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Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
L'association Réinfo- liberté porte plainte contre l'ANSM
Gaza : témoignage d'un survivant de l'holocauste
Israël : manifestation contre l'attaque de Rafah
François Asselineau sur Europe 1
Le préfet de police de Paris explique les QR codes pendant les JO
Les expériences étrangères de la transidentité chez les mineurs éclairent le problème
Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue – Le 9 mai 2024
Depuis une dizaine d’années, en se victimisant, les transgenres ont obtenu dans les pays occidentaux des droits dérogatoires à la loi commune comme celui d’être reconnu du sexe opposé sur simple déclaration d’un ressenti, de changer de prénom et d’exiger d’être appelé par celui-ci, et pour les hommes de naissance déclarant être des femmes trans celui de pouvoir pénétrer dans les espaces auparavant destinés aux femmes de naissance, de concourir dans les compétitions féminines et de demander, en cas d’incarcération, de l’être dans des prisons pour femmes.
Les nombreuses études qui ont été réalisées permettent maintenant de se faire une idée objective du problème chez les mineurs afin d’éviter de prendre des positions purement idéologiques sur le sujet.
L’expérience suédoise
La Suède a accordé des droits spécifiques aux personnes trans dès 1972 et a, en particulier, autorisé les personnes souffrant de dystrophie de genre, même mineures, à changer de prénom et à recevoir des traitements pris en charge par l’état, suivant les recommandations de l’Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres (World Professional Association for Transgender Health ou WPATH) société plus militante transgenre que médicale et scientifique.
Dès 16 ans, les mineurs qui attribuaient leur mal-être à leur sexe pouvaient recevoir des bloqueurs de puberté, des injections de testostérone ou d’œstrogènes, se faire opérer de la poitrine, suivre des orthophonistes pour changer leur voix, se faire épiler ou au contraire subir une greffe de barbe… L’hôpital Karolinska de Stockholm a ainsi pratiqué l’ablation des seins sur des filles de 14 ans. Dès 18 ans, l’administration autorisait l’opération des parties génitales, pour réaliser un pénis à partir du clitoris ou avec de la peau de l’avant-bras ou de la cuisse, ou modéliser un vagin par inversion de la verge ou avec un morceau d’intestin.
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Le grand guide de la dévaxination
Quels jeux troubles joue le Parquet européen dans la plainte contre Ursula von der Leyen ? entre délits et dénis de justice...
Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 09 mai 2024 - 10:23
Entre délits et dénis de justice, l’EPPO dépêché pour sauver le soldat Ursula ?
Ce 17 mai 2024 se tiendra à Liège une importante audience de règlement dans l’affaire qui oppose, à minima, deux pays européens (Pologne et Hongrie), plusieurs partis politiques et quelques autres personnes, qui se sont joints à la plainte initiale déposée par le lobbyiste belge Frédéric Baldan. Une plainte pour usurpation de titres, destruction de documents, prise illégale d’intérêts et corruption.
France-Soir révélait le 17 et 18 mars 2024 que deux pays européens, la Pologne et la Hongrie s’étaient joints à la plainte suite à une enquête menée sur l’état de la procédure. Une première qui ne sera reprise que 16 jours plus tard par Politico, dans une opération qui s’apparente plus à de la propagande qu’à de l’information, visant à induire le lecteur en erreur sur le fait que l’EPPO (European Public Prosecutor Office) aurait repris l’affaire.
Une audience qui représente un vrai test pour l’indépendance de la justice belge et le respect des victimes. L’horizon juridique d'Ursula von der Leyen s’obscurcit ainsi que la crédibilité de l’EPPO entachée d’irrégularités de plus en plus flagrantes. Les explications complètes, dans un article nécessairement long, sont détaillées ci-après.
L’EPPO un coup d'État juridique en Europe ?
Le rôle du parquet européen (EPPO) au cœur de cette enquête. À l’évidence, ce dernier ne serait qu’une version glorifiée d’une agence de coopération et de coordination dans le cadre de la lutte contre les atteintes au budget de l’Union européenne et notamment la fraude à la TVA intracommunautaire, et accessoirement le blanchiment d’argent et la corruption. Si ces prérogatives semblent louables, son rôle dans cette affaire est plus que questionnable.
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La Maison Blanche a ordonné la censure d’infos véridiques sur le Covid
NICOLAS MERTENS 8 MAI 2024
Ce mercredi 1er mai 2024, le rapport tant attendu de la Commission judiciaire spéciale sur les abus du gouvernement américain durant la crise Covid a enfin été publié. Ce rapport s’intitule "Le complexe industriel de la censure : Comment de hauts responsables de la Maison Blanche sous Biden ont contraint les entreprises du Big Tech à censurer les Américains, les informations véridiques et les critiques de l'administration". Des révélations particulièrement explosives dont nous vous faisons le résumé.
Le rapport de 880 pages publié ce mercredi 1er mai[1] détaille la campagne de pressions exercée en 2021 par la Maison Blanche de Biden sur certaines entreprises du Big Tech (Meta/Facebook, Alphabet/YouTube et Amazon) pour censurer des contenus en ligne, y compris des informations véridiques, des satires et des critiques de l'administration. Ces pressions ont conduit les plateformes et réseaux sociaux concernés à modifier leurs politiques de modération de contenu, portant atteinte non seulement à la liberté d'expression des citoyens américains, mais aussi à celle de tous les utilisateurs de ces plateformes, y compris en Europe.
La Commission spéciale a obtenu ces informations grâce à des assignations à comparaître qui leur ont permis d'accéder à des dizaines de milliers de documents internes des entreprises du Big Tech concernées, révélant l'ampleur et les détails de la campagne de pressions menée par la Maison Blanche de Biden en 2021. Les courriels révèlent que les entreprises du Big Tech ont identifié clairement les demandes de censure comme des "pressions" et ont adopté de nouvelles politiques de modération de contenu défavorisant les points de vue désignés par l'administration Biden.
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