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Ciel Voilé
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"Aucune preuve" ne lie la Russie au sabotage des gazoducs Nord Stream, selon le Procureur fédéral allemand
FranceSoir Publié le 06 février 2023 - 11:00
“Aucune preuve” ne lie la Russie aux explosions des gazoducs sous-marins Nord Stream 1 et 2. Le procureur fédéral d’Allemagne, Peter Frank, a déclaré le 4 février au quotidien Die Welt que le rôle de Moscou dans cet acte de sabotage “n’est actuellement pas vérifiable”. Une version qui corrobore jusqu'à ce jour les premières conclusions d’une enquête dévoilées en décembre par The Washington Post.
Peter Frank a déclaré à l’édition dominicale du quotidien allemand, “Welt Am Sonntag”, que “les enquêtes se poursuivaient”. Le Procureur fédéral d’Allemagne a expliqué que des “échantillons d’eau et de sols ainsi que des restes de pipelines ont été prélevés sur la scène du crime, qui a été largement documentée. Nous évaluons actuellement cela au niveau pénal”, a-t-il déclaré.
L’Allemagne, qui mène sa propre enquête sur ces explosions, “est en contact avec la Suède et le Danemark”, poursuit le magistrat. Les deux explosions sont survenues dans les zones économiques exclusives (ZEE) de ces deux pays nordiques.
Dans la même interview, Peter Frank a par ailleurs annoncé que Berlin avait recueilli “des preuves de crimes de guerre commis en Ukraine” et plaidé pour une “action judiciaire à l’échelle internationale contre la Russie”. "Nous nous concentrons actuellement sur les massacres perpétrés à Boutcha ou sur l’attaque contre les infrastructures civiles en Ukraine”, a-t-il ajouté.
La loi vénézuélienne sur les semences devrait être un modèle mondial
Owen Schalk – Le 5 février 2023
Les semences sont un champ de bataille politique souvent négligé dans les pays industrialisés comme ceux d’Amérique du Nord et d’Europe, mais pour les paysans du Sud, la bataille sur les droits des semences est essentielle à leurs moyens de subsistance.
Les semences partagées localement sont cruciales pour de nombreuses communautés rurales – « les clés génétiques de la biodiversité et de la résistance au changement climatique », comme l’affirme le chercheur Afsar Jafri, ainsi que « les archives des connaissances culturelles » et « le symbole ultime de la sécurité alimentaire ». Cependant, la capacité des agriculteurs à continuer à partager et à planter ces semences est constamment menacée par les multinationales et les États qui les soutiennent.
En 2015, les six plus grandes sociétés agroalimentaires – BASF, Bayer AG, Dow, DuPont, Monsanto et Syngenta – contrôlaient 63 % du marché des semences commerciales. En 2018, Bayer a acquis Monsanto pour 66 milliards de dollars. L’entité corporative qui en résulte contrôle près de 60 pour cent de l’approvisionnement en semences brevetées dans le monde.
Les semences brevetées contre les moyens de subsistance des agriculteurs
L’imposition des semences transgéniques brevetées aux communautés rurales a eu un impact catastrophique sur les moyens de subsistance des hommes et la protection de la biodiversité. Dans de nombreux pays, les semences sont traditionnellement la propriété collective des agriculteurs. Cependant, le droit de ces derniers à contrôler leur propre approvisionnement en semences est attaqué par les forces corporatives qui se sont emparées des États capitalistes du monde entier.
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Brenda Baletti – Le 5 février 2023
Le mois dernier, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a nommé le Dr Jeremy Farrar comme nouveau responsable scientifique. M. Farrar quittera le 25 février son poste de directeur du Wellcome Trust, le plus grand bailleur de fonds de la recherche médicale au Royaume-Uni et l’un des plus importants au monde.
M. Farrar et le Wellcome Trust sont moins connus que d’autres géants mondiaux de la santé publique, tels que la Fondation Bill et Melinda Gates, et cela « au détriment des gens », a déclaré la journaliste d’investigation Whitney Webb à la journaliste Kim Iversen lors d’un récent épisode de « The Kim Iversen Show » :
« Si ce qui est essentiellement un coup de force de l’Organisation mondiale de la santé entre en vigueur, alors Jeremy Farrar aura essentiellement l’autorité totale pour imposer aux États membres les réponses médicales qu’ils devraient mettre en œuvre en cas de nouvelle pandémie. »