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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
actualites
Les pays les plus vaccinés enregistrent le plus de cas de contamination
Stratpol du 19 juin 2022
Conséquences des sanctions contre la Russie
L'enjeu des gazoducs
Le ministère de la Défense américain ignore l’augmentation de 4133% des décès chez les militaires en 2021
Laurent Aventin 21 juin 2022 – Le courrier des stratèges
C’est la constatation faite par la biostatisticienne Jessica Rose pour les décès enregistrés en 2021 par rapport à l’année 2020. Les chiffres sur l’augmentation anormale et inhabituelle de la morbi-mortalité chez les militaires américains avaient déjà été dénoncés au début de l’année 2022 et démentis par le secrétaire d’Etat américain à la Défense alors que le système de surveillance sanitaire de l’armée américaine est probablement le meilleur au monde. Les données du VAERS laissent apparaître des chiffres beaucoup plus inquiétants que ceux initialement annoncés par les lanceurs d’alerte.
Le 1er février 2022, nous avions indiqué l’alerte lancée par 3 médecins de l’armée américaine et des avocats – dont Thomas Renz – entendus au cours d’une audience du sénateur Ron Johnson. Les données médicales, issues du ministère de la Défense américain et présentées par les trois médecins, brossaient un tableau choquant de l’augmentation de la morbi-mortalité après les injections contre Covid. L’armée américaine vaccinée à plus de 96% affiche des effets indésirables sans précédents : + 1135% de cas pathologiques en 2021 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes : flambée de fausses couches, augmentation fulgurante du nombre de cancers, le détail des données est transmis dans l’article du 1er février 2022.
Sanctions occidentales illégales: la renonciation de l'ONU et des Etats au droit international
Catherine Roman, pour FranceSoir Publié le 20 juin 2022 - 18:11
TRIBUNE — Nous assistons actuellement au développement des mesures visant à gouverner par la sanction. Les Occidentaux s’estiment, en effet, fondés à sanctionner divers pays, entités et individus à travers le monde, mais ces mesures ne sont-elles pas une déformation du droit international et une violation du cadre de l’ONU ? Les politiques ainsi déployées ne visent-elles pas en premier lieu à neutraliser leurs adversaires et à installer un gouvernement mondial ?
Petit rappel du droit international
Historique
La coutume internationale a toujours admis la pratique de sanctions à l'encontre d'un État. Il s'agissait de blocus et d’embargos en vue de faire pression sur des États étrangers. Souvent utilisées au XVIIe et XVIIIe siècle, ces mesures ont été codifiées par le droit international et utilisées dans une conception extensive.
Contre-mesures (Commission du droit international / CDI) versus sanctions (Conseil de sécurité des Nations unies)
Les « contre-mesures » et les « sanctions » sont deux types de mesure qui sont des réactions à un fait illicite commis préalablement. Les contre-mesures prises par un État ne sont légitimes qu’après l’avènement d’un fait internationalement illicite par un autre État (ou sur décision seule du Conseil de sécurité de l’ONU en cas de conflit). Il en va de même pour les sanctions des Nations unies qui ne sont prises par les États qu’après l’occurrence des trois situations de l’article 39 par le Conseil de sécurité et l’existence d’une décision les ordonnant. Les mesures du chapitre VII de la Charte des Nations unies repris comme exemple par la Commission du droit international (CDI) sont appliquées à la suite d’un manquement d’un État à une double obligation : celle de s’abstenir de tout comportement qui pourrait constituer une menace ou une rupture de la paix, et celle d’appliquer les décisions du Conseil de sécurité portant injonction de cesser ce comportement illicite.
Les contre-mesures sont prises directement par un État sur la base d’une décision autonome tandis que les mesures prises par les États dans le cadre des sanctions sont prises à la suite d’une décision d’un organe collectif compétent. Ce qui fait que, dans le cadre des contre-mesures, l’action étatique est le résultat d’une auto-qualification de la violation présumée d’une obligation, et peut engager sa responsabilité internationale en cas d’interprétation erronée. Les contre-mesures édictées par les États à titre individuel, dans l’exercice de leurs propres pouvoirs, agissent donc à leurs « risques et périls ».
Reiner Fuelmich : les young leaders du guru de Davos
Le choc des mots : " réduire les non-vaccinés"
À peine innocenté des accusations de Médiapart, l'IHU de Raoult attaqué à nouveau
FranceSoir Publié le 20 juin 2022 – 19:15
Disculpé des accusations portées par Mediapart depuis la parution du compte rendu de l’ANSM, le Pr Didier Raoult et l’IHU-Méditerranée Infection se retrouvent à nouveau sous le feu des critiques : ils n'auraient pas soumis deux projets de recherche à l’avis d’un Comité consultatif de protection des personnes. Qu’en est-il réellement des faits reprochés sur ces deux études ? L'une d'entre elles a été initiée par la direction de l’AP-HM, et non pas par l’IHU ; une confusion qui ne cesse de perdurer et de semer le trouble, tandis que beaucoup peinent encore à différencier ces deux institutions.
Rappel des faits
En octobre 2021, Mediapart avait accusé le Pr Didier Raoult et l’Institut Hospitalier Universitaire Méditerranée Infection (IHU-MI) de Marseille de mener « une expérimentation sauvage contre la tuberculose ».
Suite à ces allégations, les médecins de l’IHU ont reçu le 4 novembre 2021 une lettre signée conjointement par le ministre de la Santé, Olivier Véran, et la ministre de l’Enseignement, de la Recherche et de l’Innovation, Frédérique Vidal pour les prévenir qu’ils entendaient « diligenter une mission de contrôle portant sur la situation de l’IHU Méditerranée Infection, qui connaît des difficultés préoccupantes de plusieurs ordres ».
https://www.francesoir.fr/politique-france/accusations-ihu-raoult