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Ciel Voilé

Crise de l’homme et déclin de l’Occident : entretien de Mgr Viganò par le Dr Armando Manocchia pour Byoblu

22 Juin 2022, 17:30pm

Crise de l’homme et déclin de l’Occident : entretien de Mgr Viganò par le Dr Armando Manocchia pour Byoblu

Carlo Maria Vigano – mondialisation.ca le 21 juin 2022

 

1 – Excellence : nous sommes en faillite économique et financière avec une dette publique de plus de 2 700 milliards. À mon avis, le problème est la faillite morale et éthique non seulement de la classe dirigeante, mais aussi d’une partie de la population. Que pouvons-nous faire pour reconstruire un tissu social avec une éthique et une moralité ?

La faillite est le résultat inévitable de multiples facteurs. Le premier est le transfert de la souveraineté monétaire de l’État à un organisme supranational tel que l’Union Européenne. La BCE est une banque privée qui prête de l’argent à des taux d’intérêt aux États membres, les obligeant à s’endetter perpétuellement. Je rappelle, en passant, que la Banque Centrale Européenne est officiellement détenue par les Banques Centrales des États qui en font partie ; par conséquent, puisque les banques centrales sont contrôlées par des sociétés privées, la BCE elle-même est essentiellement une société privée et elle agit en tant que telle.

Le deuxième facteur est le seigneuriage, c’est-à-dire le revenu que la Banque Centrale tire de l’émission de monnaie pour le compte de l’État, qui s’endette avec elle non pas pour le coût matériel de l’impression des billets, mais pour leur valeur nominale : un vol au détriment de la communauté, parce que l’argent appartient aux citoyens et non à un sujet privé composé de banques privées.

Le troisième facteur réside dans la politique économique et financière de l’Union Européenne, qui impose des prêts à intérêt en accordant les fonds que les États individuels ont précédemment versés. L’Italie, qui est un contributeur net, se retrouve ainsi à devoir anticiper des milliards sur lesquels non seulement elle ne reçoit pas d’intérêts, mais qui lui sont retournés avec usure comme s’ils n’étaient pas les siens.


Crise de l’homme et déclin de l’Occident

 

https://www.mondialisation.ca//crise-de-lhomme-et-declin-de-loccident-entretien-de-mgr-vigano-par-le-dr-armando-manocchia-pour-byoblu/5669156
 

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L'objection de conscience - Gregor Puppinck

22 Juin 2022, 17:09pm

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Attaque contre la vitamine D

21 Juin 2022, 19:45pm

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Michèle Rivasi : questions sur les doses achetées

21 Juin 2022, 19:39pm

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Les pays les plus vaccinés enregistrent le plus de cas de contamination

21 Juin 2022, 17:32pm

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Stratpol du 19 juin 2022

21 Juin 2022, 14:03pm

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Conséquences des sanctions contre la Russie

21 Juin 2022, 14:02pm

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L'enjeu des gazoducs

21 Juin 2022, 13:58pm

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Le ministère de la Défense américain ignore l’augmentation de 4133% des décès chez les militaires en 2021

21 Juin 2022, 13:48pm

Le ministère de la Défense américain ignore l’augmentation de 4133% des décès chez les militaires en 2021

Laurent Aventin 21 juin 2022 – Le courrier des stratèges

 

C’est la constatation faite par la biostatisticienne Jessica Rose pour les décès enregistrés en 2021 par rapport à l’année 2020. Les chiffres sur l’augmentation anormale et inhabituelle de la morbi-mortalité chez les militaires américains avaient déjà été dénoncés au début de l’année 2022 et démentis par le secrétaire d’Etat américain à la Défense alors que le système de surveillance sanitaire de l’armée américaine est probablement le meilleur au monde. Les données du VAERS laissent apparaître des chiffres beaucoup plus inquiétants que ceux initialement annoncés par les lanceurs d’alerte.

 

Le 1er février 2022, nous avions indiqué l’alerte lancée par 3 médecins de l’armée américaine et des avocats – dont Thomas Renz – entendus au cours d’une audience du sénateur Ron Johnson. Les données médicales, issues du ministère de la Défense américain et présentées par les trois médecins, brossaient un tableau choquant de l’augmentation de la morbi-mortalité après les injections contre Covid. L’armée américaine vaccinée à plus de 96% affiche des effets indésirables sans précédents : + 1135% de cas pathologiques en 2021 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes : flambée de fausses couches, augmentation fulgurante du nombre de cancers, le détail des données est transmis dans l’article du 1er février 2022.

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/06/21/le-ministere-de-la-defense-americain-ignore-laugmentation-de-4133-des-deces-chez-les-militaires-en-2021/

 

 

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Sanctions occidentales illégales: la renonciation de l'ONU et des Etats au droit international

21 Juin 2022, 13:41pm

Sanctions occidentales illégales: la renonciation de l'ONU et des Etats au droit international

Catherine Roman, pour FranceSoir Publié le 20 juin 2022 - 18:11

TRIBUNE — Nous assistons actuellement au développement des mesures visant à gouverner par la sanction. Les Occidentaux s’estiment, en effet, fondés à sanctionner divers pays, entités et individus à travers le monde, mais ces mesures ne sont-elles pas une déformation du droit international et une violation du cadre de l’ONU ? Les politiques ainsi déployées ne visent-elles pas en premier lieu à neutraliser leurs adversaires et à installer un gouvernement mondial ?

Petit rappel du droit international

Historique

La coutume internationale a toujours admis la pratique de sanctions à l'encontre d'un État. Il s'agissait de blocus et d’embargos en vue de faire pression sur des États étrangers. Souvent utilisées au XVIIe et XVIIIe siècle, ces mesures ont été codifiées par le droit international et utilisées dans une conception extensive.

Contre-mesures (Commission du droit international / CDI) versus sanctions (Conseil de sécurité des Nations unies)

Les « contre-mesures » et les « sanctions » sont deux types de mesure qui sont des réactions à un fait illicite commis préalablement. Les contre-mesures prises par un État ne sont légitimes qu’après l’avènement d’un fait internationalement illicite par un autre État (ou sur décision seule du Conseil de sécurité de l’ONU en cas de conflit). Il en va de même pour les sanctions des Nations unies qui ne sont prises par les États qu’après l’occurrence des trois situations de l’article 39 par le Conseil de sécurité et l’existence d’une décision les ordonnant. Les mesures du chapitre VII de la Charte des Nations unies repris comme exemple par la Commission du droit international (CDI) sont appliquées à la suite d’un manquement d’un État à une double obligation : celle de s’abstenir de tout comportement qui pourrait constituer une menace ou une rupture de la paix, et celle d’appliquer les décisions du Conseil de sécurité portant injonction de cesser ce comportement illicite.

Les contre-mesures sont prises directement par un État sur la base d’une décision autonome tandis que les mesures prises par les États dans le cadre des sanctions sont prises à la suite d’une décision d’un organe collectif compétent. Ce qui fait que, dans le cadre des contre-mesures, l’action étatique est le résultat d’une auto-qualification de la violation présumée d’une obligation, et peut engager sa responsabilité internationale en cas d’interprétation erronée. Les contre-mesures édictées par les États à titre individuel, dans l’exercice de leurs propres pouvoirs, agissent donc à leurs « risques et périls ».

 

https://www.francesoir.fr//opinions-tribunes/sanctions-occidentales-illegales-la-renonciation-de-l-onu-et-des-etats-au-droit

 

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