deficits and motor neuron degeneration,” J Inorg Biochem 2009;103:1555-1562.

7.  Braydich-Stolie LK et al., “Nanosized aluminum altered immune function,” ACS Nano 2010:4:3661-3670.

8.  Li XB et al., “Glia activation induced by peripheral administration of aluminum oxide nanoparticles in rat brains,” Nanomedicine 2009;5:473-479.

9.  Exley C, House E, “Aluminum in the human brain,” Monatsh Chem 2011;142:357-363.

10.Nayak P, Chatterjee AK, “Effects of aluminum exposure on brain glutamate and GABA system: an experimental study in rats,” Food Chem Toxicol 2001;39:1285-1289.

11.  Tsunoda M, Sharma RP, “Modulation of tumor necrosis factor alpha expression in mouse brain after exposure to aluminum in drinking water,” Arch Toxicol 1999;73:419-426.

12.  Matyja E, “Aluminum changes glutamate –mediated neurotoxicity in organotypic cultures of rat hippocampus,” Folia Neuropathol 2000;38:47-53.

13.  Walton JR, “Aluminum in hippocampal neurons from humans with Alzheimer’s disease,” Neurotoxicology 2006;27:385-394.

14. Walton JR, “An aluminum-based rat model for Alzheimer’s disease exhibits oxidative damage, inhibition of PP2A activity, hyperphosphorylated tau and granulovacuolar degeneration,” J Inorg Biochem 2007;101:1275-1284.

15. Becaria A et al., “Aluminum and copper in drinking water enhance inflammatory or oxidative events specifically in brain,” J Neuroimmunol 2006;176:16-23.

16. Exley C, “A molecular mechanism for aluminum-induced Alzheimer’s  disease,” J Inorg Biochem 1999;76:133-140.

17. Exley C, “The pro-oxidant activity of aluminum,” Free Rad Biol Med 2004;36:380-387.

Recommended Reading   

Dr. Blaylock’s brochures Bio Terrorism: How You Can Survive and Nuclear Sunrise.

Dr. Blaylock, an NHF member, is a World-renowned neurosurgeon who retired from Neurosurgery to devote his full attention to nutritional studies and research.

An in-demand guest for radio and TV programs, he lectures extensively to both lay audiences and physicians on nutrition-related subjects. He is the 2004 recipient of the Integrity in Science Award granted by the Weston A. Price Foundation and serves on the editorial staff of the Journal of the American Nutraceutical Association and is a member of the editorial board of the Journal of American Physicians and Surgeons, the official publication of the Association of American Physicians and Surgeons.   See http://www.blaylockwellness center.com/

 

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A qui profite la sécheresse catastrophique en Californie ?

8 Août 2014, 06:51am

Publié par Ciel Voilé

 

 

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http://www.geoengineeringwatch.org/geoengineered-drought-crushes-california-who-profits/

 

Le 1er août 2014 – Traduction Ciel voilé
 
Pourquoi ceux qui sont au pouvoir créeraient-ils une sécheresse catastrophique en Californie? On me pose cette question en permanence. Je donne des réponses et des raisons, du moins beaucoup d'entre elles, mais pour un grand nombre de personnes la vérité est tout simplement trop difficile à accepter. Tout d'abord, quoi que l'on veuille accepter comme raison de cet assaut de manipulation du temps sur ​​la Californie, une chose est certaine, cette sécheresse est créée entièrement artificiellement du début à la fin. En  « amont », le blocage de la pluie sur le Pacifique oriental, par pulvérisation, est constant, comme le montre la photo satellite ci-dessous ( ndt : voir l'article original).

Si la pluie est intentionnellement et systématiquement bloquée, de manière agressive, il s'agit clairement d'un objectif. Pour bloquer la pluie, il n'y a pas seulement les pulvérisations d'aérosols, mais aussi l'utilisation d'appareils de chauffage de l'ionosphère ( installations HAARP). Pourquoi ? Pour le profit, le pouvoir et le contrôle des populations. Peu importe à quel point ce fait est nié, et par qui, c'est la base. Nous sommes tous impliqués littéralement dans un combat pour la vie car les ingénieurs qui manipulent le climat nous serrent comme jamais la corde autour du cou. Non seulement ils bloquent notre pluie, mais contaminent aussi notre air, notre sol et notre eau, avec les retombées de métaux lourds. L'article ci-dessous provient d'un site financier. Bien que n'y soit pas évoquée la folie mondiale de la modification du climat, il semble que beaucoup maintenant commencent à faire des liens.


Dane Wigington
geoengineeringwatch.org


La sécheresse en Californie : dangereuse mais rentable !


Source: Wall Street Daily

Les scientifiques ne peuvent pas tout à fait le comprendre. C'est un événement anormal dans tous les sens imaginables. Sur la côte de la Californie, au milieu de l'atmosphère, se trouve une région extraordinaire de haute pression dans l'océan Pacifique, qui ne bougera pas.


Les experts l'ont affectueusement surnommée, « la zone ridiculement inamovible », mais ce n'est pas vraiment drôle.


En fait, si le système de pression ne monte pas rapidement, la Californie risque des feux de forêt, la famine, les émeutes, et même la faillite.


L'effet en aval pour les investisseurs est tout aussi urgent. C'est le cas si vous voulez tirer parti ingénieusement de la crise, par effet de levier, pour des gains personnels.


Le système de pression a poussé la trajectoire du mauvais temps bien au nord de sa position habituelle, empêchant ainsi les tempêtes d'hiver d'atteindre l'État.

 

Le résultat est la pire sécheresse de l'histoire, sans fin en vue.


Le gouverneur de Californie, Jerry Brown, a même demandé aux restaurants d'arrêter de servir de l'eau.
A quel point la situation est dramatique ?


Les agriculteurs déracinent certaines de leurs plantes et certains de leurs arbres les plus lucratifs car ils consomment trop d'eau. Les arbres à noix, comme les amandes, risquent particulièrement de disparaître.


Dans la région la plus touchée, Central Valley, les agriculteurs devraient perdre 810 millions de dollars.


Plus de 80% de l'État est en sécheresse extrême ou exceptionnelle, ce qui explique pourquoi la Californie est actuellement déclarée en état ​​d'urgence.


Tous les 58 comtés de la Californie ont été classés en zones de catastrophe naturelle.


Fin d'une année de scénario catastrophe ...


Les principaux réservoirs de Californie atteignent dangereusement moins de la moitié de leur capacité.


Le lac Mead, alimenté par le Colorado, a aussi chuté à des niveaux records. Ce lac est une source importante d'eau pour les Californiens du Sud.


Plus effrayant encore est le recours accru aux eaux souterraines, qui n'est pas réglementé. Si les aquifères souterrains de la Californie tarissent, les conséquences sur les deux prochaines années pourraient être catastrophiques.


Les chanceux qui ont encore accès à l'eau prélèvent plus de 10 fois le taux moyen à long terme, signal que la fin pourrait être proche.


Par « fin », je veux dire que quelques petites communautés de Californie risquent de manquer d'eau dans les trois prochains mois.


Si le système de pression sur le Pacifique ne bouge pas – en fournissant des précipitations suffisantes - l'ensemble de l'État pourrait manquer d'eau d'ici moins d'un an.


Même les poissons sont évacués ...


Le service d'État des poissons et de la faune a utilisé des camions-citernes pour évacuer les truites des écloseries locales. Au total, environ deux millions de poissons, y compris 430 000 alevins de truite arc- en-ciel, seront libérés des mois avant la période habituelle.


Dans des conditions de sécheresse ordinaire, les responsables de la faune auraient fourni de l'eau fraîche du lac Folsom aux écloseries pour y réduire la température de l'eau.


Mais ce n'est pas une sécheresse ordinaire.


Il reste peu d'eau au lac Folsom, et de toute façon, elle n'est certainement pas assez fraîche pour fournir des secours.


Les saumons sont transportés par camion jusqu'à l'océan, pour leur épargner ainsi les dangers de la migration dans les rivières et les ruisseaux asséchés.


Les feux de forêt sont une autre préoccupation.


Au 19 Juillet, le Département de la protection des forêts et des incendies en Californie rapportait plus de 3400 feux de végétation brûlant plus de 51.000 hectares. Habituellement, environ 2500 incendies et 30 000 hectares brûlaient sur ​​une année moyenne.



El Niño à la rescousse ? Pas vraiment...


El Niño se produit lorsque la hausse des températures de l'océan Pacifique réchauffe l'eau au point de déclencher des tempêtes, à l'origine des hivers humides en Californie.


Le dernier phénomène d'El Niño a eu lieu en 2009 et 2010. En général, une période d'El Niño dure environ un an.


Donc, quelle est la probabilité qu'il apparaisse cette année ? Eh bien, la National Oceanic and Atmospheric Administration prédit 80% de chances à son apparition.


Bonnes nouvelles, non ? Eh bien, pas vraiment …


Même si ces prévisions se confirmaient, les experts disent qu' El Niño se développera probablement comme un événement faible en fin d'été ou début de l'automne. Certains disent même qu'il sera retardé de plusieurs mois, car le réchauffement de l'océan Pacifique ralentit.


« Certaines zones reçoivent déjà une influence de type El Niño », explique le météorologue expert, Donald Keeney.


Keeney s'attend à ce qu'El Niño apparaisse à la fin de l''été ou au début de l'automne, mais avertit qu'il « ne devrait être qu'un événement faible ».


Tout à coup il pleut de l'argent plutôt que de l'eau ...


Le gouverneur Brown a récemment alloué 687 millions de dollars aux efforts de secours, et le président Obama a ajouté un supplément de 183 millions.


Les fonds comprennent des subventions d'aide d'urgence pour l'eau distribuée aux communautés rurales victimes de pénuries d'eau et une aide ciblée pour les zones les plus touchées par une sécheresse extrême ou exceptionnelle.


Pourtant, les plus gros bénéficiaires de tout cet argent sont les services publics de l'eau et les sociétés privées de l'eau. En fait, les actions de ces sociétés profitent d'une période de boom.


Un coup d'oeil rapide à un tableau sur deux ans montre une industrie en pleine ascension verticale agressive. (Remarquez comment chaque baisse de prix entraîne une hausse de la demande.)

0714 LiquidGold

Les plus grands acteurs du groupe sont Pentair (PNR), Veolia Environnement (VE), Aqua America (WTR), American Water Works (AWK), et Watts Water Technologies (WTS).


S'agissant de fonds fédéraux et d'État versés pour la crise, il est difficile d'argumenter contre la possession de ces actions.


Mais ce que la plupart des investisseurs ne réalisent pas c'est qu'ils peuvent utiliser 870 millions de dollars en aide du gouvernement au titre de garantie de toutes sortes. Autrement dit, pour financer une généreuse source de revenu.


Tout l'argent versé par le gouvernement forme un beau coussin pour les actions. Cette réalité fait qu'une stratégie à la hausse peut-être la décision la plus intelligente et la plus sûre pour gagner de l'argent toute l'année.


Au moment où vous vendrez une option de vente, disons ... Watts Water, vous réaliserez qu'un dépôt en espèces arrive sur votre compte en quelques secondes. Vous n'aurez jamais à rendre cet argent, d'ailleurs.


Si le cours de l'action tombe en dessous du prix d'exercice à la date d'expiration, vous serez tenu d'acheter des actions. C'est ce qu'on appelle « s'impliquer », ce qui ne se produit que dans moins de 10% des cas. Si vous devez vous « impliquer », vous serez l'heureux propriétaire de nombreuses actions pour beaucoup moins cher qu'elles ne se négocient maintenant.


Comprenez-vous pourquoi j'aime autant cette stratégie ? Il est vraiment difficile d'y perdre.


En avant et à la hausse !


Robert Williams


Source: Wall Street Daily

 

http://www.wallstreetdaily.com/2014/07/28/california-drought-continues/?utm_campaign=20140728WSD&utm_medium=email&utm_source=WSD

 

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L'aviation prévoit d'augmenter ses émissions de +700% d'ici 2050

22 Mars 2016, 20:02pm

Publié par Fern

L'aviation prévoit d'augmenter ses émissions de +700% d'ici 2050

Déclaration de la société civile internationale

Le plan de l’industrie de l’aviation pour compenser ses émissions n’est pas à la hauteur du défi climatique

http://www.fern.org/fr

L'aviation est un des deux seuls secteurs au monde qui n'a actuellement aucun objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre. L'aviation prévoit même d'augmenter ses émissions de 700% d'ici 2050. En septembre 2016, l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) a l’intention d'adopter des mesures pour atteindre une “croissance neutre en carbone”[i] d'ici 2020, principalement via la compensation carbone. Les organisations signataires demandent aux pays engagés dans l’OACI de s'assurer que l'OACI adoptera un plan sérieux pour réduire ses émissions. Les plans visant à compenser la majorité des émissions du secteur ne permettent pas l’adoption de vraies mesures pour réduire les émissions du transport aérien.

Les gaz à effet de serre issus du transport aérien ont presque doublé entre 1990 et 2006, faisant de l'aviation mondiale le septième plus gros pollueur au monde. C'est particulièrement disproportionné quand on sait que ces émissions sont causées par seulement 2% de la population mondiale.[ii] C'est dans ce contexte que la proposition élaborée par l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) a fait l'objet de critiques pour son manque d'ambition.[iii]

La proposition de l'OACI pour réduire l'impact climatique du transport aérien repose largement sur la compensation carbone. Un communiqué publié par l' “industrie aéronautique mondiale” en 2013 déclare que “l'industrie estime qu'un plan simple de compensation carbone serait le plus rapide à mettre en oeuvre, le plus simple à gérer et le plus rentable”.[iv] La compensation carbone est largement considérée comme une fausse solution parce qu'elle ne permet pas de réduire les émissions mais seulement de les déplacer d'un secteur à un autre avec à la clé, au mieux, un résultat nul.[v]

Jusqu'à présent l'OACI a élaboré plusieurs principes que la compensation carbone devra satisfaire, comme éviter le double comptage, être calculée sur une base réaliste, être permanente et ne causer aucun préjudice. Cependant l'expérience du Mécanisme de développement propre (MDP) a profondément discrédité l'idée que la compensation offrait des bénéfices pour le climat. Les projets de compensation ont eux-mêmes en grande partie prouvé qu'ils étaient incapables de respecter les principes posés par l'OACI.

De nombreux retraités vulnérables se sont fait extorquer toutes leurs économies par des investissements frauduleux dans les crédits carbone.[vi] L'expérience du MDP ainsi que les controverses et les scandales autour des projets de compensation carbone sur les marchés volontaires du carbone ont amené le plus grand marché de compensation mondial, le système d'échange des émissions de l'UE, à interdire officiellement l'utilisation de crédits de compensation pour atteindre les objectifs post 2020 d'émissions de l'UE.

La réputation de la compensation carbone est mise à mal du fait qu’un nombre significatif de projets, notamment ceux visant à “réduire les émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts” (REDD+), font face à une opposition locale et sont contestés parce qu'ils considèrent que l'agriculture paysanne et l'utilisation de la forêt par les peuples autochtones sont responsables de la déforestation, tout en gardant le silence sur les causes réelles de la destruction à grande échelle de la forêt.

Les forêts et les sols ne compensent pas les émissions d'énergies fossiles

Les projets de compensation de carbone terrestre, comme les projets REDD+ ou ceux issus de l'agriculture, sont particulièrement controversés et présentent des risques plus importants pour le climat.

Les projets REDD+ imposent des restrictions sur l'utilisation actuelle des terres – c'est ainsi qu'ils génèrent des économies de carbone vendues comme des crédits carbone. Parce que la grande majorité des projets REDD+ considèrent (à tort) que l'agriculture paysanne est responsable de la déforestation, en particulier celle qui s'appuie sur la rotation des cultures, de telles restrictions ont un impact destructeur sur les moyens de subsistance des paysans et sur les modes de vie des peuples de la forêt. Paradoxalement, les projets REDD+ qui s'attaquent aux vraies causes de la déforestation à grande échelle – extraction du pétrole, du charbon, infrastructures, grands barrages, industrie du bois et commerce international des produits agricoles – font largement défaut.[vii]

Compter les réductions d'émissions et distribuer le paiement des compensations à une multitude de petits paysans représentent un défi. Le risque est donc que les compensations agricoles favorisent l’agriculture industrielle ou les monocultures, créant ainsi une raison supplémentaire de déposséder des petits propriétaires de leurs terres, particulièrement dans les pays du Sud.

Les crédits carbone issus de la préservation de la forêt, des plantations d'arbres ou de la séquestration du carbone dans le sol présentent le risque supplémentaire de devenir nuls quand des incendies, des tempêtes ou les processus naturels de décomposition entraînent des rejets incontrôlables du carbone stocké dans les arbres, le sol ou d'autres habitats naturels. C'est une des raisons pour lesquelles le MDP exclut de la compensation toutes les catégories en lien avec la forêt ou l'utilisation de terres agricoles, excepté pour les projets de boisement, de reforestation et de biomasse. Et même dans ces cas-là, les crédits compensation issus des plantations d'arbres sont vendus comme des crédits carbone temporaires qui ont besoin d'être rachetés après quelques années parce que les crédits issus de plantations d'arbres ne peuvent pas être considérés comme du stock permanent de carbone.

En résumé, les crédits compensation de carbone terrestre sont controversés, et l'expérience de REDD+ a montré que les standards ou les garanties de certification ne peuvent pas empêcher les conflits.[viii]

Nous, les signataires, demandons aux membres de l'OACI de s'assurer que les mesures qui seront adoptées lors de la 39ème session de l'OACI représenteront une contribution juste et adaptée à l'effort global pour limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 degrés Celsius. Toute mesure adoptée à la 39ème session de l'OACI devra présenter une proposition sérieuse de réduction des émissions. Toute mesure devra également exclure les crédits compensation de carbone terrestre, comme les projets de type REDD+, pour les raisons exposées dans cette lettre.

[i] Pour parvenir à une croissance neutre en carbone, l'OACI propose d'améliorer le rendement du carburant de la flotte aérienne mondiale d'1,5 % par an en moyenne (un but quasiment déjà dépassé), de stabiliser les émissions nettes de CO2 de l'aviation aux niveaux de ceux de 2020, grâce à la soi-disante “croissance neutre en carbone”, et de réduire de moitié les émissions nettes de CO2 de l'industrice d'ici 2050, par rapport à 2005. Pour plus de détails, voir http://www.icao.int/environmental-protection/Pages/market-based-measures.aspx

[ii] Carbon Market Watch/Nature Code (2013): International Aviation. Addressing emissions while respecting equity issues. Bread for the World. http://www.brot-fuer-die-welt.de/fileadmin/mediapool/2_Downloads/Fachinformationen/Aktuell/Facts_36_international_aviation.pdf

[iii] Airplane CO2 standard too weak, MEPs tell industry. 25.02.2016 http://www.transportenvironment.org/news/airplane-co2-standard-too-weak-meps-tell-industry ; European NGO Comments on the ICAO Global MBM Process. 2013 http://carbonmarketwatch.org/wp-content/uploads/2013/07/EU-NGOs-on-ICAO-MBM-Process.pdf

[iv] https://www.iata.org/policy/environment/Documents/atag-paper-on-cng2020-july2013.pdf

[v] Voir par exemple, REDD : A Collection of Conflicts, Contradictions and Lies. http://wrm.org.uy/wp-content/uploads/2014/12/REDD-A-Collection-of-Conflict_Contradictions_Lies_expanded.pdf

[vi] REDD-Monitor (2016). Another 19 credit boiler room scams bite the dust. 16.02.2016. http://www.redd-monitor.org/2016/02/11/another-19-carbon-credit-boiler-room-scams-bite-the-dust-including-not-before-time-carbon-neutral-investments/

[vii] Voir par exemple, How REDD+ projects undermine peasant farming and real solutions to climate change, GRAIN (2015). http://wrm.org.uy/browse-by-subject/mercantilization-of-nature/redd/

  • Voir par exemple le grand nombre de posts sur le site Internet du REDD-Monitor, www.redd-monitor.org

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Le procès contre le fluorure touche à sa fin : un juge fédéral devra décider de l'avenir de la fluoration de l'eau

22 Février 2024, 18:22pm

Le procès contre le fluorure touche à sa fin : un juge fédéral devra décider de l'avenir de la fluoration de l'eau

Le 20 février 2024 - Derrick Broze

 

https://www.thelastamericanvagabond.com/fluoride-lawsuit-comes-to-an-end/

 

Le procès contre le fluorure a pris fin et c'est désormais un juge fédéral qui décidera de l'avenir de la fluoration de l'eau aux États-Unis.

 

Mardi, Michael Connett, avocat principal représentant le Fluoride Action Network et les plaignants, a fait sa dernière tentative pour convaincre le juge de district américain Edward Chen que la pratique de la fluoration de l'eau, vieille de 80 ans, abaisse le QI des enfants et devrait être interdite.

 

Tout au long de la procédure du dernier jour du procès, Connett a fait valoir que malgré l'incertitude entourant la concentration exacte à laquelle le fluorure cause des dommages, les preuves présentées par les plaignants au cours des deux dernières semaines montrent clairement que le fluorure est une neurotoxine. Il a encouragé le juge à ne pas laisser « le parfait être l’ennemi du bien ».

 

"Nous n'avons pas besoin que chaque pièce du puzzle s'emboîte avant de prendre des mesures pour prévenir les dommages", a presque crié Connett lors de l'audience. « Nous devons agir lorsque nous avons des preuves de risques, et nous les avons ici. »

 

L'audience était le dernier jour de la deuxième phase du procès longtemps retardé contre le fluorure. Le procès a été intenté par FAN, Moms Against Fluoridation et des plaignants individuels qui cherchent à prouver que le fluorure est une neurotoxine et devrait être interdit. Les plaignants ont intenté une action après la décision de l’EPA de rejeter leur requête en 2016.

 

Brandon Adkins, un avocat du ministère de la Justice représentant l'EPA, a déclaré à plusieurs reprises au juge Chen que son tribunal serait une « exception » s'il se prononçait en faveur des plaignants. Adkins a affirmé que les témoins experts de l’EPA, le Dr Stanley Barone et le Dr David Savitz, avaient prouvé que les preuves de la neurotoxicité du fluorure n’étaient pas suffisamment claires pour se prononcer contre l’agence.

 

Adkins a déclaré que pour que les plaignants obtiennent gain de cause, ils doivent prouver que le fluorure est une neurotoxine à raison de 0,7 milligrammes par litre, et l'EPA ne croit pas qu'ils l'aient fait.

 

Adkins a noté que si le tribunal se prononce en faveur des plaignants, le juge devra choisir un « point de départ », c’est-à-dire le point à partir duquel les dommages causés par la fluoration de l’eau commencent. Il a insisté sur le fait que statuer de cette manière serait une erreur de la part du tribunal.

 

"Le tribunal se trouverait en territoire inconnu s'il devait s'appuyer sur un examen systématique pour le faire ici", a déclaré Adkins. Se prononcer contre l’EPA, a-t-il déclaré, « ne refléterait pas les meilleures données scientifiques disponibles ».

 

Le juge Chen a demandé à Adkins ce qu’il était censé faire du fait qu’il existe un « accord unanime » sur le fait que le fluorure cause des dommages. "Même s'il est difficile de trouver le point où l'effet négatif le plus faible est observé, il est clair qu'il y a un effet", a commenté le juge Chen.

 

L’autre argument principal de l’EPA était qu’une évaluation des risques en vertu de la TSCA exige que l’EPA examine les conditions d’utilisation (COU) d’un produit chimique ou d’un composé particulier en cours d’examen. Dans ce cas, le COU correspond à la fluoration de l’eau et non au fluorure provenant d’autres sources d’exposition.

 

"Il est du devoir des plaignants de prouver que le fluorure présente un risque déraisonnable, en vertu du COU en cause, la fluoration de l'eau communautaire, à 0,7 milligramme par litre", a déclaré Adkins au juge. "Ils ne peuvent pas faire ça."

 

L'EPA a déclaré au juge que la TSCA exige une constatation de risque, et non une incertitude ou une hypothèse de risque. Lorsque Adkins a déclaré au juge Chen que « nous ne savons même pas dans quelle direction vont les données », le juge a répondu en notant : « Nous pouvons certainement dire qu'il existe une « direction » ou une relation entre la concentration plus élevée des niveaux de fluoration de l'eau. »

 

Hypothèse de protection de la santé

 

L'avocat du FAN, Michael Connett, a également fait valoir que l'EPA avait ignoré ce qu'il a appelé une « hypothèse de protection de la santé ». Connett a déclaré au juge que l'EPA privilégie une « hypothèse non protectrice pour la santé » dans ce cas, choisissant de supposer que le fluorure est sans danger au lieu de pécher par excès de prudence.

 

Le juge Chen a demandé à Connett si l’idée d’une hypothèse de protection de la santé était un mandat statutaire ou réglementaire, ou simplement son interprétation du processus de l’EPA. Connett a répondu en montrant les déclarations du témoin expert de l'EPA, le Dr Stanley Barone, dans lesquelles Barone a spécifiquement déclaré que l'EPA utilisait une hypothèse de protection de la santé. Barone a déclaré que cette hypothèse faisait « partie des orientations de notre agence ».

 

Les études étrangères ne sont pas pertinentes selon l'EPA

 

L'avocat de l'EPA, Brandon Adkins, a déclaré à plusieurs reprises au juge Chen que certaines des études présentées dans le procès ne sont pas pertinentes car elles sont basées sur des données provenant de populations en dehors des États-Unis. Adkins a souligné que les études provenaient d'Iran, d'Inde et du Pakistan, et qu'il y aurait donc des variables dans les données qui, selon lui, les rendraient inapplicables au procès.

 

Le juge Chen a répondu en notant que le Programme national de toxicologie (NTP) des États-Unis avait pris en compte ces études et avait choisi de ne pas les exclure de leur examen systématique, bien qu'elles proviennent de pays étrangers. « Vous ne demandez pas au tribunal d’ignorer le faible risque de biais des études sélectionnées par le NTP, n’est-ce pas ? », a demandé le juge Chen. L'EPA

a déclaré que ce n’était pas leur intention.

 

L'ordre du jour final tournait autour de la question de savoir si le juge Chen autoriserait ou non que les enregistrements vidéo des récentes audiences soient mis à la disposition du public dans le cadre du projet pilote de caméras dans la salle d'audience. Chen a demandé aux plaignants de déposer une requête et il se prononcerait dans les prochains jours.

 

Et après?

 

Le juge Chen va désormais passer les prochaines semaines à examiner les témoignages d'experts et les différentes études soumises en preuve avant de rendre sa décision. Une décision du juge pourrait être rendue dans un délai d'une semaine, mais cela pourrait prendre jusqu'à un mois ou deux. Si la décision est en faveur des plaignants, l'EPA aura la possibilité de faire appel. Cependant, le Fluoride Action Network a récemment noté qu’un appel « ne nécessiterait pas une nouvelle contestation de l’ensemble du dossier scientifique ».

 

Quelle que soit la décision du juge Chen, le procès relatif au fluorure a déjà constitué un précédent historique. C'est la première fois qu'une pétition de citoyens en vertu de la TSCA parvient à un tribunal fédéral. C'est également la première fois que les dangers causés par la fluoration de l'eau sont présentés devant un tribunal fédéral par des scientifiques experts.

 

De plus, le procès a permis de découvrir des courriels soulignant comment des éléments du gouvernement américain ont cherché à dissimuler les preuves liant le fluorure à la neurotoxicité chez les enfants. Nous avons également appris que l’Université Harvard et l’Organisation Mondiale de la Santé ont été infiltrées par le « lobby du Fluor ».

 

Faut-il s’étonner qu’il n’y ait eu absolument aucune couverture médiatique de ce procès historique ?

 

Restez à l'écoute de The Last American Vagabond pour les derniers détails sur la prochaine phase du procès Fluoride.

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Nuages et plastique : les microplastiques sont partout

16 Mars 2024, 19:20pm

Nuages et plastique : les microplastiques sont partout

https://cleantechnica.com/2023/10/05/cloudy-with-a-chance-of-plastics-microplastics-are-everywhere/

Médias Nexus https://www.instagram.com/p/Cx6BWn_g3-o/

 

Les objets du quotidien comme les vêtements, les emballages alimentaires, les cosmétiques et les pneus de voiture libèrent de minuscules particules de plastique, qui à leur tour se retrouvent dans le sang, les crottes de bébé, le placenta et le lait maternel. Selon des recherches récentes, les plastiques se trouvent même dans les tissus complexes et délicats qui constituent nos poumons.

 

Nous respirons environ 16 morceaux de microplastique chaque heure, soit l'équivalent d'une carte de crédit chaque semaine, selon une étude récente publiée dans la revue Physics of Fluids.


"Les gens n'auraient jamais pensé que nous pouvions inhaler des microplastiques, donc les données sont sous-estimées et les résultats sont plus graves", explique Saidul Islam, auteur principal de l'article et professeur à l'Université de technologie de Sydney.

 

Selon les chercheurs, ces plastiques peuvent se loger dans nos voies respiratoires et y rester au fil du temps. Pourtant, malgré son omniprésence dans l’environnement et dans notre corps, les scientifiques ne comprennent pas pleinement ses impacts à long terme sur notre santé.

 

Un rapport de 2019 publié dans Environmental Science & Technology a révélé que les Américains consomment chaque année environ 39 000 à 52 000 particules de microplastiques dans la nourriture et l’eau. C’est la taille de deux girafes en un an et la taille de la Tour Eiffel entière en une vie. Selon le Programme des Nations Unies pour l'environnement, des recherches sur plus de 13 000 produits chimiques associés aux plastiques ont révélé qu'au moins 3 200 d'entre eux se sont révélés dangereux pour la santé humaine. Des expériences en laboratoire ont montré que les microplastiques peuvent endommager les cellules humaines.

 

Les producteurs de plastique, comme la British Plastics Federation, ont souligné les traités internationaux qui visent à « éliminer, restreindre, réduire ou éliminer » les polluants organiques persistants (POP) de l’environnement afin de protéger la santé humaine. En réponse à un récent rapport de Greenpeace sur les produits chimiques toxiques présents dans les plastiques, BPF a répondu que lutter contre la pollution plastique « est essentiel, mais cela ne peut pas être fait de manière isolée, sans tenir compte de l’impact d’autres problèmes environnementaux mondiaux clés ».

 

La plupart des études ont tendance à se concentrer uniquement sur l’ingestion de microplastiques, même si nous inhalons également ces plastiques, a déclaré Islam. Son étude est l’une des premières du genre à quantifier la quantité que nous respirons.


« On ignore encore comment cela affecte réellement notre santé respiratoire », explique Islam. On sait que les particules de pollution atmosphérique pénètrent dans l’organisme et provoquent des millions de décès prématurés chaque année – on ne sait pas exactement dans quelle mesure cela est dû aux microplastiques.

 

Les experts commencent à établir une corrélation entre les microplastiques et l’inflammation pulmonaire, l’essoufflement et un risque plus élevé de cancer du poumon. Les recherches sur les rats suggèrent que lorsque les microplastiques infiltrent les cellules pulmonaires, ils peuvent commencer à perturber la composition cellulaire. Cela suggère que l’exposition aux microplastiques peut également provoquer des lésions pulmonaires chez l’homme.


Des études similaires suggèrent que les plastiques polypropylène – des matériaux rigides que l’on trouve souvent dans les contenants jetables, les pièces automobiles et même les masques utilisés pour empêcher la propagation du coronavirus – endommagent les mitochondries à l’intérieur des cellules, ce qui provoque également une inflammation des poumons.

 

"Nous avons besoin de plus d'études sur la manière dont le plastique s'incruste dans la surface des poumons, comment il agit sur la surface des poumons, comment sa toxicité augmente avec le temps et comment il crée des maladies", a déclaré Islam, ajoutant que son équipe envisageait d'aborder ces questions dans le futur. futur proche. "Nous commençons seulement à comprendre comment il se transporte dans les voies respiratoires."

 

Islam a mené des expériences sur trois formes et tailles différentes de microplastiques (sphérique, tétraédrique et cylindrique) (1,6, 2,56 et 5,56 microns). Il a découvert que la forme, la taille et les modes de respiration affectaient la destination des matériaux.

 

Les sujets de l’étude effectuant une activité physique vigoureuse et respirant fortement ont respiré plus de volume de plastique qu’au repos. Mais une respiration plus lente, associée au sommeil, était associée à des particules plus petites se logeant profondément dans les poumons.

 

"Habituellement, la plupart des microplastiques plus gros se déposent dans les cavités nasales et la trachée, car la cavité nasale agit comme un filtre", explique Islam. "Lorsque vous respirez lentement, des particules plus petites tombent dans les zones les plus profondes [du système respiratoire]." Islam a ajouté que les nanoparticules de plastique peuvent ensuite se déplacer vers différents organes du corps.


La recherche sur les microplastiques et la santé humaine en est encore à ses débuts, a déclaré Mary Johnson, chercheuse scientifique principale à Harvard T.H. École Chan de santé publique. Mais une chose est claire : chaque étape du cycle de vie du plastique a un impact disproportionné sur les communautés vulnérables.

 

"En général, les populations vulnérables courent un risque encore plus grand de subir les effets négatifs sur la santé de la production, de l'utilisation et de la dégradation des plastiques", explique Johnson. Elle a cité un rapport des Nations Unies de 2021 sur la pollution mondiale par les plastiques qui détaillait la situation des communautés autochtones.


l'extraction de pétrole, la contamination des réserves d'eau dans les communautés à faible revenu, les problèmes de santé parmi les communautés à prédominance noire vivant à proximité des raffineries de pétrole dans le Sud, entre autres dangers auxquels sont confrontées les communautés à risque. .

 

Une autre étude publiée plus tôt cette année dans Annals of Global Health a révélé que les travailleurs des combustibles fossiles, les producteurs de plastique et les communautés vivant à proximité des sites de production et d'élimination des plastiques connaissaient des taux plus élevés de certains cancers, de maladies respiratoires et de complications de grossesse et d'accouchement.


Environ 99 % du plastique provient de produits chimiques issus de combustibles fossiles et, tout au long de leur cycle de vie, la production de plastique génère environ 3,4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre.


De nombreux cancérogènes humains et perturbateurs endocriniens connus, tels que les produits chimiques dits éternels, sont ajoutés aux plastiques pendant la production pour en améliorer les performances. « Les plastiques sont hautement toxiques », déclare Islam. « Parce que lorsque nous inhalons simplement le plastique, ce n’est pas seulement le plastique, il pourrait aussi contenir des produits chimiques plus toxiques. »


Une version plus longue de cet article est disponible sur Discover Magazine. Nexus Media News est un service d'information à but non lucratif et indépendant sur le plan rédactionnel qui couvre le changement climatique. Suivez-nous @NexusMediaNews.

 

Republié à partir de Nexus Media News. Par SOFIA QUAGLIA

 

Histoire connexe :

 

Les microplastiques sont littéralement partout

Il est de plus en plus difficile d’éviter les plastiques.

 

Dans une étude publiée dans Environmental Chemistry Letters le mois dernier, des scientifiques japonais ont documenté comment ils ont collecté l'eau des nuages ​​au sommet du mont Fuji et du mont Oyama pour réaliser une étude inédite sur les microplastiques en suspension dans l'air dans les nuages. L’équipe a observé des concentrations de microplastiques comprises entre 6,7 et 13,9 pièces par litre d’eau nuageuse.

 

Dans deux études distinctes menées à Saint-Louis, dans le Missouri, des chercheurs ont découvert de grandes quantités de microplastiques dans l'eau et les sédiments d'une grotte fermée aux humains depuis des décennies.


"Si le problème de la "pollution atmosphérique plastique" n'est pas traité de manière proactive, le changement climatique et les risques écologiques pourraient devenir une réalité, causant de graves dommages environnementaux irréversibles à l'avenir", a déclaré l'auteur principal de l'étude sur les nuages, Hiroshi Okochi de l'Université Waseda. a déclaré dans un communiqué.

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Le Mexique s'en prend aux États-Unis à propos du maïs génétiquement modifié et du glyphosate

24 Mars 2024, 19:05pm

Le Mexique s'en prend aux États-Unis à propos du maïs génétiquement modifié et du glyphosate

CAREY GILLAM MAR 18, 2024


 

https://careygillam.substack.com/p/mexico-smacks-us-over-gm-corn-and


 

Une confrontation entre le Mexique et les États-Unis s’est transformée en une confrontation mexicaine ce mois-ci avec la publication de la réfutation officielle du Mexique aux efforts américains visant à renverser les limites imposées par le Mexique sur l’utilisation du maïs génétiquement modifié (GM) et du glyphosate, un produit chimique qui détruit les mauvaises herbes.

Dans un rapport de 189 pages déposé auprès d'un groupe spécial de l'Accord États-Unis-Mexique-Canada (USMCA), le Mexique a expliqué en termes crus pourquoi il a ordonné que le maïs génétiquement modifié ne soit pas utilisé pour les tortillas et la pâte que les gens mangent et pourquoi il a a ordonné à ses agriculteurs de cesser d'utiliser le glyphosate.

« Le Mexique a des inquiétudes légitimes quant à la sécurité et à l’innocuité du maïs génétiquement modifié… et à sa relation indissoluble avec son paquet technologique qui inclut le glyphosate », indique le rapport du gouvernement.

Le Mexique cite « l’utilisation de pesticides dangereux » comme facteur provoquant des « effets graves sur la santé ».

Il existe « des preuves scientifiques claires des effets nocifs de la consommation directe de grains de maïs génétiquement modifiés dans la farine de maïs, la pâte, les tortillas et les produits connexes », déclare le Mexique. Selon le Mexique, davantage de preuves sont nécessaires pour déterminer « si et dans quelle mesure ces risques sont transmis aux produits alimentaires plus en aval… »

Ces mesures visent « à contribuer à la sécurité et à la souveraineté alimentaires » et à « la santé des hommes et des femmes mexicains », a déclaré le gouvernement mexicain lors de l'annonce de ces mesures.

Les États-Unis ont affirmé que le Mexique ne fondait pas sa décision sur des données scientifiques et violait les accords conclus dans le cadre de l’accord commercial ACEUM. La bataille s’est intensifiée au cours de l’année dernière et dans sa dernière réponse, le Mexique n’a pas seulement rejeté les arguments américains, mais a exposé en détail une multitude de recherches scientifiques qui étayent ses préoccupations.

Ce sont les États-Unis, et non le Mexique, qui ne suivent pas les données scientifiques, affirme le gouvernement mexicain.

"Les États-Unis prétendent que les mesures contestées ne sont pas fondées sur la science, mais cherchent à prouver leurs arguments avec des publications sans le minimum de rigueur scientifique, dépassées ou, le cas échéant, avec un conflit d'intérêts évident", indique la réponse mexicaine.

Le glyphosate est l'ingrédient actif de la marque d'herbicide Roundup lancée il y a plusieurs décennies par Monsanto et maintenant détenue par Bayer, qui a acheté Monsanto en 2018. Monsanto a développé du maïs, du soja, du canola et d'autres cultures génétiquement modifiés pour tolérer la pulvérisation de glyphosate, une caractéristique qui autorise la pulvérisation du pesticide sur le dessus des cultures en croissance sans les tuer, tout en tuant les mauvaises herbes.

L’opposition au glyphosate et aux cultures pulvérisées avec ce produit s’est intensifiée au fil des années, en particulier après que le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé a classé le glyphosate comme cancérogène probable pour l’homme en 2015, sur la base de recherches scientifiques publiées et évaluées par des pairs.

Les aliments fabriqués à partir de cultures pulvérisées au glyphosate contiennent généralement des résidus de désherbant, que les gens consomment ensuite dans leur alimentation quotidienne. En plus d'être conçu pour résister à la pulvérisation de glyphosate, la plupart du maïs américain est conçu pour produire ses propres toxines afin de le protéger de certains ravageurs.

En plus d’évoquer les problèmes de santé associés au maïs génétiquement modifié, le Mexique affirme qu’il considère le maïs génétiquement modifié comme une menace pour les variétés indigènes qui pourrait avoir un impact négatif sur la biodiversité du Mexique.

Le Mexique cite des preuves de risques

Une analyse du rapport mexicain révèle 13 pages de preuves, dont 66 références à des travaux universitaires évalués par des pairs, selon lesquelles le maïs génétiquement modifié, en particulier les variétés « Bt » résistantes aux insectes, présentent des risques potentiels pour la santé des personnes en raison de dommages au tractus intestinal et à d'autres organes. , selon Timothy Wise, chercheur principal à l'Université Tufts et conseiller principal sur l'avenir de l'alimentation à l'Institute for Agriculture and Trade Policy.

En outre, le rapport comprend 74 références académiques pour étayer les préoccupations du Mexique concernant les risques pour les consommateurs mexicains dus aux résidus de glyphosate présents dans le maïs génétiquement modifié, a déclaré Wise. Il a souligné que la plupart des études citées par les partisans des cultures génétiquement modifiées et du glyphosate comme preuve de sécurité sont des études financées par les entreprises qui vendent les cultures et les produits chimiques, et que nombre d'entre elles ne sont même pas évaluées par des pairs.

« Le Mexique a montré qu’il avait fermement à ses côtés les dernières données scientifiques indépendantes », a déclaré Wise. "Le Mexique souligne que les États-Unis ne peuvent pas produire une seule étude universitaire démontrant que la consommation à long terme de grandes quantités de maïs génétiquement modifié de manière minimale et traité avec du glyphosate est sans danger", a déclaré Wise.

Dans des commentaires soumis au Secrétariat de l'AEUMC le 13 mars, l'organisation à but non lucratif Les Amis de la Terre (FOE) a également déclaré que la science favorisait la position du Mexique.

Le glyphosate a été associé dans la recherche à la stéatose hépatique et aux lésions rénales, entre autres problèmes de santé, note le groupe. Et lorsqu’il s’agit de recherche sur le maïs génétiquement modifié, il existe un manque criant de preuves démontrant son innocuité, selon FOE.

Les versions actuelles du maïs génétiquement modifié peuvent contenir de multiples toxines conçues pour lutter contre les ravageurs ainsi que les résidus des herbicides pulvérisés sur le maïs. Mais aucune recherche approfondie n’a été menée pour évaluer les risques pour la santé humaine découlant de


 


 

exposition aux toxines et aux produits chimiques, déclare FOE.

« La dépendance croissante aux pesticides et aux toxines dans la production de maïs a diversifié les voies et les niveaux d’exposition humaine à ces deux éléments. Malgré l’absence de données et de connaissances nécessaires à une comptabilité complète, cette augmentation a sûrement conduit à de nouveaux impacts négatifs plus graves sur la santé humaine et l’environnement », a déclaré FOE dans son mémoire.

Pourtant, « la portée et l’adéquation de la recherche scientifique et de la surveillance réglementaire » des impacts du maïs génétiquement modifié sur la santé humaine » ont reculé à la suite de pressions politiques persistantes en faveur d’un « allègement réglementaire », déclare le groupe.

Influence de l'industrie

Les actions du gouvernement américain visant à empêcher le Mexique d'imposer des limites au glyphosate et au maïs génétiquement modifié ont été menées en grande partie à la demande de l'industrie, notamment de Bayer, de Corteva AgriScience (une société créée à partir des anciennes sociétés Dow et DuPont), du lobbyiste CropLife America, de Corn Refiners. Association et autres acteurs de l’industrie.

Les efforts de l'industrie ont été révélés dans des courriels internes du gouvernement obtenus grâce aux demandes du Center for Biological Diversity en vertu de la Freedom of Information Act.

Le centre fait partie des dizaines d’organisations qui exigent que les responsables américains respectent la souveraineté du Mexique et cessent de tenter de bloquer les politiques mexicaines en matière de pesticides et de cultures génétiquement modifiées.

La pression exercée sur le Mexique est similaire aux mesures prises par les lobbyistes de l'industrie chimique pour faire échouer une interdiction du glyphosate prévue par la Thaïlande en 2019. Les responsables thaïlandais avaient également évoqué des préoccupations pour la santé publique en cherchant à interdire le désherbant, mais ont changé de cap après les menaces américaines de perturbation des échanges.

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441 449 SATELLITES EN ORBITE TERRESTRE BASSE en service, approuvés et proposés

30 Janvier 2022, 17:20pm

441 449 SATELLITES EN ORBITE TERRESTRE BASSE  en service, approuvés et proposés

Arthur Firstenberg – Le 5 janvier 2022



Alors que l'attention d'un monde terrifié a été rivée sur un virus, et que les préoccupations concernant les radiations se sont concentrées sur la 5G au sol, l'assaut des cieux a atteint des proportions astronomiques. Au cours des deux dernières années, le nombre de satellites qui tournent autour de la terre est passé de 2 000 à 4 800, et une avalanche de nouveaux projets a porté le nombre de satellites en fonctionnement, approuvés et proposés à au moins 441 449. Et ce nombre ne comprend que les satellites en orbite basse (LEO) qui résideront dans l'ionosphère.

Les projets de satellites comprennent ceux énumérés ci-dessous. Les entreprises sont basées aux États-Unis, sauf indication contraire.

17 270 satellites déjà approuvés par la Commission fédérale des communications des États-Unis :

Amazon (Kuiper) - 3 236 satellites
Astro Digital - 30 satellites
Black Sky Global - 36 satellites
Boeing - 147 satellites
Capella Space Corp. 7 satellites
Globalstar (en activité depuis 2000) - 48 satellites
Hawkeye 360 - 80 satellites
ICEYE - 6 satellites (FINLANDE)
Iridium (en service depuis 1998) - 66 satellites
Kepler Communications - 140 satellites (CANADA)
Loft Orbital - 11 satellites
OneWeb - 720 satellites (ROYAUME-UNI)
Planet Labs (en activité) - 200 satellites
R2 Space, LLC - 8 satellites
Spire Global - 175 satellites
SpaceX - 11 943 satellites
Swarm - 150 satellites
Telesat - 117 satellites (CANADA)
Theia Holdings - 120 satellites
Umbra Lab - 6 satellites
Viasat - 24 satellites

Demandes pour 65 912 satellites en cours devant la FCC :

Amazon (Kuiper) - 4 538 satellites supplémentaires
AST & Science - 243 satellites
Astra Space - 13 620 satellites
Boeing - 5 789 satellites supplémentaires
Black Sky Global - 14 satellites supplémentaires
Fleet Space Technologies - 40 satellites (AUSTRALIE)
Hughes Network Systems - 1 440 satellites
Inmarsat - 198 satellites (ROYAUME-UNI)
Kepler Communications - deux constellations supplémentaires de 360 satellites et 212 satellites (CANADA)
Lynk Global - 10 satellites (HONG KONG)
Maxar Technologies - 12 satellites
New Spectrum - 30 satellites (CANADA)
OneWeb - 6 368 satellites supplémentaires (ROYAUME-UNI)
Orbital Sidekick - 6 satellites
SN Space Systems - 1 190 satellites (ROYAUME-UNI)
SpaceX - 30 000 satellites supplémentaires
Telesat - 1 554 satellites supplémentaires (CANADA)
Terra Bella - 24 satellites (15 déjà opérationnels)
Viasat - 264 satellites supplémentaires

Constellations totalisant 14 872 satellites annoncées par les gouvernements :

Guowang - 12 992 satellites (CHINE)
Roscosmos - 264 satellites nommés Marathon (RUSSIE)
Roscosmos - 640 satellites nommés Sfera (RUSSIE)
Defense Advanced Research Projects Agency - 20 satellites (MILITAIRE AMÉRICAIN)
Space Development Agency - 500 satellites (MILITAIRE AMÉRICAIN)
UN:IO - 400 satellites (COMMISSION EUROPÉENNE)
Yaogan - 76 satellites (déjà en service) (MILITAIRE CHINOIS)

Autres constellations LEO prévues par des sociétés américaines et étrangères, totalisant plus de 16 055 satellites :

4pi Lab - 16 satellites (CANADA)
ADA Space - 192 satellites (CHINE)
Aerospacelab - deux constellations (nombre de satellites inconnu) (BELGIQUE)
Aistech - 20 satellites (ESPAGNE)
Albedo Space - 24 satellites
Alpha Insights - nombre inconnu (CANADA)
Analytical Space - 36 satellites (sous contrat avec U.S. SPACE FORCE)
Apogee Networks - 18 satellites (NOUVELLE-ZÉLANDE)
Astrocast - 100 satellites (SUISSE)
Astrome - 198 satellites (INDE)
Aurora Insight - 12 satellites
Avant Space - 30 satellites (RUSSIE) équipés de lasers pour servir de panneau d'affichage dans l'espace pour diffuser des publicités
Axelspace - 50 satellites (JAPON)
BeetleSat - 80 satellites (ISRAËL)
Canon - 100 satellites (JAPON)
Capella Space Corp - 29 satellites supplémentaires
Carbon Mapper - 20 satellites
Care Weather - 50 satellites
Chang Guang - 138 satellites (CHINE)
China Aerospace Science and Industry Corporation - 80 satellites (CHINE)
Climavision - 50 satellites
Commsat - 72 satellites (8 déjà opérationnels) (CHINE)
ConstellR - 30 satellites (ALLEMAGNE)
Curvalux - 240 satellites (ROYAUME-UNI)
Earth Observant - 30 satellites
EarthDaily Analytics - 6 satellites (CANADA)
Earth-i - 15 satellites (ROYAUME-UNI)
EchoStar - 30 satellites (CANADA)
Elecnor Deimos - nombre inconnu (ESPAGNE)
EOSAgriSat - 12 satellites (FRANCE)
Eutelsat - 25 satellites (FRANCE)
ExactEarth (en activité) - 68 satellites (CANADA)
Fleet Space - 60 satellites supplémentaires (AUSTRALIE)
Future Navigation - 120 satellites (CHINE)
GalaxEye - 15 satellites (INDE)
Galaxy Space - 1 000 satellites (CHINE)
Geely - nombre inconnu (CHINE)
GeoOptics - 50 satellites
GHG Sat - 10 satellites (CANADA)
GP Advanced Projects - 9 satellites (ITALIE)
Guodian Gauke - 38 satellites (CHINE)
Hanwha Systems - 2 000 satellites (CORÉE DU SUD)
HEAD Aerospace - 48 satellites (CHINE)
Hera Systems - 50 satellites
Horizon Technologies - 13 satellites (ROYAUME-UNI)
Hydrosat - 16 satellites
Hypersat - 6 satellites
ICEYE - a déjà lancé 14 satellites et en prévoit 18, soit 12 satellites de plus que ce qui a été approuvé par la FCC (FINLANDE)
Innova Space - 100 satellites (ARGENTINE)
IQPS - 36 satellites (JAPON)
Kinéis - 25 satellites (FRANCE)
KLEO - 300 satellites (ALLEMAGNE)
Kleos Space - 80 satellites (LUXEMBOURG)
Lacuna Space - 240 satellites (ROYAUME-UNI)
Launchspace - 124 satellites
LunaSonde - nombre inconnu (ROYAUME-UNI)
Lynk Global - 4 990 satellites supplémentaires (HONG KONG)
LyteLoop - 6 satellites
MDA - nombre inconnu
Mission Space - nombre inconnu (LETTONIE)
Modularity Space - 150 satellites
Muon Space - nombre inconnu
Myriota - 50 satellites (AUSTRALIE)
NanoAvionics - 72 satellites (LITUANIE)
Ningxia - 10 satellites (CHINE)
NorthStar - 52 satellites (CANADA)
OHB Italia - 20 satellites (ITALIE)
Omnispace - 200 satellites
OQ Technology - 60 satellites (LUXEMBOURG)
Orbital Micro Systems - 40 satellites
OroraTech - 100 satellites (ALLEMAGNE)
PION Labs - nombre inconnu (BRÉSIL)
PIXXEL - 36 satellites (INDE)
PlanetIQ - 20 satellites
PredaSAR - 48 satellites
Prométhée - nombre inconnu (FRANCE)
QEYNet - numéro inconnu (CANADA)
QianSheng - 20 satellites (CHINE)
Reaktor Space Lab - 36 satellites (FINLANDE)
Rocket Lab - "Méga-constellation" de nombre inconnu (NOUVELLE-ZÉLANDE)
Rogue Space Systems - 40 satellites
Rovial - nombre inconnu (FRANCE)
Saab - 100 satellites (SUÈDE)
SaraniaSat - nombre inconnu
Sateliot - 100 satellites (ESPAGNE)
Satellogic - 90 satellites (ARGENTINE)
SatRevolution - 1500 satellites (POLOGNE)
Scanworld - 10 satellites (BELGIQUE)
Scepter et ExxonMobil - 24 satellites
SCOUT - nombre inconnu
Shanghai Lizheng - 90 satellites (CHINE)
Skykraft - 210 satellites (AUSTRALIE)
Space JLTZ - 200 satellites (MEXIQUE)
Space Union - 32 satellites (LITUANIE)
SpaceBelt - 12 satellites
SpaceFab - nombre inconnu
Spacety - 56 satellites (CHINE)
Stara Space - 120 satellites
Startical - 200 satellites (ESPAGNE)
Sternula - 50 satellites (DANEMARK)
Synspective - 30 satellites (JAPON)
Telnet - 30 satellites (TUNISIE)
Tomorrow.io - 36 satellites
Totum Labs - 24 satellites
Trion Space - 288 satellites (LIECHTENSTEIN)
Trustpoint - nombre inconnu
Umbra Labs - 18 satellites supplémentaires
UnseenLabs - 50 satellites (FRANCE)
Vyoma Space - nombre inconnu (ALLEMAGNE)
WiseSat Space - nombre inconnu (SUISSE)
Xona - 300 satellites
ZeroG Lab - 378 satellites (CHINE)
Zhuhai Orbita - 34 satellites (CHINE)

 

 

Le Rwanda, qui veut catapulter l'Afrique au rang de leader mondial de l'espace, a déposé le 21 septembre 2021 auprès de l'Union internationale des télécommunications (UIT) une demande de 327 320 satellites. Sa proposition comprend 937 plans orbitaux, répartis en 27 coquilles orbitales (couches de satellites à différentes altitudes), avec 360 satellites dans chaque plan.
Agence spatiale rwandaise - 327 320 satellites (RWANDA)

TOTAL : 441 449 SATELLITES OPÉRATIONNELS, APPROUVÉS ET PROPOSÉS (+18 constellations dont le nombre n'est pas encore connu)

La plupart des satellites de la liste ci-dessus seraient en orbite à des altitudes comprises entre 325 km (200 miles) et 1 100 km (680 miles), sauf que certaines des orbites proposées par le Rwanda descendent jusqu'à 280 km (174 miles). La liste ci-dessus ne comprend pas les applications pour les satellites en orbite géostationnaire (GEO), ou pour les constellations LEO de moins de 5 satellites, ou les constellations en orbite terrestre moyenne (MEO) telles que :
Intelsat (à 8600 km) - 216 satellites (LUXEMBOURG).
Mangata Networks (à 6 400 km et 12 000 km) - 791 satellites
O3b (à 8 062 km) - 112 satellites (LUXEMBOURG)

ÉCLAIRER LE CIEL NOCTURNE


Les scientifiques ont déjà commencé à publier des articles analysant l'effet que tous ces satellites auront, non seulement sur l'astronomie, mais aussi sur l'aspect du ciel nocturne et la visibilité des étoiles pour tous les habitants de la planète. Un article publié en ligne le 29 mars 2021 dans Monthly Notices of the Royal Astronomical Society par des scientifiques de Slovaquie, d'Espagne et des États-Unis est intitulé "La prolifération des objets spatiaux est une source rapidement croissante de luminosité artificielle du ciel nocturne." La diffusion de la lumière solaire de tous les objets dans l'espace, écrivent les auteurs, provoque une "nouvelle lueur du ciel" au début et à la fin de chaque nuit qui a déjà éclairci le ciel nocturne naturel d'environ 10 %. Les auteurs craignent que "la contribution supplémentaire des nouvelles méga-constellations de satellites" ne ruine le ciel nocturne dans des proportions bien plus importantes.

Un groupe d'astronomes canadiens a publié un article dans le numéro de janvier 2022 de The Astronomical Journal. "Des mégaconstellations de milliers à des dizaines de milliers de satellites artificiels (satcons) sont rapidement développées et lancées", écrivent-ils. "Ces satcons auront des conséquences négatives sur la recherche en astronomie observationnelle, et sont sur le point d'interférer radicalement avec l'observation des étoiles à l'œil nu dans le monde entier." Ils ont analysé quel serait l'effet sur l'astronomie si 65 000 nouveaux satellites en orbite basse étaient lancés. À 40 degrés de latitude (milieu des États-Unis, Méditerranée, milieu de la Chine, Japon, Buenos Aires, Nouvelle-Zélande), disent ces auteurs, plus de 1 000 de ces satellites seront ensoleillés et visibles dans le ciel en été, même à minuit. À des latitudes plus élevées (nord des États-Unis, Canada, la plupart de l'Europe, Russie), des milliers de ces satellites seront visibles toute la nuit.

Un autre document, intitulé Report on Mega-Constellations to the Government of Canada and the Canadian Space Agency, a été commandé par la Société canadienne d'astronomie et soumis au gouvernement canadien le 31 mars 2021. Il s'agit d'un document émouvant. Ces astronomes écrivent :

"Dans les temps anciens, les humains, partout dans le monde, avaient accès à un ciel complètement noir. En revanche, aujourd'hui, 80 % des Nord-Américains ne peuvent pas voir la Voie lactée depuis leur lieu de résidence en raison de la pollution lumineuse. Le manque d'obscurité que de nombreuses personnes connaissent aujourd'hui en raison de la pollution lumineuse urbaine a été associé à de nombreux problèmes de santé physique et mentale, tant chez les humains que chez les animaux sauvages. Mais il existe encore des poches d'obscurité où les citadins peuvent échapper à la pollution lumineuse et découvrir des cieux presque aussi sombres que ceux vus par nos ancêtres. Malheureusement, la pollution lumineuse des satellites sera un phénomène mondial : il n'y aura plus aucun endroit sur Terre où l'on pourra profiter d'un ciel exempt de satellites lumineux en orbite.

"Quiconque a déjà passé du temps dans un endroit vraiment sombre à regarder les étoiles comprend le puissant sentiment d'union et d'humilité que cet acte inspire. Nos vies, nos soucis, voire notre planète entière, semblent si relatifs à cette échelle - un sentiment qui a façonné la littérature, l'art et la culture dans le monde entier. En observant le ciel nocturne, il devient immédiatement évident que nous faisons partie d'un univers vaste et merveilleux, rempli d'innombrables étoiles... Le lien avec le ciel fait partie de notre humanité, et tous les être humains sur Terre sont en réel danger de perdre cela...

"À l'œil nu, l'observation des étoiles à partir d'un endroit où le ciel est sombre permet de voir environ 4 500 étoiles... Lorsque Starlink approchera des 12 000 satellites en orbite, la plupart des gens au Canada verront plus de satellites que d'étoiles dans le ciel."

LA PLUS GRANDE FOSSE À ORDURES DU MONDE

Non seulement des milliers de satellites entiers menacent les cieux, mais une quantité phénoménale de débris gravitent autour de la Terre à la suite de collisions, d'explosions ou d'autres destructions de satellites dans l'espace. Depuis 64 ans que l'homme lance des fusées, les couvertures protectrices de l'ionosphère et de la magnétosphère sont devenues la plus grande poubelle de la Terre.

Selon l'Agence spatiale européenne, il y a aujourd'hui, en orbite autour de la Terre, 7 790 satellites intacts, dont 4 800 fonctionnent. Depuis 1957, il y a eu plus de 630 ruptures, explosions, collisions et autres événements destructeurs de satellites. Cela a entraîné la création de plus de 9 700 tonnes de débris spatiaux. Il y a, en orbite aujourd'hui :
30 430 débris actuellement suivis.
36 500 objets d'une taille supérieure à 10 cm
1 000 000 d'objets d'une taille comprise entre 1 cm et 10 cm
330 000 000 d'objets d'une taille comprise entre 1 mm et 1 cm.

EFFETS SUR L'OZONE, LES TREMBLEMENTS DE TERRE ET LES ORAGES

 

La couche d'ozone

Dans un article de 2020 intitulé "The environmental impact of emissions from space launches : A comprehensive review ", Jessica Dallas et ses collègues de l'Université de Nouvelle-Galles du Sud ont écrit que " l'appauvrissement de la couche d'ozone est l'une des plus grandes préoccupations environnementales entourant les lancements de fusées depuis la Terre. "

En 2021, il y a eu 146 lancements de fusées orbitales pour mettre 1 800 satellites dans l'espace. À ce rythme, pour maintenir et remplacer continuellement 100 000 satellites en orbite basse, dont la durée de vie moyenne est de cinq ans, il faudrait plus de 1 600 lancements de fusées par an, soit plus de quatre par jour, pour toujours.

Les années 2020 et 2021 ont été marquées par deux des plus grands trous d'ozone en Antarctique depuis le début des mesures en 1979. Le trou de 2020 a également été le plus long jamais enregistré, et celui de 2021 n'a été que de quelques jours plus court ; plus grand que le continent Antarctique, il a commencé fin juillet 2021 et s'est terminé le 28 décembre 2021. Tout le monde accuse encore les chlorofluorocarbones (CFC), qui ont été interdits par le protocole de Montréal en 1978. Personne ne se penche sur les lancements de fusées, qui ont été plus nombreux en 2020 et 2021 qu'au cours des années précédentes. En plus des 146 lancements orbitaux de 2021, il y a eu 143 lancements suborbitaux de fusées à plus de 80 kilomètres d'altitude, soit un total de 289 lancements à haute altitude pour l'année, ou presque un par jour.

Tremblements de terre et orages

En 2012, Anatoly Guglielmi et Oleg Zotov ont examiné les preuves que l'utilisation mondiale de l'électricité a un effet sur l'activité sismique et les orages. En particulier, la consommation mondiale d'électricité connaît un pic chaque heure à l'heure juste, et il en va de même pour le nombre moyen de tremblements de terre dans le monde. En 2020, un groupe de scientifiques italiens a fourni des informations supplémentaires : l'activité solaire est également en corrélation avec les tremblements de terre, et elle semble le faire en augmentant la tension de l'ionosphère. Comme cela doit augmenter le flux de courant dans le circuit électrique mondial (voir le chapitre 9 de mon livre, L'arc-en-ciel invisible), cela augmenterait les courants électriques qui traversent la croûte terrestre à tout moment, ce qui augmenterait la tension sur les failles sismiques et augmenterait la fréquence des tremblements de terre. Le titre de l'article italien est "Sur la corrélation entre l'activité solaire et les grands tremblements de terre dans le monde".

On peut douter que 100 000 satellites, bien qu'émettant de puissantes ondes radio, puissent élever la tension ionosphérique. Cependant, l'échappement des fusées de chaque lancement émet des tonnes de vapeur d'eau, qui est plus conductrice que l'air sec. La stratosphère est sèche et contient très peu d'eau, et toute eau que les humains y déposent y reste pendant des années et s'accumule. Les multiples lancements quotidiens de fusées, à perpétuité, rempliront la stratosphère de vapeur d'eau, augmenteront sa conductivité et le courant circulant dans le circuit électrique mondial. Le courant circulant dans la croûte terrestre augmentera, ce qui pourrait accroître la fréquence des tremblements de terre.

Je suppose également que cela augmenterait la fréquence et la puissance des orages dans le monde. S'il n'y avait pas d'orages, la tension ionosphérique, qui est en moyenne de 300 000 volts, se déchargerait en 15 minutes environ. Une centaine d'éclairs par seconde, quelque part sur la Terre, la rechargent en permanence. En augmentant le flux de courant dans le circuit électrique mondial, l'ionosphère se déchargerait plus rapidement, et comme ce sont les orages qui rechargent la batterie de la Terre, la fréquence et la violence des orages devraient augmenter.

MODIFICATION DE L'ENVIRONNEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DE LA TERRE


Ce que tout le monde ignore complètement, c'est l'effet de toutes les radiations des satellites sur l'ionosphère, et par conséquent sur la force vitale de tout être vivant. La relation de l'électricité avec le qi et le prana a échappé à l'attention de l'homme moderne. Les physiciens de l'atmosphère et les médecins chinois n'ont pas encore partagé leurs connaissances les uns avec les autres. Or, à l'heure actuelle, un tel partage est crucial pour la survie de la vie sur Terre.

 


"Le Yang pur forme le ciel, et le Yin turbulent forme la terre. Le Qi de la terre monte et se transforme en nuages, tandis que le Qi du ciel descend et se transforme en pluie." C'est ainsi que le Classique de médecine interne de l'Empereur jaune a décrit le circuit électrique mondial il y a 2 400 ans -- le circuit qui est généré par l'ionosphère et qui circule perpétuellement entre le ciel Yang (positif) et la terre Yin (négatif). Le circuit qui nous relie à la terre et au ciel et qui circule dans nos méridiens en nous donnant vie et santé. Un circuit qui ne doit pas être pollué par les fréquences émises par cent mille satellites, dont certains faisceaux auront une puissance effective allant jusqu'à dix millions de watts. C'est de la folie pure, et jusqu'à présent, personne n'y prête attention. Personne ne se demande même si les satellites ont quelque chose à voir avec le déclin profond et simultané, à l'échelle de la planète, du nombre d'insectes et d'oiseaux, et avec la pandémie de troubles du sommeil et de fatigue que connaissent tant de personnes. Tout le monde est tellement concentré sur un virus et sur les antennes au sol que personne ne prête attention à l'holocauste qui descend de l'espace.



Arthur Firstenberg
Auteur, The Invisible Rainbow : Une histoire de l'électricité et de la vie
Administrateur, Appel international pour stopper la 5G sur Terre et dans l'espace
Gardien, ECHOEarth.org (End Cellphones Here On Earth) P.O. Box 6216
Santa Fe, NM 87502 USA téléphone : +1 505-471-0129
arthur@cellphonetaskforce.org

Les 33 derniers bulletins d'information, y compris celui-ci, peuvent être téléchargés et partagés sur la page des bulletins d'information du Cellular Phone Task Force. Certaines de ces lettres sont également disponibles en allemand, espagnol, italien, français, norvégien et néerlandais.

Pour signer l'appel, rendez-vous sur :

https://www.5GSpaceAppeal.org


 

 

 

 

 

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Guerre mondiale : La géo-ingénierie est en train de détruire notre planète et l'humanité

1 Novembre 2021, 10:02am

Guerre mondiale : La géo-ingénierie est en train de détruire notre planète et l'humanité

 

https://www.globalresearch.ca/global-war-ning-geoengineering-is-wrecking-our-planet-and-humanity/5753754

 

 

Global Research E-Book, Centre de recherche sur la mondialisation (CRG)

 

Claudia von Werlhof, Rosalie Bertell, Elana Freeland, Claire Henrion, Conny Kadia et Michel Chossudovsky.

Global Research, 30 octobre 2021

 

GUERRE MONDIALE :La géo-ingénierie est en train de détruire notre planète et l'humanité.

 

Prof. Claudia Von Werlhof (éditeur)

 

Table des matières

 

Préface de Michel Chossudovsky

 

Chapitre I : Introduction. LA GUERRE MONDIALE SE PRÉPARE ! Comment expliquer ce qui se passe aujourd'hui ? Claudia von Werlhof

 

Partie I

 

La géo-ingénierie, la politique et la planète

 

Chapitre II : Le lent naufrage de notre planète, Rosalie Bertell

 

Chapitre III : La géo-ingénierie, l'"État profond" et le verrouillage planétaire, Elana Freeland

 

Chapitre IV : Feux de forêt artificiels au Portugal en 2017, par Conny Kadia

 

Chapitre V : De la géo-ingénierie à un New Deal pour la nature :

Détruire la Terre pour le profit Josefina Fraile

 

Chapitre VI : Les yeux grands ouverts à Chypre,par Linda Leblanc

 

Chapitre VII : Pourquoi les gens ne se rendent-ils pas compte qu'ils sont pulvérisés comme des insectes ? Claire Henrion

 

Chapitre VIII : Le CO2 comme bouc émissaire et la voie vers un "Brave New World" Maria Heibel

 

Chapitre IX : La géo-ingénierie : De la géo-armement à la géo-guerre. La destruction de la Terre Mère comme crime ultime et suprême de la civilisation patriarcale, Claudia von Werlhof

 

Partie II

Les femmes pour la défense de la Terre Mère

 

Chapitre X La "haine de la vie" comme élément central du patriarcat,Claudia von Werlhof

 

Chapitre XI Entre notre capture par le Patriarcat et notre libération avec la Vie Mère, par Vilma Almendra

 

 

 

Annexes

 

Annexe I

Mouvement planétaire pour la Terre Mère : Deuxième lettre ouverte à Greta Thunberg, 2019

 

Annexe II

Rosalie Bertell : Lettre à la Conférence de l'ONU à Durban, 2011

 

Annexe III

Nations Unies : Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vigueur : 5 octobre 1978

 

 

 

Les auteurs

 

Vilma Rocío Almendra Quiguanás est une Nasa-Misak originaire du Nord de Cauca, en Colombie. Elle tisse des communications pour la vérité et pour la vie. Elle est l'auteur des livres : "Regresar del olvido liberándonos con Uma Kiwe. Desafíos de la lucha Nasa del Cauca, Colombia : Tejiendo memoria entre la emancipación y la captura" (2017) et "Encontrar la palabra perfecta : experiencia del tejido de comunicación del pueblo nasa en Colombia" (2010). Elle fait partie de l'initiative "Pueblos en Camino" qui a pour mandat de promouvoir le tissage de la résistance et de l'autonomie entre les peuples et les processus.

 

Rosalie Bertell, née en 1929 aux Etats-Unis, est décédée en 2012 dans son couvent "Grey Nuns of the Sacred Heart" en Pennsylvanie. Elle a obtenu un doctorat en biométrie de l'Université catholique de Washington DC en 1966. Elle a obtenu neuf doctorats honoris causae, plusieurs prix, notamment le Right Livelihood Award en 1986 pour "No Immediate Danger ? Prognosis for a Radioactive Earth", 1985.

Elle est cofondatrice de l'International Institute of Concern for Public Health, IICPH, Toronto, et d'autres organismes. Elle est l'auteur de "Planet Earth. The Latest Weapon of War", 2000. Elle est experte des commissions de l'ONU sur Tchernobyl, Bhopal, les îles Marshall, etc., travaillant dans 60 pays sur les accidents industriels.

 

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d'économie (émérite) à l'Université d'Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, éditeur de Global Research.

Il est l'auteur de douze livres, dont The Globalization of Poverty and The New World Order (2003), America's "War on Terrorism" (2005), The Globalization of War, America's Long War against Humanity (2015), et collabore à l'Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues.

En 2014, il a reçu la médaille d'or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d'agression de l'OTAN contre la Yougoslavie.

 

Josefina Fraile Martín est originaire d'Espagne. Elle est chercheuse et militante dans le domaine de l'environnement. Elle a été la candidate officielle espagnole des Verts au Parlement européen en 2004. Elle est présidente de l'association Terra SOS-tenible. Elle est également la promotrice des plateformes de la société civile internationale Skyguards et Guardacielos qui s'opposent aux programmes de manipulation du climat mondial, alias géoingénierie, dans les instances politiques des pays européens et des institutions européennes.

 

Elana Freeland, des États-Unis, est surtout connue pour Chemtrails, HAARP, and the Full Spectrum Dominance of Planet Earth (Feral House, 2014) et a récemment terminé sa suite Under an Ionized Sky : From Chemtrails to Space Fence Lockdown (Sub Rosa America, 2018) sur la clôture spatiale SDI "Star Wars" ressuscitée. À paraître en 2021, Geoengineered Transhumanism : How the Environment Has Been Weaponized by Chemicals, Electromagnetics, & Nanotechnology for Synthetic Biology. Il s'agit du troisième livre de la trilogie sur la géoingénierie.

 

Maria Heibel est née dans le Limbourg allemand. Elle a étudié à l'université Johann-Wolfgang-Goethe de Francfort-sur-le-Main. Elle a obtenu en 1976 un diplôme en sciences politiques et historiques pour le travail d'instruction, et en 1980 un diplôme en pédagogie. De 1981 à 1991, son activité principale était l'art graphique avec des expositions en Italie, en Allemagne, au Japon, en Pologne, etc. Depuis 1991, son activité principale se situe dans le domaine social. Elle est la curatrice du site web : Nogeoingegneria.com. Elle vit à Florence-Toscane, en Italie, depuis 1981.

 

Claire Henrion, née à La Rochelle (France) en 1960, a fondé l'ACSEIPICA (Association publique pour l'étude, le suivi et l'information sur les programmes d'intervention atmosphérique et climatique - www.acseipica.fr). Son site web est www.rockastres.org qui se concentre sur la recherche, l'art et l'éducation populaire en Astronomie et Astrologie, pour restaurer une cosmologie capable de générer la paix.

 

Conny Kadia, née en 1965 en Allemagne, a étudié la musique, la politique, la philosophie et les langues. Elle a été musicienne professionnelle en tambour africain, ainsi qu'en piano classique et en saxophone jazz. Elle a émigré définitivement au Portugal en 2000. Elle aime la nature et étudie les animaux. Depuis 2014, elle est une activiste de la géoingénierie au Portugal et en 2017 a été témoin des feux organisés par les états et les militaires le 15 oct 17. Elle travaille principalement comme professeur de musique et traductrice. Elle est la cofondatrice des groupes "Why Fire Group" et "Grupo Céus Limpos" dans le centre du Portugal. Depuis 2019, elle milite au sein des "Mouvements nationaux contre l'exploitation minière" au Portugal.

 

Linda Leblanc, canadienne/naturalisée chypriote, vit à Chypre depuis 1989. Elle est écrivain, politicienne et membre actif du Parti vert chypriote. Elle est entrée dans l'histoire en 2006 en devenant la première personne d'origine non chypriote à être élue à un conseil municipal à Chypre. Elle est la première femme élue au conseil de Pegeia et a été réélue en 2011 et 2016.

 

Claudia von Werlhof, née en 1943 près de Berlin, en Allemagne, est professeur d'université pour les études féminines en Autriche à Innsbruck, mère d'un soleil. Elle a co-inventé l'"École de Bielefeld" en Allemagne, a travaillé à la base en Amérique centrale et du Sud, a développé la "Théorie critique du patriarcat", a co-fondé le FIPAZ (Institut de recherche pour la critique du patriarcat et des civilisations alternatives), le "Mouvement planétaire pour la Terre Mère" et "BOOMERANG - Journal pour la critique du patriarcat". Elle est associée de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation, à Montréal.

 

 

 

Préface

par

Michel Chossudovsky

.

Ce livre important intitulé Global WAR-NING. Geoengineering Is Wrecking Our Planet and Humanity du professeur Claudia Von Werlhof (éditeur) comprend des contributions d'éminents chercheurs et activistes.

 

Dans la première partie, l'accent est mis sur la géo-ingénierie, la politique et la planète. La deuxième partie analyse les femmes qui défendent la Terre Mère

 

À l'heure où nous mettons sous presse, les dirigeants du monde entier se réunissent à Glasgow dans le cadre de la COP-26, sous les auspices de la Convention-cadre sur les changements climatiques (CCNUCC).

 

Tous les regards sont désormais tournés vers "les dangers imminents des émissions de CO2 et de gaz à effet de serre".

 

La soi-disant "urgence climatique" est devenue un instrument de propagande opportun et pratique, utilisé pour détourner l'attention des gens de la "vraie crise", à savoir la "plandémie" de Covid-19 (instiguée par les élites financières) qui détruit la vie des gens dans le monde entier.

 

Exclusion de la géo-ingénierie et des techniques de modification de l'environnement (ENMOD) du débat sur le climat

 

Le débat climatique de la COP dans le cadre de la CCNUCC a constamment exclu l'analyse de la géo-ingénierie qui détruit lentement notre planète, comme l'a souligné la regrettée Rosalie Bertell (chapitre II). Pour reprendre les termes de Rosalie Bertell : "La géo-ingénierie est définie comme l'ingénierie environnementale de notre atmosphère à l'échelle de la planète, c'est-à-dire la manipulation de notre météo, de nos océans et de notre planète elle-même."

 

Comme lors des précédents sommets sur le climat, la géo-ingénierie et les techniques de modification de l'environnement (ENMOD) ne seront pas abordées sur le lieu de la COP26 à Glasgow. Le débat sur le changement climatique se concentre uniquement sur les impacts des émissions de gaz à effet de serre et sur les mesures visant à réduire les émissions de CO2 dites d'origine humaine dans le cadre du protocole de Kyoto.

 

Ironiquement, les techniques de modification de l'environnement (ENMOD) ont été reconnues par l'ONU en 1977 lors de la signature à Genève de la Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles.

La Convention de 1977 a été ratifiée par l'Assemblée générale des Nations Unies qui a interdit "l'utilisation militaire ou toute autre utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves". (AP, 18 mai 1977).

 

Les États-Unis et l'Union soviétique étaient tous deux signataires de la Convention.

Guidés par l'intérêt de consolider la paix, ... et de préserver l'humanité du danger d'utiliser de nouveaux moyens de guerre, (…)

 

Reconnaissant que l'utilisation militaire (...) de ces [techniques de modification de l'environnement] pourrait avoir des effets extrêmement néfastes pour le bien-être de l'humanité,

 

Désireux d'interdire effectivement l'utilisation militaire ... des techniques de modification de l'environnement afin d'éliminer les dangers pour l'humanité. ... et affirmant leur volonté de travailler à la réalisation de cet objectif, (…)

 

Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas recourir à l'utilisation militaire (...) de techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyen de destruction, de dommage ou de blessure à tout autre État partie. (Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vigueur : 5 octobre 1978, voir le texte complet de la Convention en annexe)

 

La Convention définit les "techniques de modification de l'environnement" comme désignant toute technique visant à modifier - par la manipulation délibérée de processus naturels - la dynamique, la composition ou la structure de la terre, y compris son biote, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de l'espace extra-atmosphérique". (Environmental Modification Ban Faithfully Observed, States Parties Declare, Chronique ONU, juillet 1984, Vol. 21, p. 27)

La substance de la Convention de 1977 a été réaffirmée en termes très généraux d

ans la Convention-cadre sur les changements climatiques (CCNUCC) signée lors du Sommet de la Terre de 1992 à Rio de Janeiro :

 

"Les États ont (...) conformément à la Charte des Nations Unies et aux principes du droit international, la responsabilité (...) de veiller à ce que les activités exercées dans les limites de leur juridiction ou sous leur contrôle ne causent pas de dommages à l'environnement d'autres États ou de zones situées au-delà des limites de la juridiction nationale." (Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, New York, 1992)

 

Après le Sommet de la Terre de 1992 à Rio de Janeiro, la question du changement climatique à des fins militaires n'a jamais été soulevée lors des sommets ultérieurs de la CCNUCC. La question a été effacée, délibérément oubliée. Elle ne fait pas partie du débat sur le changement climatique.

 

L'exclusion par la CCNUCC de la Convention de 1977 relative aux techniques de modification de l'environnement constitue une violation flagrante de la Charte des Nations unies.

 

Pour reprendre les mots de Claudia von Werlhof au chapitre I

 

La géo-ingénierie militaire est une macro-technologie visant à influencer et à modifier les processus planétaires et, en même temps, une micro-technologie visant à influencer nos corps et nos esprits, une technologie de contrôle mental. Mais la géo-ingénierie militaire n'est pas seulement cachée au public. ... Pendant ce temps, la véritable géo-ingénierie transforme violemment la planète pour un usage militaire contre nous et contre elle-même. Cela signifie que l'on "arme" la Terre Mère, en essayant de la transformer en une gigantesque machine de guerre.

 

En février 1998, cependant, la commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du Parlement européen a tenu des auditions publiques à Bruxelles sur l'installation de guerre météorologique basée aux États-Unis et développée dans le cadre du programme HAARP.

La "proposition de résolution" de la commission soumise au Parlement européen :

 

"Considère que HAARP [le programme de recherche actif sur les aurores à haute fréquence basé en Alaska], en raison de son impact considérable sur l'environnement, est une préoccupation mondiale et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organisme international indépendant... ; [la commission] regrette le refus répété de l'administration américaine... de témoigner lors de l'audition publique ... sur les risques environnementaux et publics [du] programme HAARP". (Parlement européen, Commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense, Bruxelles, doc. no. A4-0005/99, 14 janvier 1999).

 

La demande de la Commission d'élaborer un "Livre vert" sur "les impacts environnementaux des activités militaires" a toutefois été rejetée avec désinvolture. Bruxelles était soucieuse d'éviter une épreuve de force avec Washington. (voir Rapport européen, 3 février 1999).

 

"La météo comme multiplicateur de force : S'approprier la météo" à des fins militaires

Le consensus climatique est remis en question par les auteurs de Global WAR-NING : Geoengineering Is Wrecking Our Planet and Humanity. L'utilisation militaire d'ENMOD est amplement documentée. Elle fait partie d'un programme militaire, ce qui est confirmé par l'US Air Force :

"[La modification du temps] offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire... La modification du temps fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement... Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale... et la production de météo artificielle font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires]." (document de l'US Air Force AF 2025 Final Report)

 

L'objectif déclaré du rapport est décrit ci-dessous :

 

Dans cet article, nous montrons qu'une application appropriée de la modification de la météo peut permettre de dominer l'espace de bataille à un degré jamais imaginé auparavant. À l'avenir, de telles opérations renforceront la supériorité aérienne et spatiale et fourniront de nouvelles options pour le façonnement de l'espace de combat et la connaissance de l'espace de combat ; là, nous attendons que tout se mette en place ; en 2025, nous pourrons " nous approprier la météo ". (Document commandé par l'US Air Force, AF 2025 Final Report, (document public).

 

(Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, Climate Change, Geoengineering and Environmental Modification Techniques (ENMOD), Global Research, novembre 2018).

 

La modification de la météo, selon le document de l'US Air Force AF 2025 Final Report,

"offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire", des capacités qui, selon ce document, s'étendent au déclenchement d'inondations, d'ouragans, de sécheresses et de tremblements de terre :

 

La modification des conditions météorologiques fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement... Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur terre ou de modifier la météo spatiale... et la production de météo artificielle font toutes partie d'un ensemble intégré de technologies [militaires]."

 

Voir les rapports complets commandés par l'US Air Force.

....De l'amélioration des opérations amies ou de la perturbation de celles de l'ennemi par l'adaptation à petite échelle des modèles météorologiques naturels à la domination complète des communications mondiales et du contrôle du contre-espace, la modification du temps offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire. Certaines des capacités potentielles qu'un système de modification du temps pourrait fournir à un commandant en chef (CINC) sont énumérées dans le tableau 1.

 

Source : US Air Force

 

Pourquoi voudrions-nous jouer avec la météo ? est le sous-titre du chapitre 2 du rapport.

"Selon le général Gordon Sullivan, ancien chef d'état-major de l'armée de terre, "avec le saut technologique du XXIe siècle, nous serons capables de voir l'ennemi de jour comme de nuit, par n'importe quel temps, et de le poursuivre sans relâche". Une capacité de modification de la météo globale, précise, en temps réel, robuste et systématique fournirait aux commandants en chef des opérations de guerre un puissant multiplicateur de force pour atteindre les objectifs militaires. Étant donné que les conditions météorologiques seront communes à tous les futurs possibles, une capacité de modification des conditions météorologiques serait universellement applicable et aurait une utilité pour l'ensemble des conflits. La capacité d'influencer la météo, même à petite échelle, pourrait la faire passer du statut de facteur de dégradation de la force à celui de multiplicateur de force."

 

Sous le titre : Qu'entendons-nous par "modification du temps" ?

 

le rapport indique :

 

"Le terme de modification du temps peut avoir des connotations négatives pour de nombreuses personnes, qu'elles soient civiles ou militaires. Il est donc important de définir le champ d'application à prendre en compte dans le présent document afin que les critiques potentiels ou les partisans de la poursuite des recherches disposent d'une base commune de discussion.

 

Au sens le plus large, la modification des conditions météorologiques peut être divisée en deux grandes catégories : la suppression et l'intensification des schémas météorologiques. Dans les cas extrêmes, il peut s'agir de la création de schémas météorologiques totalement nouveaux, de l'atténuation ou du contrôle de tempêtes violentes, voire de la modification du climat mondial à grande échelle et/ou à long terme. Dans les cas les plus bénins et les moins controversés, il peut s'agir d'induire ou de supprimer des précipitations, des nuages ou du brouillard pendant de courtes périodes dans une petite région. D'autres applications de faible intensité pourraient inclure l'altération et/ou l'utilisation de l'espace proche comme support pour améliorer les communications, perturber la détection active ou passive, ou à d'autres fins." (c'est nous qui soulignons)

 

Le déclenchement des tempêtes :

 

"Les technologies de modification du temps pourraient impliquer des techniques qui augmenteraient la libération de chaleur latente dans l'atmosphère, fourniraient de la vapeur d'eau supplémentaire pour le développement de cellules nuageuses, et fourniraient un chauffage supplémentaire de la surface et de la basse atmosphère pour augmenter l'instabilité atmosphérique.

 

Les conditions atmosphériques locales et régionales préexistantes sont essentielles au succès de toute tentative de déclenchement d'une cellule orageuse. L'atmosphère doit déjà être conditionnellement instable et la dynamique à grande échelle doit être favorable au développement vertical des nuages. L'effort de modification du temps consisterait à fournir des "conditions" supplémentaires qui rendraient l'atmosphère suffisamment instable pour générer des nuages et éventuellement le développement de cellules orageuses. La trajectoire des cellules orageuses, une fois développées ou renforcées, dépend non seulement de la dynamique à méso-échelle de la tempête, mais aussi des schémas d'écoulement du vent atmosphérique à l'échelle régionale et synoptique (globale) dans la région, qui ne sont actuellement pas soumis au contrôle de l'homme." (page 19)

 

Les analystes militaires sont muets sur le sujet. Les météorologues n'enquêtent pas sur la question, et les écologistes sont branchés sur le réchauffement climatique et le protocole de Kyoto.

 

 

Le programme HAARP

 

Le programme de recherche sur les aurores actives à haute fréquence (HAARP) a été initialement établi à Gokona, en Alaska, en 1992. Selon un communiqué de l'US Air Force, l'installation HAARP a été fermée en mai 2014. La technologie de modification du temps n'en subsiste pas moins. A-t-elle été déplacée vers un lieu non divulgué ? Au milieu des années 1990, la technologie HAARP était pleinement opérationnelle. L'évolution des technologies de modification du temps à usage militaire au cours des vingt dernières années n'a pas été divulguée.

 

HAARP faisait partie d'une génération d'armes sophistiquées dans le cadre de l'initiative de défense stratégique américaine (SDI). Exploité par la direction des véhicules spatiaux du laboratoire de recherche de l'armée de l'air, HAARP est un système d'antennes puissantes capables de créer des "modifications locales contrôlées de l'ionosphère" [couche supérieure de l'atmosphère] :

 

HAARP a été présenté à l'opinion publique comme un programme de recherche scientifique et universitaire. Des documents militaires américains semblent toutefois suggérer que l'objectif principal de HAARP est "d'exploiter l'ionosphère à des fins du département de la défense." (Voir Michel Chossudovsky, The Ultimate Weapon of Mass Destruction : "Owning the Weather" for Military Use, Global Research, 27 septembre 2004.

 

Sans se référer explicitement au programme HAARP, l'étude de l'US Air Force citée ci-dessus indique l'utilisation de "modifications ionosphériques induites" comme moyen de modifier les schémas météorologiques ainsi que de perturber les communications et les radars ennemis. (Ibid)

HAARP a également la capacité de déclencher des pannes d'électricité et de perturber le système électrique de régions entières :

 

"Rosalie Bertell, présidente de l'International Institute of Concern for Public Health, affirme que HAARP fonctionne comme 'un gigantesque appareil de chauffage qui peut provoquer des perturbations majeures dans l'ionosphère, créant non seulement des trous, mais de longues incisions dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles de bombarder la planète'.

 

Le physicien Bernard Eastlund l'a qualifié de "plus grand réchauffeur ionosphérique jamais construit". HAARP est présenté par l'armée de l'air américaine comme un programme de recherche, mais des documents militaires confirment que son principal objectif est de "provoquer des modifications ionosphériques" en vue de modifier les régimes climatiques et de perturber les communications et les radars.

 

Selon un rapport de la Douma russe : "Les États-Unis prévoient de mener des expériences à grande échelle dans le cadre du programme HAARP [et] de créer des armes capables de briser les lignes de communication radio et les équipements installés sur les vaisseaux spatiaux et les fusées, de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques et les oléoducs et gazoducs, et d'avoir un impact négatif sur la santé mentale de régions entières".

 

La manipulation du temps est l'arme préventive par excellence. Elle peut être dirigée contre des pays ennemis ou des "nations amies" à leur insu, utilisée pour déstabiliser les économies, les écosystèmes et l'agriculture. Elle peut également provoquer des ravages sur les marchés financiers et des matières premières. La perturbation de l'agriculture entraîne une plus grande dépendance à l'égard de l'aide alimentaire et des importations de céréales de base en provenance des États-Unis et d'autres pays occidentaux." (Michel Chossudovsky, Weather Warfare : Beware the US military's experiments with climatic warfare, The Ecologist, décembre 2007)

 

Une analyse des déclarations émanant de l'US Air Force révèle l'impensable : la manipulation secrète des modèles météorologiques, des systèmes de communication et de l'énergie électrique en tant qu'arme de guerre globale, permettant aux États-Unis de perturber et de dominer des régions entières du monde.

 

C'est la vérité non dite qui affecte toute l'humanité et qui est abordée dans ce livre. Selon les mots de Rosalie Bertell :

 

"La géo-ingénierie est définie comme l'ingénierie environnementale à l'échelle planétaire de notre atmosphère : c'est-à-dire la manipulation de notre météo, de nos océans et de notre planète mère elle-même."

 

Et ce sont ces réalités qui ont été négligemment écartées par le débat sur le climat de la COP sous les auspices de la CCNUCC qui, dès le départ, a été généreusement financée par les Rockefeller.

 

 

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