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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
actualites
Réintégration des soignants suspendus: la proposition de loi de Sylviane Noël
Au Sénat, Sylviane Noël revient à la charge avec une proposition de loi pour réintégrer les soignants suspendus. Sur la politique sanitaire, les lignes peuvent-elles bouger au Parlement, recomposé depuis les législatives ?
Sénatrice de Haute-Savoie, Sylviane Noël avait déjà proposé en janvier dernier un amendement "visant à réintégrer les 15 000 soignants suspendus"... qui avait été rejeté. Elle avait alors dénoncé une "situation kafkaïenne où le gouvernement préfère faire travailler des soignants épuisés covid + et rejette les soignants non-vaccinés covid".
Au Sénat, le combat continue
Elle avait réclamé à nouveau il y a un mois la "réintégration sans délai" des soignants suspendus, "alors qu'une part des effectifs en exercice de nos hôpitaux ne serait pas à jour de l'obligation vaccinale", dénonçant une "rupture d'égalité inacceptable", a fortiori dans un contexte où "l'hôpital a plus que jamais besoin d'eux". Une préoccupation et une demande expresse qu'elle avait détaillées dans un courrier à Elisabeth Borne, qui venait d'être nommée à Matignon.
La nouvelle donne politique l'a conduite à déposer cette fois une proposition de loi, coprésentée par ses collègues Sabine Drexler, Claudine Thomas, Alain Joyandet, Annick Petrus, Laurence Muller-Bronn, Daniel Laurent, Alain Houpert, Laurent Duplomb, Kristina Pluchet, Sébastien Meurant, Sylvie Goy-Chavent, Christine Bonfanti-Dossat, Jean-François Longeot, Cyril Pellevat et Christine Herzog.
Pourquoi l’Office parlementaire qui enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid ne rend-il pas publics tous ses débats ?
Le 23/06/2022 par Laurent Mucchielli - QG
Le 24 mai dernier, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques tenait une audition publique de clôture de ses travaux « sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance ». Et son rapport a été rendu public le 9 juin. Derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a en réalité rendu invisibles certaines interventions portant sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19.
Déjà, en n’auditionnant publiquement que trois « voix critiques » contre onze thuriféraires des vaccins, l’Office indiquait un certain parti pris dans l’organisation même de ses travaux, au cours desquels 9 personnes sur les 49 auditionnées proposaient une analyse différente du discours qui inonde les médias depuis le début de la vaccination de masse (« la vaccination est sans danger, elle protège les personnes vaccinées et protège aussi les autres, c’est sûr à 95%, etc. »).
Me Diane Protat : le rapport du Sénat confirme ce que nous dénonçions
Pr Raoult : la suspension des soignants non-vaccinés n'a aucune base scientifique
"Le test COVID est une immense arnaque !" - Pierre Chaillot de la chaîne Décoder l'éco
Gonzalo Lira vit en Ukraine et explique ce qu'il s'y passe
Tess Laurie : les autorités sélectionnent les études sur l'ivermectine
Crise de l’homme et déclin de l’Occident : entretien de Mgr Viganò par le Dr Armando Manocchia pour Byoblu
Carlo Maria Vigano – mondialisation.ca le 21 juin 2022
1 – Excellence : nous sommes en faillite économique et financière avec une dette publique de plus de 2 700 milliards. À mon avis, le problème est la faillite morale et éthique non seulement de la classe dirigeante, mais aussi d’une partie de la population. Que pouvons-nous faire pour reconstruire un tissu social avec une éthique et une moralité ?
La faillite est le résultat inévitable de multiples facteurs. Le premier est le transfert de la souveraineté monétaire de l’État à un organisme supranational tel que l’Union Européenne. La BCE est une banque privée qui prête de l’argent à des taux d’intérêt aux États membres, les obligeant à s’endetter perpétuellement. Je rappelle, en passant, que la Banque Centrale Européenne est officiellement détenue par les Banques Centrales des États qui en font partie ; par conséquent, puisque les banques centrales sont contrôlées par des sociétés privées, la BCE elle-même est essentiellement une société privée et elle agit en tant que telle.
Le deuxième facteur est le seigneuriage, c’est-à-dire le revenu que la Banque Centrale tire de l’émission de monnaie pour le compte de l’État, qui s’endette avec elle non pas pour le coût matériel de l’impression des billets, mais pour leur valeur nominale : un vol au détriment de la communauté, parce que l’argent appartient aux citoyens et non à un sujet privé composé de banques privées.
Le troisième facteur réside dans la politique économique et financière de l’Union Européenne, qui impose des prêts à intérêt en accordant les fonds que les États individuels ont précédemment versés. L’Italie, qui est un contributeur net, se retrouve ainsi à devoir anticiper des milliards sur lesquels non seulement elle ne reçoit pas d’intérêts, mais qui lui sont retournés avec usure comme s’ils n’étaient pas les siens.
Crise de l’homme et déclin de l’Occident