/image%2F1416990%2F20230128%2Fob_1caff8_non.png)
Ciel Voilé
Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Marc German revient en deuxième semaine sur la sécurité des smartphones
Dr Peter McCullough : l'opinion publique est notre tribunal
Etats-Unis : Que se passe-t-il dans les hôpitaux ? Dr Pierre Peterson
SIBO : une "nouvelle" pathologie liée aux multiples symptômes invalidants du Covid-19 et du Covid long ou induits par les vaccins
ENTRETIEN - Le Small Intestinal Bacterial Overgrowth (SIBO), soit la pullulation bactérienne de l’intestin grêle, est l'une des très nombreuses pathologies du Covid-19. Elle est liée au dysfonctionnement du système rénine-angiotensine qui peut être induit par une infection au virus Sars-CoV-2 ou apparaître suite à la vaccination anti-Covid-19. Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie à Marseille, revient pour FranceSoir sur les aspects physiopathologiques du SIBO pour en expliquer les mécanismes biologiques. Nous précisons que Jean-Marc Sabatier s'exprime ici en son nom.
Estelle Fougères - Dans votre première étude scientifique sur le Sars-CoV-2 publiée en avril 2020 et intitulée SARS-CoV-2 & Covid-19 : key-roles of the renin-angiotensin system / Vitamin D impacting drug and vaccine developments, vous et vos collègues décrivez le mode d’action complet du Sars-CoV-2 sur le système rénine-angiotensine (SRA), ce système complexe et ubiquitaire que l’on retrouve dans les divers organes et tissus du corps humain. Vous avez compris que le véritable responsable des manifestations du Covid-19 est précisément un SRA dysfonctionnel, et non directement le virus. Cela vous a permis d’anticiper certaines pathologies comme les coagulopathies et thromboses (qui sont normalement « opposées » car l’une correspond à une déficience de la coagulation, contrairement à la seconde qui correspond à une hyper-coagulation), l’athérosclérose, les atteintes aux organes reproducteurs, les dermatites, les atteintes du métabolisme lipidique, les troubles oculaires (rétinopathie, glaucome), les troubles neurologiques, le diabète de type 2 (intolérance au glucose), et d'autres maladies auto-immunes ainsi que les cancers. Depuis, vous avez continué les recherches et découvert d’autres pathologies du Covid-19. Quelles sont-elles ?
Moins de la moitié de la population française a reçu une injection contre la Covid-19 en 2022
TRIBUNE - Malgré la propagande du "tout-vaccin" massivement entretenue par Emmanuel Macron, le gouvernement et les autorités sanitaires, une lecture attentive des données officielles relatives à la vaccination anti-Covid-19 permet un constat sans appel : les Français qui ont reçu une injection en 2022 représentent moins de 50% de la population totale. Le "passe vaccinal" n’a pas convaincu.
Le 4 janvier 2022, Emmanuel Macron prononçait cette petite phrase : "Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder". Des propos polémiques, jugés par certains comme une véritable provocation, qui ont aggravé la fracture entre les défenseurs de la vaccination anti-Covid et les personnes qui souhaitent davantage de garanties quant au rapport bénéfice-risque des injections. Au lieu d’entendre les tenants du principe de précaution, au lieu de se référer à l’état de la science, le gouvernement a préféré creuser le sillon de la contrainte : le "passe sanitaire" a été transformé en "passe vaccinal".
Le prétexte pour justifier la poursuite de “l’emmerdement” des non-vaccinés ? Le gouvernement agitait le taux d’incidence record du nouveau variant Omicron (apparu fin 2021) et une énième “vague”, y compris dans la population très majoritairement vaccinée. Si le narratif qui présente la vaccination comme une nécessité pour atteindre "l’immunité collective" prenait l’eau à cause d’Omicron (transmission rapide et gravité potentielle moindre), le pouvoir et les autorités de santé continuaient tête baissée dans la même direction : le tout-vaccin, pour toute la population, sans aucune distinction, au moyen de mesures liberticides.