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Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Pr Ian Plimer : végétation et CO2
Archive INA : 1989, déjà la propagande alarmiste climatique non réalisée
Le prix nobel de physique John Clauser : le GIEC, une des pires sources de désinformation
Agenda différé
Les moustiques attaquent : sauve qui peut !
La vague de surveillance dépasse les réactions au 11 septembre
Les raisonnements douteux du GIEC : CO2 et effet de serre
Pierre-Antoine Pontoizeau, pour France-Soir Publié le 27 juillet 2023 – 14:45
TRIBUNE/ANALYSE - L’actualité sur la théorie du climat tient en deux événements. Le premier est éditorial, avec l’article de Pascal Mainsant : "L’humanité n’est pas responsable du réchauffement climatique." Cet ingénieur de recherche à l’INRAE (Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement) synthétise les connaissances et les arguments qui contestent l’hypothèse du réchauffement climatique. Et ce texte est important parce qu’il est publié dans Administration, la revue de l’Association du Corps Préfectoral et des Hauts Fonctionnaires du Ministère de l’Intérieur (2022/1, n°273, pages 91-95).
Le second est en rapport avec la publication de nouveaux travaux sur le Groenland dirigés par les chercheurs de l’université du Vermont (États-Unis). Selon ces derniers, il y a environ 400.000 ans, le Groenland était couvert de végétation. Or, beaucoup pensaient que la calotte glaciaire demeurait stable depuis quelques millions d’années. Il existe des traces de végétations sous la calotte. À environ 1.200 kilomètres du pôle Nord, la région était sans glace, avec des températures aussi chaudes, voire plus chaudes qu’aujourd’hui. La fameuse corrélation entre carbone et température en prend un coup, puisque durant cette période très chaude, la concentration de dioxyde de carbone était de 280 ppm (1) pour 422 aujourd’hui.
Voilà deux bonnes raisons de présenter ici ce troisième et dernier article de cette série consacrée à la thématique du réchauffement climatique, publiée sur France-Soir. Il aborde le cœur du raisonnement du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat).
Examinons la question centrale du raisonnement des rapports du GIEC. Il prétend démontrer que le CO2 est la cause du réchauffement climatique. Beaucoup auront noté que depuis plusieurs mois, les propagandistes évoluent sensiblement dans leur sémantique. Comme le réchauffement a du plomb dans l’aile, on parle de dérèglement climatique. Puisque la question des températures n’est pas crédible un instant pour ceux qui observent et mettent en perspective sur des périodes longues, on parle d’autre chose.
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Les annulations commencent pour John Clauser après que le lauréat du prix Nobel de physique a dénoncé la "corruption" de la science du climat
Chris Morrison - The Daily Sceptic - Le 23 juillet 2023
Au début du mois, le Dr John Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022, a dénoncé l'"urgence climatique" comme une "dangereuse corruption de la science qui menace l'économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes". Inévitablement, les sanctions ont commencé. Une conférence que M. Clauser devait donner au Fonds monétaire international sur les modèles climatiques a été brusquement annulée et la page annonçant l'événement a été retirée du site du FMI.
Clauser devait s'adresser au Bureau d'évaluation indépendant du FMI ce jeudi sous le titre : "Let's talk - How much of the climate models ? "Parlons-en - Dans quelle mesure pouvons-nous faire confiance aux prévisions climatiques du GIEC ? Il semblerait que "pas beaucoup" ne soit pas la réponse politiquement correcte. M. Clauser est un détracteur de longue date des modèles climatiques et a critiqué l'attribution du prix Nobel de physique en 2021 pour les travaux effectués sur ces modèles. Il n'est pas le seul, car nombreux sont ceux qui estiment que les modèles climatiques sont principalement basés sur les mathématiques, et que leurs antécédents de prédictions climatiques erronées ne leur permettent pas d'être reconnus au plus haut niveau de la science pure. Cette opinion n'est pas partagée par le magazine écologique National Geographic, qui a publié un article : "Comment les modèles climatiques sont devenus si précis qu'ils ont gagné un prix Nobel".
La semaine dernière, M. Clauser a fait remarquer que la science climatique erronée s'est "métastasée en une pseudo-science journalistique de choc". Cette pseudo-science, a-t-il poursuivi, est devenue un bouc émissaire pour une grande variété d'autres maux connexes. Elle a été promue et étendue par des agents de marketing commercial, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des écologistes tout aussi malavisés. "À mon avis, il n'y a pas de véritable crise climatique", a-t-il ajouté.
Clauser est le dernier lauréat du prix Nobel de physique à rejeter la notion de crise climatique. Le professeur Ivar Giaever, également lauréat, est le principal signataire de la déclaration mondiale sur le climat, qui affirme qu'il n'y a pas d'urgence climatique. Il affirme en outre que les modèles climatiques sont "loin d'être plausibles en tant qu'outils de politique mondiale". Le professeur Robert Laughlin, lauréat en 1998, a estimé que le climat est "hors de notre contrôle" et que l'humanité ne peut et ne doit rien faire pour répondre au changement climatique.
La même équipe qui nous dit que nous devons "écouter les experts" n'écoutera aucun expert qu'elle n'aime pas. Ils s'extasient sur les "experts de l'ONU" qui cachent le déclin, mais courent à toutes jambes pour éviter les géants de la science. Ils interrogeront des lycéens qui ont abandonné leurs études sur le changement climatique aux heures de grande écoute avant d'interviewer des lauréats du prix Nobel. C'est un mensonge par omission. C'est une tromperie active. Et tout le mouvement pour le climat repose sur ce mensonge.
Le FMI est fortement impliqué dans les flux d'argent internationaux et on ne peut qu'espérer qu'il fasse preuve d'une plus grande volonté d'"évaluer" ce sujet que les prédictions des modèles climatiques. M. Clauser a obtenu son prix Nobel pour ses travaux novateurs dans le domaine de la mécanique quantique, c'est-à-dire l'étude de la matière et de la lumière aux niveaux subatomique et atomique. En 2010, il a reçu le prix Wolf de physique, considéré comme le deuxième prix de physique le plus prestigieux après le prix Nobel. Outre ces travaux, il a également fait des propositions en tant que u monde n'est pas d'accord avec le mantra ?" Une question dont la réponse est évidente. Beaucoup
La même équipe qui nous dit que nous devons "écouter les experts" n'écoutera pas les experts qu'elle n'aime pas. Ils s'extasient sur les "experts de l'ONU" qui cachent le déclin, mais courent à toutes jambes pour éviter les géants de la science. Ils interrogeront des lycéens qui ont abandonné leurs études sur le changement climatique aux heures de grande écoute avant d'interviewer des lauréats du prix Nobel. C'est un mensonge par omission. C'est une tromperie active. Et tout le mouvement pour le climat repose sur ce mensonge.
Le FMI est fortement impliqué dans les flux d'argent internationaux et on ne peut qu'espérer qu'il fasse preuve d'une plus grande volonté d'"évaluer" ce sujet que les prédictions des modèles climatiques. M. Clauser a obtenu son prix Nobel pour ses travaux novateurs dans le domaine de la mécanique quantique, c'est-à-dire l'étude de la matière et de la lumière aux niveaux subatomique et atomique. En 2010, il a reçu le prix Wolf de physique, considéré comme le deuxième prix de physique le plus prestigieux après le prix Nobel. Outre ces travaux, il a également formulé des suggestions pour améliorer les modèles climatiques actuels.
Les tentatives de modélisation de l'atmosphère chaotique et non linéaire se heurtent à de nombreux obstacles. Elles ne parviennent pas à prédire les températures futures avec un degré d'imprécision généralement risible et, ce faisant, ne font guère plus que deviner l'effet de forces naturelles telles que les volcans et les nuages. Selon M. Clauser, les modèles climatiques sous-estiment considérablement l'effet des nuages qui couvrent la moitié de la Terre et assurent un contrôle thermostatique puissant - et dominant - des températures mondiales. Plus récemment, M. Clauser a également déclaré à la Korea Quantum Conference qu'il ne croyait pas à l'existence d'une crise climatique, notant que "les processus clés sont exagérés et mal compris environ 200 fois" : "Les processus clés sont exagérés et mal compris environ 200 fois".
Les cyniques pourraient ajouter que ce degré d'inexactitude exagérée est peut-être acceptable dans le domaine de l'économie, mais que des normes plus rigoureuses devraient être encouragées dans le monde de la science.
Climatoscepticisme dans les médias : des députés planchent sur une loi
Hervé Kempf - Reporterre – Le 21 juillet 2023
Pour un meilleur traitement médiatique de l’urgence écologique, des députés ont annoncé le 19 juillet à l’Assemblée vouloir déposer une proposition de loi. Reste à en dessiner les contours.
Y aura-t-il une loi pour réprimer le climatoscepticisme dans les médias ? C’est ce qu’envisage un groupe transpartisan de députés. Ils l’ont annoncé mercredi 19 juillet dans le cadre prestigieux de la Salle des fêtes de l’Assemblée nationale, lors d’un événement organisé par ces députés avec l’association Quota Climat. Le groupe, piloté par Stéphane Delautrette (Parti socialiste, PS), réunit des représentants de tous les partis présents à l’Assemblée, sauf Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN). Il va débuter des auditions en septembre dans le but de déposer une proposition de loi « relative au traitement médiatique des enjeux environnementaux », possiblement en décembre.
Selon un document diffusé par Quota Climat et l’Institut Rousseau, la proposition pourrait avoir les contenus suivants :
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le renforcement des prérogatives de l’Autorité de régulation de la
communication audiovisuelle et numérique (Arcom) pour garantir un traitement adapté sur ces sujets ; -
l’intégration des enjeux environnementaux dans les chartes déontologiques des médias ;
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la garantie d’un traitement de ces enjeux, en donnant à l’Arcom la possibilité d’établir des règles temporaires lors des campagnes électorales ;
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le renforcement des moyens de lutte contre la diffusion de fausses informations sur la crise écologique sur les plateformes en ligne.
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