/image%2F1416990%2F20230327%2Fob_4a2c01_pfizer-vaccine-870x522-795x447.jpeg)
Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
actualites
Doctothon du 26 juillet 2022 avec Jean-Dominique Michel
Pourquoi n'arrive-t-on pas à résoudre définitivement les crises de l'euro ?
Les armes à énergie dirigée sont-elles maintenant dirigées contre nous ?
Le Certificat COVID numérique de l’UE, outil de fichage à la chinoise des citoyens européens
21/07/2022 - Gérard Delépine
Le certificat COVID numérique de l’UE est entré en vigueur le 1er juillet 2021. Son règlement a été officiellement modifié le 14 juin 2022 prolongeant sa durée jusqu’en 2023. Le but officiel de ce passe sanitaire européen serait de « faciliter la libre circulation entre les pays membres » alors qu’en réalité il empêche la circulation des non-vaccinés et viole ainsi les principes fondateurs de l’Union européenne : libre circulation et non-discrimination des citoyens.
Ce certificat COVID numérique exprime en réalité la volonté de la Commission européenne de ficher tous les citoyens pour possiblement instaurer un contrôle de la population à la chinoise. Nous rappellerons ici que ce certificat comme tous les passes :
-
1°) n’a aucune efficacité contre la propagation de l’épidémie ;
-
2°) parce que les vaccins sont inefficaces ;
-
3°) il constitue un pur chantage pour forcer le consentement à des médicaments expérimentaux ;
-
4°) il crée une discrimination intolérable entre les citoyens ;
-
5°) il organise la conservation illimitée des données personnelles particulièrement sensibles.
Les passes sanitaires ont tous été totalement incapables de ralentir la diffusion de l’épidémie
Nous l’avons observé en France (données de l’OMS) avec l’explosion des cas début 2022 :
Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande
2022-07-23 - Dr Nicole Delépine
ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE
« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».
Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.
LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID
Il est bien triste que la Première ministre néo-zélandaise[1] ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte.
Être plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.
« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »
Dr Vanden Bossche : des variants de plus en plus léthaux
Dans le monde entier, des tribunaux annulent l'obligation vaccinale contre le covid
Julian Assange : la guerre sans fin
Réintégration des soignants non vaccinés: la Haute Autorité de santé s'y oppose
FranceSoir Publié le 22 juillet 2022 – 14:25
Après l'Académie de médecine, c'est au tour de la Haute Autorité de santé de faire connaitre son opposition à la réintégration des soignants non-vaccinés contre le Covid-19. Dans un avis rendu le 22 juillet, l'institution indique vouloir maintenir l'obligation de vaccination des personnels exerçant dans les établissements de santé et médico-sociaux. Ses arguments : l'existence d'une septième vague épidémique et l'efficacité des vaccins.