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Ciel Voilé
Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Michèle Rivasi : OMS, Mac Kinsey et la fondation GATES
Virginie Joron interroge GAVI
Témoignage de Jean Stevens, cardiologue belge
Une pandémie d’impostures ?
Elisabeth Dancet, pour FranceSoir Le 16 octobre 2022 - 20:50
CHRONIQUE - Jour après jour, tel un barrage, le rempart de mensonges ayant caractérisé cette crise dite sanitaire se lézarde et se fend ; ce qui semble devoir suivre risque de noyer les endormis dans des vagues de vérités trop puissantes pour celles et ceux qui n’ont pas encore réalisé que, depuis le début, la pandémie et les mesures qui ont suivi ont été orchestrées sur la base de mystifications.
Lorsqu'on regarde la situation de l'information aux États-Unis et qu'on la compare à celle de la France, on s'aperçoit que les médias en ligne dits alternatifs attirent une audience beaucoup plus large que celle de notre pays. En effet, de plus en plus de voix légitimes et fortes s'élèvent pour demander des comptes, malgré la censure, et ce, pour dénoncer l’échec retentissant de cette politique de « santé publique » imposée à marche forcée aux quatre coins de la planète, et pour pointer toutes les conséquences délétères que ces décisions iniques ont entraînées. En voici les points patents établis par les lanceurs d’alerte et les groupes de recherche indépendants et confirmés actuellement.
Mesures inefficaces aux répercussions désastreuses
Les tests RT-PCR sont des outils de laboratoire extraordinaires. Cependant, lorsque les cycles d'amplifications de ces tests sont trop poussés, le risque est grand d'obtenir des résultats qui ne rendent pas compte de la réalité infectieuse d'un patient. En effet, selon le Dr Mina, « des tests avec des seuils si élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants, mais aussi des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent pas de risque particulier – un peu comme trouver un cheveu dans une pièce longtemps après le départ d’une personne ».
Le mot "faux positif" a souvent été employé. Cependant, il n'est pas exact. Il faut plutôt comprendre que des tests trop sensibles peuvent rendre un résultat positif alors que l'ARN du virus est « si peu présent que la personne pourrait ne jamais développer de symptômes ou être contagieux ».
https://www.francesoir.fr/une-pandemie-d-impostures
Leurs injections toxiques font chuter de moitié les possibilités de grossesse et pour un jeune le risque d’en mourir est 9 fois plus élevé que pour la covid
Publié le 17 octobre 2022 par pgibertie
Ils ont confessé ne pas avoir testé la transmissibilité mais nous savons que leurs toxiques font chuter les possibilités de grossesse et que pour un jeune le risque d’en mourir est 9 fois plus élevé que pour la covid . Les journalistes devraient réactualiser leurs données avec celles de la justice américaine. Dans l’essai Pfizer une femme enceinte sur trois, vaccinées, a perdu son bébé.
REDUCTION SPECTACULAIRE DE LA POSSIBILITE DE GROSSESSE APRES UNE FECONDATION IN VITRO PENDANT LES TROIS MOIS QUI SUIVENT LA VAXXX
Le taux de grossesse après une fécondation in vitro est de
60% pour les non vaccinées,de
34% pour les vaccxx de moins de trois mois, de
54% pour les plus de trois mois .
On ignore l’impact de plusieurs doses @BanounHelene
https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2797318
1ère dose de vaccin COVID-19 inactivé 60 j ou moins avant traitement par FIV a été associée à taux grossesse réduit. Pour FIV avec transfert d’embryons frais, il peut être nécessaire de retarder la procédure jusqu’à au moins 61 jours après la vaccination par le COVID-19.
Le groupe vacciné (subdivisé en 4 sous-groupes d’intervalle de temps entre la première vaccination et le traitement de fécondation : ≤30 jours, 31-60 jours, 61-90 jours et ≥91 jours) et le groupe non vacciné.
Il y avait 667 patients vaccinés et 2385 patients non vaccinés qui ont subi un transfert d’embryon frais. Le taux de grossesse en cours a augmenté avec l’intervalle de temps dans chaque sous-groupe de vaccination et le groupe non vacciné (34,3 %, 36,2 %, 51,4 % et 56,3 %, respectivement, et 60,3 % dans le groupe non vacciné)