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Ciel Voilé
Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Grève dans les centrales nucléaires
Myocardites, vaccins bivalents, mes questions à l'OMS
La Mayenne plutôt que l'Ukraine, ou comment un milliardaire ukrainien plume l'aviculture française
"Nous assistons à la chute d'un pouvoir qui a privatisé la France !" - Nicolas Vidal
L'empoisonnement du ciel continue : Alpes le 14 octobre 2022
Serre- Ponçon - Vallée de l'Ubaye - vendredi 14 octobre 2022 à 8h30
Vidéo de "Universe inside you" : l'arme climatique
Vidéo d'origine en anglais :
They Can Control The Weather and Cause Disasters: Weather Modification - YouTube
Depuis le 13 octobre 2022, la vidéo d'origine en anglais, n'est plus disponible sur YouTube : elle aurait été retirée par qui la mise en ligne ???
Doublée en français par Quantum Leap Traduction :
Certains d’entre nous ne pensent pas que l’invasion russe était une « agression »
Mike Whitney – Le 12 octobre 2022 – mondialisation.ca
« Nous ne menaçons personne… Nous avons clairement fait savoir que tout nouveau mouvement de l’OTAN vers l’est était inacceptable. Il n’y a rien d’obscur à ce sujet. Nous ne déployons pas nos missiles à la frontière des États-Unis, mais les États-Unis déploient leurs missiles sous le porche de notre maison. Est-ce qu’on en demande trop ? Nous demandons simplement qu’ils ne déploient pas leurs systèmes d’attaque jusque chez nous… Qu’y a-t-il de si difficile à comprendre ? » (Président russe Vladimir Poutine, Russian President Vladimir Putin, YouTube, commence à :48 secondes)
Imaginez que l’armée mexicaine se mette à bombarder les expatriés américains vivant au Mexique avec des munitions d’artillerie lourde, tuant des milliers de personnes et en laissant des milliers d’autres blessées. Que ferait Joe Biden, à votre avis ?
Détruirait-il tout sur son passage ou bien menacerait-il le gouvernement mexicain d’une invasion militaire qui anéantirait l’armée mexicaine, de raser ses plus grandes villes et de faire fuir le gouvernement ?
Laquelle de ces deux options Biden choisirait-il selon vous ?
Il n’y a aucun doute sur ce que Biden ferait, pas plus que sur ce que les 45 présidents qui l’ont précédé auraient fait. Aucun dirigeant américain ne resterait sans rien faire pendant que des milliers d’Américains sont sauvagement massacrés par un gouvernement étranger. Cela n’arriverait tout simplement pas. Ils répondraient tous rapidement et avec force.
Mais si c’est vrai, alors pourquoi la même norme n’est-elle pas appliquée à la Russie ? La situation en Ukraine n’est-elle pas presque identique ?
Elle est presque identique, mais la situation en Ukraine est pire, bien pire. Et si nous poussons un peu notre analogie, vous comprendrez pourquoi :
Supposons que les services de renseignement américains découvrent que le gouvernement mexicain n’agit pas seul, mais qu’il est chargé de tuer et de mutiler des expatriés américains sur ordre du gouvernement communiste chinois de Pékin. Pouvez-vous imaginer cela ?
Guerre d’Ukraine – Jours 231-232 – Les dirigeants occidentaux sous-estiment le rejet qu’ils inspirent désormais dans le reste du monde
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13 octobre 2022
L'Ukraine continue d'être la cible de destructions russes de ses infrastructures et de ses centres de décision. En même temps que la montée en intensité de l'armée russe sur le théâtre des opérations, il faut suivre le bras de fer géopolitique mondial. Dernier épisode, la rencontre entre Vladimir Poutine et le Cheikh Mohammed ben Zayed, président des Emirats Arabes Unis. Notre ami Bhadrakumar laisse percer, à l'occasion de son commentaire de cette visite, tout le mépris que les dirigeants occidentaux inspirent désormais au reste du monde.
Lu sur Southfront.org:
(les intertitres sont de nous CdS)
“Le 12 octobre, des alertes aériennes ont retenti dans différentes régions d’Ukraine pour le troisième jour consécutif. Les régions de l’est et du centre du pays ont été les plus touchées, y compris la capitale Kiev.
Alors que les forces russes ne cessent d’endommager les infrastructures militaires et énergétiques stratégiques dans toute l’Ukraine, Kiev évalue les dégâts. Selon le ministre ukrainien de l’énergie, les deux jours de frappes massives ont endommagé environ 30 % des infrastructures énergétiques du pays.
Parmi les cibles touchées par les missiles russes, on trouve également des installations militaires d’importance stratégique. Par exemple, les jonctions ferroviaires ont été endommagées à Pavlograd, qui est la principale ligne d’approvisionnement du groupement ukrainien dans le Donbass.
Au milieu des attaques continues de missiles et de drones, les militaires russes ont pris le dessus sur certaines lignes de front.
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/10/13/guerre-dukraine-jours-231-232/
5G et sobriété, un duo impossible
Stéphen Kerckhove et Sophie Pelletier (tribune)
6 octobre 2022 à 09h15, Mis à jour le 12 octobre 2022 à 18h38
Les déploiements de la 5G et d’autres technologies numériques progressent au détriment des mesures de sobriété nécessaires face au changement climatique, déplorent les auteurs de cette tribune.
Stéphen Kerckhove est directeur général d’Agir pour l’environnement ; Sophie Pelletier est présidente de Priartem (Pour rassembler, informer et agir sur les risques liés aux technologies électromagnétiques).
La vie politique actuelle est ainsi faite qu’un sujet pousse l’autre, tel un fil d’actualité de réseau social, nous condamnant à une forme d’amnésie collective et d’impensé généralisé. Se souvient-on qu’il y a deux ans, le 14 septembre 2020, le chef de l’État, s’érigeant en VRP de la 5G, renvoyait toute critique de cette technologie à une attitude rétrograde digne d’un retour à la lampe à huile ? La 5G était alors présentée comme un progrès qui ne saurait souffrir un quelconque retard dans la course européenne et mondiale à l’innovation et à la compétitivité. Tous ceux qui proposaient d’interroger les usages et les impacts de cette technologie, à la lumière des crises climatiques, environnementales et sanitaires se sont vus affublés du qualificatif d’« amish ».
Auparavant, le chef de l’État avait même purement et simplement « ghosté » les propositions de la Convention citoyenne pour le climat relatives au déploiement de la 5G, en les faisant disparaître comme par magie des propositions qu’il retenait.
Deux ans plus tard, les conséquences à long terme de la pandémie et les tensions d’approvisionnement provoquées par le conflit en Ukraine ont joué un rôle de révélateur implacable sur la fragilité de nos sociétés face à ces crises annoncées de longue date, mais toujours ajournées à l’agenda politique. Notre dépendance à une énergie devenue rare et chère nous interpelle brutalement comme un retour du refoulé. Changement de pied, on nous admoneste désormais sur « la fin de l’abondance ». Après nous avoir enjoint d’allumer la 5G, on nous conseille de « débrancher son wifi ». Comprenne qui pourra…